Couts Préétablis

que l'amélioration ne se traduit pas par un surcoût général, auquel cas on parle de «sur-qualité». Il est possible d'améliorer un grand nombre de dysfonctionnements à moindre coût, mais, à l'inverse, plus on souhaite approcher la perfection plus les coûts grimpent ! L'opposé de la qualité, nommée non-qualité, possède également un coût. En effet il s'avère généralement plus coûteux de corriger les défauts ou les erreurs que de «faire bien» dès le départ. D'autre part, le coût de la nonqualité est d'autant

autrichien qui songé à deux notions: -Cycles : Activité économique en progression ou régression aux moyens de phases. a) Progression b)Régression c)Crise d) Reprise -Créations destructrices : Si innovation, on va bousculer l’ordre préétabli, ce qui va générer la destruction et en même temps création de nouvelles activités (= destruction créatrice). Exemple : internet--> des petits commerces vont disparaitre car on peut acheter en ligne. Selon Shumpter 5 catégories d'innovations

réalisées par l’imprimeur – sont directement transférées à l’outil de production. mpression numérique : qu’est-ce que c’est ? Aucun film et aucune plaque n’est nécessaire, contrairement au procédé offset traditionnel, d’où une grande économie de coûts de mise en machine et de réglages de base. L’impression offset est réservée aux grands tirages, généralement en couleur, compte tenu de la grande vitesse de production et du fait que les charges de départ sont réparties sur l’ensemble des exemplaires

positivement sur le trajet domicile-travail des employés et leur capacité à s’acquitter de leurs responsabilités familiales. S’ils sont bien structurés, les horaires décalés permettent aux entreprises de prolonger leurs heures d’exploitation sans coûts supplémentaires de personnel (dans certaines limites)5 .Semaine de travail comprimée :La semaine de travail comprimée (STC) (ou «horaire hebdomadaire comprimé»)   est une semaine qui comporte le même nombre d’heures de travail, mais réparties sur un

Comptabilité des engagements 90 Engagement obtenus et engagements accordés 91 Contreparties des engagements B°) Comptabilité analytique de gestion 92 Comptes réfléchis 93 Comptes de reclassements 94 Comptes de couts 95 Comptes de stocks 96 Comptes d’écarts sur couts préétablis 97 Comptes de différences de traitement comptable 98 Comptes de résultats 99 Comptes de liaisons internes CONCLUSION D’une manière générale, la convergence ou la non convergence des deux référentiels dépend

questions doivent être formulées de façon à obtenir le maximum de réponses quantifiées, ce qui simplifie l'évaluation; la quantité de questions et de réponses doit être facilement manipulable et gérable (l'utilisation de formulaires informatiques préétablis par le demandeur est un must); le processus d'évaluation doit si possible être informatisé. Le cas de l'appel d'offres Dans le cadre d'un appel d'offre, le cahier de charges comprend deux sections: • une section distribuée aux soumissionnaires

macro-environnement ayant un impact sur l’environnement concurrentiel de l’entreprise Le marché du jouet Le secteur du jouet appartient à l’industrie du loisir. Il est important de distinguer le jeu et le jouet. Le jeu répond à des règles préétablies, on gagne ou on perd en fonction de ces règles. C’est le cas par exemple des jeux de société. A l’inverse, le jouet permet à l’utilisateur de créer ses propres règles, il y a un côté créatif. Dans ce cas, il n’y a pas de notion de gain ou de perte

- théorie mathématique de la communication Aux USA, après la seconde guerre mondiale, des ingénieurs proposent une théorie mathématique de l’information. ) Cette théorie est née de préoccupations concrètes (ex. capacité des lignes, coûts des communications). L’objectif de Shannon était de fournir un modèle permettant d’optimiser le transfert du message. Ce modèle est : Linéaire (car il n’y a pas de rétroaction, le processus s’organise dans un sens unique) Mécaniste (car la communication

. 4 * ------------------------------------------------- III. Quelques concepts autour de la qualité : * A. La qualité interne et la qualité externe 4 * B. La démarche qualité 5 * C. La non-qualité et la sur-qualité 5 * b. Les coûts de non qualité 6 * ------------------------------------------------- IV. Historique de l'approche qualité * A. Le contrôle de la qualité 6 * B. L'assurance de la qualité 7 * C. La qualité totale (Q.T) 10 -------------------------------------------------

III- Le calcul des coûts : Notions de coûts - Coût - Types de coûts Principes de calcul des coûts - Le coût complet - Le coût partiel Evaluation des stocks - Direct costing et évaluation d’inventaire - Full costing Les systèmes de calcul : - Le choix d’un système de calcul des coûts - La production par commande / lot - La production continue SOLVAY Business School - Contrôle de Gestion - 1ère licence Année académique 2008-2009 2 Le calcul des coûts L’imputation des coûts : méthode des sections