Cours Sur La Laideur

Texte 7 : « A une passante », Les Fleurs du Mal (1861), Charles Baudelaire. Problématique du cours : En quoi cette scène en apparence banale traduit-elle l’image de la femme et la conception de l’existence humaine selon Baudelaire ? I) Une rencontre violente. 1. Un contexte agressif entraînant le malaise du poète -Construction narrative en différentes étapes : 1er = le décor / 2eme = les deux protagonistes, femme d’abord, homme ensuite / 3eme = les conséquences de la rencontre. --> Point de

« Arret sur image » de Delarue, quand il évoque implicitement la course à l’audimat et au profit. Il se fonde sur le principe que les handicapés sont exploités cyniquement et alimentent le voyeurisme malsain des spectateurs qui ne jugent qu’aux apparences. D’ailleurs Quasimodo est lui-même jugé sur ses apparences dans roman « Notre Dame de Paris » de Victor Hugo, qui préjugent de sa vertu d’âme. En effet, il considère que sa laideur suffit à le discriminer, à le rejeter et à l’exclure définitivement

est amoureuse de Titus empereur de Rome mais leur amour est impossible du fait des lois romaines qui interdisent a un empereur de se marier avec une etrangère. Dans le second texte Cyrano est follement épris de sa cousine Roxane mais du fait de sa laideur il ne peut lui avouer son amour. En revanche dans le dernier texte Ludivine est stérile ce qui fait qu'elle ne peut pas donner vie et ne peut donc pas connaitre l'amour. Dans les deux premiers extraits on distingue un amour impossible entre deux

douloureuse (romantisme- Hugo et sa fille par exemple, poésie engagée type Aragon durant la guerre...) - l'autre: réquisitoire: ce serait une erreur de réduire la poésie à cette fonction. Dc réinvestir les autres fonctions de la poésie (cf fiche cours).   - évoluent / se nuançant: chacun fait des concessions (certes, tu n'as pas tort, + question oratoire) Toscane. – […] Pour moi, poésie et sentiments vont de pair : la poésie n’est pas une affaire de raison, mais d’affectivité. Tu remarqueras

jeunes filles en les tuant. Après un apprentissage à Paris, chez un parfumeur, il se rend à Grasse, où les techniques sont plus sophistiquées, pour reproduire ces odeurs qu'il aime tant... abandonné dans son enfance, dépourvu d’odeur et d’une laideur sans pareille, il est doté d’un extraordinaire sens olfactif, un don quasi surnaturel qui le conduira au meurtre… Ensuite, les clés de lecture étudient plus précisément la psychopathie de ce personnage – son obsession, ses aspiration -, ainsi que

La nouveauté de L’Assommoir ne consiste donc pas dans la représentation du bas peuple. Ce qui est nouveau ici, c’est moins la présence que « l’odeur » authentique du peuple. Chez Hugo, chez George Sand, la pitié ou le style atténuaient du moins la laideur du réel. Ici, tout au contraire, l’auteur évoque l’avachissement des personnages, les taudis miséreux et le quartier de la Goutte d’Or avec une précision brutale, sans esthétisme aucun, ni possibilité de rédemption. Il donne de ce milieu ouvrier une

lecteur un sentiment de peur dans cette description assez gore de cette main. Cette description est renforcé par l’auteur grâce à l’emploie qu’il fait des champs lexicaux du sinistre « L2 à 8 affreuse…. lieue », du corps « main, muscle peau… », La laideur « affreuse, noire, crispée etc.… », Provoquant dans toute cette première partie un sentiment de peur qui flotte dans l’esprit du lecteur. Le récit a une fonction esthétique qui est la marque de la nouvelle ou du roman, en l’occurrence dans cet

milieu ouvrier (son p�re, Franz Dix, travaillait dans une mine de fer), mais re�oit une �ducation artistique par sa m�re, Pauline Louise Dix, qui s'int�ressait � la musique et � la peinture. Apr�s avoir suivi les cours du professeur de dessin Ernst Schunke pendant sa jeunesse, Dix prend des cours � Gera de 1905 � 1909 aupr�s de Carl Senff, qui doute de l'avenir de son �l�ve en tant que peintre. Une bourse d'�tude fournie par le prince de Reuss lui permet d'entrer � l'�cole des arts appliqu�s de Dresde

pour les personnages, pour les comédiens ou que pour les spectateurs. Le but de ce mini mémoire est de faire une analyse de certains aspects de l’œuvre d’Edmond Rostand et d’étudier les traits du personnage de Cyrano de Bergerac. Nous verrons au cours de cette étude que la frontière entre réalité et fiction existe mais que cependant elle est quasi indéterminable à certains moments. Après avoir étudier le lien qui existe entre Cyrano et Rostand et le fait que Cyrano soit un mythe français, nous analyseront

moi de pleurs une source éternelle. », il y a de l'émotion et cela évoque la catharsis chez le spectateur. Théramène accuse comme Hippolyte «  La colère des dieux » II. La dimension épique de la scène A) L'aspect extraordinaire du monde 1/ Sa laideur et sa force Le monstre marin est décrit dans toute sa puissance avec des termes hyperboliques, il surgit comme une « montagne humide » et la mer « vomit » l' « Indomptable taureau, dragon impétueux », « Ses longs mugissements font trembler le rivage »