Couvain

d’abeilles: rôles et morphologie de chaque individu. Les matériels et les équipements nécessaires pour pratiquer l’apiculture moderne. THÈME 2 : LA BONNE CONDUITE DE RUCHER • • • • • • L’examen des cadres (présence de reine, couvain d’un jour, couvain operculé, cadres de miel) Le renouvellement des cadres Le nourrissement des abeilles La multiplication: l’essaimage artificiel L’enruchement (piégeage d’essaim, transvasement de ruche) Le marquage des reines THÈME 3 : LA RECOLTE

toxiques, voire imprégnés d’insecticide ! Partout ailleurs, les gens (autochtones) connaissent les espèces comestibles : vers de farine, libellules, larves de longicornes (les cossus des Romains) ou de charançons (« vers palmistes ») xylophages, couvain d’abeilles et de guêpes, punaises aquatiques, chenilles, termites, fourmis... En attendant de convaincre les Français par l’entomophagie, le projet a séduit le jury du 32e concours de l’Inn’Ovation qui lui a décerné, hier soir, son coup de cœur

Mutinelli (Italie, laboratoire national de référence pour la santé animale) et Dalibor Titera (République Tchèque, laboratoire de pathologie apicole de l’Institut de Recherche de Dol). Les sujets traités portaient sur les maladies bactériennes du couvain, le petit coléoptère des ruches et le frelon asiatique, les protozoaires (Nosema et Malpighamoeba), les acariens parasites (Varroa, Tropilaelaps et Acarapis) et les infections secondaires. Les aspects réglementaires, aussi bien concernant les maladies

vaga butinant Andrena vaga en train de butiner des fleurs de photinia Les abeilles parasites[modifier | modifier le code] Article connexe : Abeille coucou. Ce sont des insectes solitaires qui pratiquent le cleptoparasitisme en parasitant les couvains d’autres espèces. Les abeilles sociales[modifier | modifier le code] Articles détaillés : Apis (genre) et Meliponini. Une reine entourée d'ouvrières Abeilles sociales (ici Apis mellifera) Abeilles sur cires Les abeilles sociales forment

sociétés qui a permis à ces insectes de modifier progressivement leur mode de vie et de développer des techniques de travail très performantes. Les ouvrières, sans ailes et souvent incapables de s'accoupler, participent aux activités sociales (soins au couvain, construction et défense du nid, approvisionnement en nourriture). On distingue les nourrices, les ouvrières d'entretien, celles qui pourvoient à la nourriture et enfin les gardiennes ou soldates. Chez les espèces où un grand nombre d'ouvrières peuvent

l'unique femelle fertile et fécondée du groupe, mère de toute la colonie. Son espérance de vie est de plusieurs années. Une majorité d'ouvrières, femelles stériles qui assurent l'entretien et le ravitaillement du nid, ainsi que les soins au couvain (sorte de maternité où se développent les futures abeilles). Elles assurent successivement toutes ces tâches au cours d'une vie durant de quelques semaines à quelques mois. Des mâles (ou faux-bourdons) dont le seul rôle connu est la fécondation

en plus de contribuer à l’amélioration de l’alimentation humaine (Njia, 1998). L’apiculture est l’ensemble des techniques d’élevage des abeilles mellifères en vue de l’exploitation rationnelle des produits de la ruche : miel, propolis, pollen, couvain, venin d’abeilles et gelée royale (Mensah, 2008). Le miel, particulièrement exploité en Côte d’Ivoire, doit sa valeur alimentaire et économique aux plantes mellifères (Ybert, 1979). Il 228 European Scientific Journal February 2013 edition vol

Tournières, Tourville-sur-Odon, Tracy-Bocage, Trévières, Vacognes-Neuilly, La Vacquerie, Vaubadon, Vendes, Verson, Ver-sur-Mer, Vierville-sur-Mer, Villers-Bocage, Villiers-le-Sec, Villons-les-Buissons, Villy-Bocage, Vouilly, Bérigny, Cerisy-la-Forêt, Couvains, Montrabot, Saint-Georges-d'Elle, Saint-Germain-d'Elle, Saint-Jean-de-Savigny, Vidouville © Insee - Odil - 04/05/2015 Activités et produits sélectionnés Zone de Bayeux Activités sélectionnées : Commerce de détail d'habillement en magasin spécialisé

le recrutement alimentaire. 1.1.Notion d’affouragement (ou d’approvisionnement) autour d’un point central. Une société de fourmis ou d’abeilles vit dans un nid dont la durée de vie est relativement longue. Pour s’alimenter et pour nourrir leur couvain (les larves) les ouvrières doivent exploiter les environs de ce nid. On parle pour ce scénario très courant d’affouragement autour d’un point central (traduction littérale de « central place foraging »). La disponibilité spatio-temporelle des ressources

l’organisation des sociétés en fait souvent des cibles idéales pour les parasites. Ainsi, un très grand nombre de coléoptères parasitent les sociétés de fourmis, s’insérant sans difficulté en leur sein grâce à « des glandes d’apaisement », et dévorent leur couvain ou même détournent à leur profit le flux alimentaire de la société. Ces phénomènes de parasitisme ne sont possibles que grâce à un détournement des défenses naturelles de l’espèce parasitée, mais aussi grâce à la surprenante efficacité de leur organisation