Couvent des Feuillants

et du citoyen FEUILLANTS: juillet 1791-août 1792. Le club Jacobin Les groupes politiques se multiplient. La liberté de réunion existant, les clubs bénéficient d’une grande liberté et se multiplient. Le plus important est le club des Jacobins. Création du club breton (crée lorsque les députés du Tiers Etat attendaient pour la vérification des pouvoirs), très vite ouvert à d’autres députés; lorsque le roi et l’assemblée partent pour Paris, le club suit et s’installe dans le couvent des dominicains

dit « régulier ». On soulignait que la discipline était peu ou pas du tout respectée, relâchement des mœurs, et la constituante avait répondu à cette critique par une mesure radicale puisque le 13 fév 1790, elle avait proclamé la fermeture des couvents et la dissolution de la plupart des congrégations religieuses à l’exception de celles qui s’occupaient des hôpitaux et de l’enseignement. En ce 13 fév 1790, la constituante proclame qu’elle ne reconnait plus les vœux monastiques perpétuels, à cause

population, cela va devenir la société des amis de la Constitution et lorsqu'en octobre 1789 quant on part de Versailles pour aller à Paris ils s'installent dans un couvent des dominicains et ce couvent est le couvent des Jacobins (pas très loin des Tuileries ce trouvait dans le 1er arrondissement) et ce club va prendre le nom du couvent. Ce clubs réunit des gens plutôt à gauche. L'un de ces chefs de ce club c'est Barnave, et puis on trouve d'autre figure très importante comme Robespierre, ce club

explication à la structure de la France : une structure monocéphale ou monocentrique ou il n’y a plus que Paris. on a aussi une nouvelle organisation de l’église , dès février 1790 : on interdit les ordres monastiques : une des victime est par exemple le couvent de la reine : la révolution va retirer les religieuses et va fermer l’école pour fille. C’est la fin des ordres religieux. Il va y avoir aussi quelques ordres qui vont survivre comme ceux qui s’occupent des hôpitaux. Il va y avoir des confiscations

Parisiens se heurtent au régiment dit du Royal-Allemand du prince de Lambesc dont les soldats sont accusés d'avoir tué des manifestants. Le 13 juillet, quarante des cinquante-quatre barrières d’octroi sont incendiées. Les réserves de grains des couvents sont pillées. Une milice bourgeoise se forme. [modifier] Première journée révolutionnaire Prise de la Bastille le 14 juillet 1789L'effervescence grandit. Le matin du 14 juillet 1789, les émeutiers parisiens partent chercher des armes. Dans une

jeune homme, après l'avoir lu, n'aurait pas manqué d'aller mettre le feu au premier couvent de nonnes; mais on fait encore mieux de le publier à présent; cette lecture pourra être utile aux gens assez fous (car il en est) pour s'affliger de la destruction de ces abominables demeures, et pour espérer leur rétablissement. «Ce singulier et attachant ouvrage restera comme un monument de ce qu'étaient autrefois les couvents, fléau né de l'ignorance et du fanatisme en délire, contre lequel les philosophes

L’extrême gauche est très populaire à Paris, elle est constituée d’hommes qui savent manier l’opinion publique. Ils s’expriment beaucoup au sein des clubs. On a le club des jacobins fondé à Versailles qui déménagent rue saint honoré, dans l’ancien couvent des saint dominicain qui étaient appelés Jacobins. Les jacobins sont extrêmement puissants car, très vite, des ramifications en province ont été créées. Le club se radicalise après la fuite de LXVI. A côté des Jacobins va se créer un autre club

s'assure l'appui de l'Eglise: il demande au pape qui doit avoir le pouvoir, celui qui est Roi et ne fait rien, ou celui qui n'est pas Roi et fait tout. Le pape répond naturellement que c'est celui qui fait tout… Pépin fait alors enfermer dans un couvent le Roi mérovingien, se fait élire par les grands, et pour faire légitimer ce qui est un coup d'État, il se fait sacrer en 751. Ce sacre signifie: " je suis reconnu par Dieu, qui approuve ce que j'ai fait". Et il se fera sacrer une seconde fois une

entre la nation et le roi, bien que celui-ci n’ait pris qu’une part réservée à la fête. Les groupes politiques se structurent : les patriotes du Club breton se forment en Société des amis de la Constitution ; celle-ci siège dans le couvent attribué à l’ordre religieux des Jacobins et devient le club des Jacobins ; de son côté, la contre-révolution s’organise. Depuis le Piémont, où il réside, le comte d’Artois, conseillé par Calonne, ancien contrôleur des Finances, dirige des réseaux

l’aube, les habitants se mettent en route et le roi décide de se réfugier à l’Assemblée. Relégué dans une loge étouffante, le roi et la reine assistent alors à l’effondrement légal de la monarchie. Ils sont conduits le soir dans les cellules du couvent des Feuillants. Estimant la situation très grave, les députés appellent une nouvelle assemblée constituante à définir le régime que les Français veulent adopter. Le 13 août, ils décident d’incarcérer Louis XVI et les siens dans le donjon du Temple. Avertis