Courtisans Misanthrope

à Paris. Pour y accéder, il faut appartenir à la noblesse de sang et à la « noblesse de l’âme ». Les femmes y sont toujours actives. Les plus importants sont la « chambre bleue » de Catherine de Rambouillet et celui de Madeleine de Scudéry. Les courtisans discutent dans un langage très appliqué tout en parlant principalement de littérature. Aussi ils écrivaient et faisaient certains récitaux de poésie, dont le sujet des poèmes était l’amour. Ces salons vont influencer les auteurs de cette époque

développent un portrait. Ainsi, il peint les précieux, les faux-dévots et les faux-savants, un libertin, satirant à chaque fois le rejet, la haine du corps social concerné. Il entretient une relation difficile avec la cour, situation que le Misanthrope met en scène. Le théâtre de Molière maîtrise parfaitement les idéaux et objectifs, et règles strictes du classicisme français, comme on peut le vérifier avec ce texte. 2. Lecture 3. Transition : C'est une scène d'exposition à deux personnages

de l’homme. On pense à Dom Juan et à la fameuse scène où le libertin se convertit à la religion et fait un faux éloge de l’hypocrisie. Ici Molière montre bien la bassesse de l’home qui louvoie et se montre fourbe. Dans la scène des portraits du Misanthrope, Molière met en scène Célimène se répandant en médisances sur ses amis. Là encore le théâtre montre ce qu’a de vile l’homme. Sur le plan amoureux encore, le théâtre peut mettre en scène la noirceur de l’homme. Souvent au théâtre on montre les personnages

partager leurs sentiments sur un sujet : l’hypocrisie. Les deux premiers textes datent du XVIIème siècle, l’époque de l’absolutisme de Louis XIV. Dans « Le Misanthrope » que Molière a écrit quand il se trouvait lui-même dans une situation difficile et ne supportait plus les gens qui l’entouraient, il met en scène Alceste un misanthrope qui hait « le genre humain » et la compagnie : »Lami du genre humain n’est point mon fait » (l.30) Alceste est un ami de Philinte, mais lui reproche franchement

présentèrent une comédie héroïque, genre assez à la mode parmi les courtisans, afin de montrer que son auteur ne savait pas écrire que de farces. Or Dom Garcie de Navarre et son analyse de la jalousie ne firent pas grand éclat. Par la suite Molière retourna à une comédie plus populaire dans laquelle il reprit le personnage de Sganarelle: L’École des maris. On pourrait considérer cette pièce comme un avant-coureur du Misanthrope, puisque le personnage d’Ariste possède quelques traits semblables

Molière : Le Misanthrope. Sociabilité et solitude à l'épreuve du théâtre Le Misanthrope peut être lu comme la mise à l'épreuve, sur scène, de la sociabilité classique, de la « diplomatie de l'esprit » chère à Marc Fumaroli. Le héros en est un misanthrope, tenté constamment par le départ, et par la solitude. Solitude et sociabilité, hypocrisie et sincérité sont également ébranlées par le théâtre, dont les situations mettent, pour le plus grand plaisir du public, les personnages face à leurs propres

dans Dom Juan de Molière V, 2 p 76 . On remarque dans le théâtre de Molière l’évolution de la satyre => dénonciation virulente : Dom Juan => Tartuffe => Misanthrope. L’auteur dénonce de + en + acerbe ( corrosive ) : l’hypocrisie sociale de la Cour : Dom Juan • « La profession d’hypocrite a de merveilleux avantages ». = périphrase : courtisan = adj. qual. Laudatif => Tandis que Dom Juan fait l’éloge de l’hypocrisie de sa fameuse tirade. Alceste, au contraire blâme (

Devoir à la maison Objet d’étude : la question de l’homme dans les genres de l’argumentation Question sur corpus Les trois textes du corpus, Le Misanthrope par Molière, l’extrait de Les caractères «  de la société et de la conversation » de La Bruyère et A la recherche du temps perdu, Le coté de Guermantes de Marcel Proust ont en commun la critique de l’hypocrisie de la société mondaine. Dans les textes de Molière et Proust ont comprend que les mondanités priment sur des valeurs comme

« par-delà l’horizon » c’est Rouen et une chambre d’auberge sur le port avec un clerc de notaire.   Il a eu raison. Emma n’est pas née courtisane ; elle est née romanesque, et son tour d’esprit romanesque l’a amenée à être à peu près une courtisane ; mais cependant elle doit s’arrêter et reculer lorsque sa vie se révèle à elle comme devant être désormais celle d’une courtisane sans qu’il s’y mêle rien de romanesque. C’est ce manque qui lui est insupportable quand il s’annonce comme devant être absolu. Tout

romanesque en vingt volumes, Les Rougons-Macquart, pour en faire une « histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second empire ». Parmi ses personnages, les plus humbles ont une grande place : ouvriers alcooliques dans l’Assommoir (1877), courtisane dans Nana (1880), mineurs dans Germinal(1885)… Le thème de l’hérédité, l’influence du milieu sur les êtres sont au centre de cette œuvre très riche. On connait également Zola pour son engagement dans « l’affaires Dreyfus » et son célèbre J’accuse