Cours Sur La Laideur

chef-d’oeuvre de F. A l’époque de leur composition ( 1875-77) il rédigeait déjà ‘Bouvard et Pécuchet’, destiné à rester inachevé. La mort de ses amis et de sa mère, la tragédie de la Commune, les problèmes économiques de sa nièce, assombrissent sa vie. Au cours d’un séjour au bord de l’Océan, à Concarneau, il lui vint l’idée d’écrire une oeuvre de dimension réduite , ‘La légende de Saint Julien l’Hospitalier’. ( la littérature était pour lui le seul moyen d’échapper au spleen). Ce personnage avait déjà réveillé

Lorenzo  Lorenzo n'ignore pas son sort mais il ne cherche pas à se révolter, de manière à se racheter de sa vie de débauche.  Il apparait pour la dernière fois dans l'acte 5 scène 6 dans un ultime entretien avec Philippe Strozzi qui veut le sauver. Au cours de ce dialogue, Lorenzo révèle à Philippe ses désillusions et finalement son sentiment d'échec et d'inutilité. On le voit dans cette scène tenir un objet assez important: un lettre qui lui annonce la mort de sa mère. Cette lettre préfigure le sort

Autriche. Le dévoilement se fait confession. Enfin, la troisième partie correspond au retour de l’enfant prodigue à Téhéran, ses parents ayant bien du mal à la reconnaître tant elle a grandi. Remarque que feront régulièrement certains personnages au cours du film. La petite fille n’en finit jamais de grandir dans Persépolis. L’aéroport, permet à Marjane Satrapi de nouer un lien entre les épisodes de son existence et d’imposer d’emblée le thème de l’exil. Le film s’achève alors sur la Marjane en couleurs

Nature protectrice et bienfaisante, dans laquelle le personnage romantique cherche refuge, pour échapper à la « laideur » du monde des hommes et retrouver un équilibre intérieur. Pour Stendhal, comme pour bien d’autres auteurs de cette période, le bonheur se trouve dans des lieux élevés, à l’écart du monde, là où le héros peut enfin être lui-même, sans aucune influence extérieure. (cf. cours sur le romantisme). Ici, la hauteur de ces lieux s’oppose symboliquement à la bassesse spatiale et morale de

..................... 6 PAGE 1 Contexte d’écriture de l’œuvre et préface  Selon Francis Lacassin, Frankenstein se lit aujourd'hui « par malentendu ». Ce malentendu risque de faire découvrir au lecteur « au lieu d'un monstre dont la laideur déclenche des réactions apeurées et hurlantes, un être mystérieux qui se manifeste peu »10. Il est vrai, ajoute Max Duperray, que le texte peut paraître primaire, les personnages diserts, l'intrigue échevelée, le monstre larmoyant11.  En

casquette sur ses deux genoux. C'était une de ces coiffures d'ordre composite, où l'on retrouve les éléments du bonnet à poil, du chapska, du chapeau rond, de la casquette de loutre et du bonnet de coton, une de ces pauvres choses, enfin, dont la laideur muette a des profondeurs d'expression comme le visage d'un imbécile. Ovoïde et renflée de baleines, elle commençait par trois boudins circulaires ; puis s'alternaient, séparés par une bande rouge, des losanges de velours et de poils de lapin ; venait

partie, comme chaque année, la famille se déplace vers Donnafugata, pour s’arrêter aux mêmes haltes, être accueilli de la même façon : « On retrouvait au fur et à mesure des endroits familiers, but arides de promenades passées et de collations au cours des années précédentes » p58. A Donnafugata, Don Fabrizio remarque que « Tout est comme avant » p65. Le Prince a pour habitude de se déplacer aux mêmes lieux : la visite annuelle du couvent, la partie de chasse … La façon d’appréhender les lieux montre

Jacques pour Lisbonne qui perd la vie pendant le voyage. Ils arrivent dans la capitale du Portugal le jour du grand tremblement de terre de Lisbonne. Ils sont arrêtés par l'Inquisition : pour que la terre arrête de trembler a lieu un « autodafé » au cours duquel Pangloss est pendu et Candide fessé. Soigné par une vieille, Candide retrouve Cunégonde en vie, devenu la maîtresse d'un grand inquisiteur et d'un riche juif. Il est amené à tuer les deux hommes et s'enfuit avec Cunégonde et sa vieille servante

inspiration et même un style nouveau, le Cubisme, art abstrait qui casse le carcan des lois imposées aux artistes depuis la Renaissance. Enfin, les objets d' art africain vont être regardés comme des oeuvres d' art. Il n' était plus question de beauté, de laideur, mais bien d' une émotion directe, d' une manifestation spontanée. L' engouement pour l' art africain caractérise < les années folles >. C' est aussi bien sûr le temps des grandes collections privées. De nos jours, des centaines d' expositions d'

L’homme a imaginé des armes de guerre et de destruction pour suppléer à sa faiblesse constitutive. Dans la fable de La Fontaine, les compagnons d’Ulysse préfèrent rester dans la forme animale que Circé leur a imposée car elle leur permet de donner libre cours à leur violence (vers 11, 42). le Lion « roi » apparaît comme belliqueux. Voltaire dans Micromégas dénonce la violence et l’inanité des conflits grâce au regard étranger, explicitement exploité dans ce texte. -La vanité de l’homme. La Bruyère