Couvent des Feuillants

fusse coiffée pour dîner, parce que nous serions toujours seules, et qu'alors elle me dirait chaque jour l'heure où je devrais l'aller joindre l'après-midi. Le reste du temps est à ma disposition, et j'ai ma harpe, mon dessin et des livres comme au Couvent; si ce n'est que la Mère Perpétue n'est pas là pour me gronder, et qu'il ne tiendrait qu'à moi d'être toujours à rien faire: mais comme je n'ai pas ma Sophie pour causer et pour rire, j'aime autant m'occuper. Il n'est pas encore cinq heures; je ne

fusse coiffée pour dîner, parce que nous serions toujours seules, et qu'alors elle me dirait chaque jour l'heure où je devrais l'aller joindre l'après−midi. Le reste du temps est à ma disposition, et j'ai ma harpe, mon dessin et des livres comme au Couvent; si ce n'est que la Mère Perpétue n'est pas là pour me gronder, et qu'il ne tiendrait qu'à moi d'être toujours à rien faire: mais comme je n'ai pas ma Sophie pour causer et pour rire, j'aime autant m'occuper. Il n'est pas encore cinq heures; je ne

radicaux, disparition du parti «aristocrate » Au centre, on trouve une majorité satisfaite : la plaine, le marais. A gauche, il y a des députés qui ont pris l’habitude de se retrouver dans un couvent désaffecté : les jacobins. Ces Jacobins vont se diviser : Girondins, les plus à gauche, et les feuillants ( plus modérés d’entre eux, menés par Lafayette. Il y aura toujours cette géographie des clivages politiques. 2. L’attitude du Roi C’est toujours une attitude maladroite. La séparation des

son hôtel, ni sa fortune, ni ses babioles ; elle est enterrée dans le mariage comme une femme de la rue Saint−Denis l'est dans son commerce, elle achète les bas de ses chers petits enfants, les nourrit et surveille ses filles qu'elle ne met plus au couvent. Vos femmes les plus nobles sont ainsi devenues d'estimables couveuses. Etudes de moeurs. 1er livre. Scènes de la vie privée. T. 2. Autre étude de femme 14 Autre étude de femme − Hélas ! oui, dit Blondet. Notre époque n'a plus ces belles

fusse coiffée pour dîner, parce que nous serions toujours seules, et qu’alors elle me dirait chaque jour l’heure où je devrais l’aller joindre l’après-midi. Le reste du temps est à ma disposition, et j’ai ma harpe, mon dessin, et des livres comme au couvent ; si ce n’est que la mère Perpétue n’est pas là pour me gronder, et qu’il ne tiendrait qu’à moi d’être toujours sans rien faire : mais comme je n’ai pas ma Sophie pour causer ou pour rire, j’aime autant m’occuper. Il n’est pas encore cinq heures

et l’assemblee quittent le château de versailles viennent se réfugier à paris. Des deputes svt issus du club breton vont recréer un nouveau club : « la société des amis de la Constitution » et vont louer 1 salle de reunion ds 1 couvent proche du manege, qui est le couvent des Jacobins. ( on va dc appeler cette association le « club des Jacobins ». Or ce club n’est ouvert qu’à des élites, car il faut payer une cotisation assez élevée pour y entrer. Au bout de qqs mois, le club est ouvert à des

s’installent alors au couvent des Jacobins à Paris. Le club des Jacobins ; ses effectifs passent de 200 en 1789 à 1200 un an plus tard. Son influence dépasse les frontières parisiennes car partout en France, des filiales de ce club vont apparaître  les sociétés populaires. Tout citoyen aura l’obligation d’intégrer ce club sous peine d’être considéré comme un ennemi de la République. Dès 1791, les plus modérés des jacobins quittent ce club pour créer le club des feuillants autour de Lafayette notamment

participé aux réunions du Club breton, au café Amaury. Lors de l'installation de l'Assemblée à Paris, en octobre 1789, il rejoignit la Société des Amis de la Constitution, plus connue sous le nom de club des Jacobins, située près des Tuileries, dans le couvent des Jacobins rue Saint-Honoré. Lui-même était installé dans un meublé, au troisième étage, du n°9 de la rue de Saintonge, dans un quartier éloigné des Tuileries ; en 1790, un certain Pierre Villiers, officier de dragons et auteur dramatique, lui servit

contre-révolutionnaires. Les suspects arrêtés sont d’anciens membres du clergé donc en vertu de leurs croyances ; en vertu de leur origine familiale (anciens nobles) ; pour leur profession (journalistes modérés) ; des personnes issues du club des feuillants… Tous ceux qu’on suspecte de s’en prendre à la Révolution. Au 10 aout 1792, la Constitution de 1791 est tombée mais la DDHC aussi, ce n’est plus un texte de référence. On veut des preuves de fidélité à la Révolution, on ordonne la prestation de

philosophie ou une idéologie dont elles poursuivent avec comme finalité la conquête et l’exercice du pouvoir. Cette idée existait chez Aristote Chez les révolutionnaires, les partis ou clubs se sont formés en leur sein : parti des Feuillants, des Jacobins, les Cordeliers (couvents), les Girondins et les Montagnards. Aujourd’hui, 4 caractères caractérisent les partis : Organisation durable, Structure locale, Volonté de prendre le pouvoir et l’exercer, Souci de recherche du soutien populaire 1. La naissance