Cours Sur La Laideur

répondrez en prenant appui sur les textes du corpus, sur |poésie. Chacun défend un poème de ce corpus, l’un penchant| |Objet d'étude : La poésie. |Senghor. (Texte D) |ceux que vous avez étudiés en cours et ceux que vous connaissez|pour les formes anciennes, l’autre pour des formes | | | |personnellement.

péjorative, insultante, qui apparaît comme un emblème: « une de ces pauvres choses, enfin, dont la laideur muette a des profondeurs d'expression comme le visage d'un imbécile ». (Ici, Flaubert manie l'art de la pointe, ce trait assassin qui vient comme achever – « enfin » – un texte satirique). C. Maladresse terrifiée du personnage: - Le nouveau ressemble à un pantin désarticulé: immobile pendant le cours, « n'osant même croiser les cuisses, ni s'appuyer sur le coude », il ne s'anime qu'au son de la

Lecture Analytique : Excipit « L’Écume des jours ». Boris Vian né le 10 mars 1920 à Ville d’Avray et mort le 23juin 1959 dans le 7è arrondissement de Paris. Au cours de ça vie il sera quelqu’un de très polyvalent puisqu’il sera : écrivain, poète, chanteur, critique, musicien de jazz, ingénieur de l’école centrale, scénariste, traducteur (anglo-américain), conférencier, acteur, peintre. L’une de ses oeuvres sur laquelle va porter notre analyse et « L’Écume des jours ». Boris Vian s’est consacré

des personnages est également appuyé par l’importante influence que représente la figure d’Eurydice pour la construction des personnages féminins d’Hazel et Adèle. Le personnage d’Hazel est ainsi explicitement comparé à la figure d’Eurydice au cours du roman: « Je [Omer] parle d’elle [Hazel] comme je parlerais d’Eurydice. » (Nothomb 1998: 174) 3. LA DESCENTE AUX ENFERS CHEZ ADÈLE ET HAZEL OU LE DÉDOUBLEMENT D’EURYDICE Tout comme Eurydice, Adèle et Hazel sont les victimes d’une première descente

par sa mère qui s'intéressait à la musique et à la peinture. Otto Dix traverse la première partie du XXéme siècle avec des oeuvres où sourd une violente critique sociale, reflet de cette période de turbulences. De 1905 à 1909, Otto Dix prend des cours à Gera, mais ses professeurs considèrent qu’il n’a pas d’avenir dans le milieu de la peinture. Otto Dix est admis en 1910 à l’Ecole des Arts décoratifs de Dresde (Hochschule für Bildende Künste), un des centres de l’expressionnisme germanique, grâce

Le Colonel Chabert, un héros ? Pendant un cours, où nous avons discuté le roman Le Colonel Chabert de Balzac, la question s’est posée si le caractère, le Colonel Chabert, pouvait être considéré comme un héros. La question a conduit à une discussion qui a été mal répondue. Mes pensées ont vite conduit à une envie de trouver des réponses. Qu’est-ce que c’est un héro ? Et, selon qui peut un personnage fictif être considéré comme un héros ? le narrateur ? le lecteur? l'auteur ou les autres personnages

(-470 à -399) est le fils d'un tailleur de pierre et d'une sage-femme, né à Athènes au siècle de Périclès. Il a un enfant de sa femme Xanthippe et peut-être deux autres d'un second mariage. Sa physionomie est présentée comme celle d'un satyre. Sa laideur, perçue comme un signe d'intempérance et de vice, scandalise les athéniens pour qui la beauté physique est le symbole de la beauté morale. Il consacre son énergie à enseigner gratuitement, contrairement aux sophistes, sa philosophie dans les lieux

LIES AU PHYSIQUE CHEZ L’ADOLESCENT. 2012-2013 1. Introduction Dans le cadre de notre cours de sciences sociales, pour notre TFE, nous avons choisi le fait qu’il y ait beaucoup de complexes physiques chez les jeunes. Ce thème nous intéresse beaucoup car en tant que jeunes, et surtout en tant que filles, nous sommes souvent confrontées

Madame Bovary, L’incipit Madame Bovary est un roman de Gustave Flaubert paru en 1857. Le titre original était Madame Bovary, mœurs de province. Au début, Flaubert ne voulait pas qu'on illustre son roman avec un portrait de femme pour laisser libre cours à l'imagination du lecteur. Madame Bovary est l’histoire d’une femme sui a toujours voulu vivre sa vie comme dans les livres qu’elle lit, une vie hors du commun où amant et folie s’y mélange. Pourtant elle se marie avec Charles un homme qui est

plaidoyer des misérables ». Il décrit son passage rapide par le Lycée Montaigne, l'école communale d'Arcachon et des cours particuliers. Des visions de la mort précèdent le décès de sa « grand-mère Sartre ». Sa « foi privée » face à l'impiété de son grand-père protestant et la déception de n'obtenir qu'une médaille d'argent à une composition d'instruction religieuse. Sa « laideur » lui apparaît la première fois que l'on lui coupe les cheveux mais ne s'en rend compte qu'à 12 ans, par les « regards