Couverture Contre Risque De Liquidité

A. Long et moyen terme____________________________________________ 46 B. Court terme____________________________________________________ 47 Paragraphe 4/ Gestion des risques ________________________________________ 49 A. Risques financiers ______________________________________________ 49 B. Risques de taux et de change _____________________________________ 56 Section 2 systèmes d’ information : __________________________________________ 68 Paragraphe 1/ l’ importance

Analyse du risque ..............................................................................................24 CONCLUSIONS .....................................................................................................25 Rapport d'analyse financière 05/03/2009 2 SYNTHESE DES FORCES ET FAIBLESSES FORCES de l'entreprise Part de l'autofinancement dans la VA importante. Structure financière à long terme bonne. Frais financiers supportables. Marge nette appréciable. Risque à court terme

mais aussi à la filière de troisième année Gestion des Risques et Ingénierie Financière. Cette filière ouvre à plusieurs métiers de l’Industrie Financière dont nous étudierons les spécificités dans ce cours : cela va du modélisateur des risques au stratégiste quantitatif, de l’allocataire au statisticien développant des scores de risque client. Étant donné que ce cours constitue un pré-requis pour suivre les cours de la filière Gestion des Risques et Ingénierie Financière, sa philosophie va être de développer

trésorerie Section 2 : Approche par analyse de risque de liquidité et de taux 1. Typologie des risques de l’entreprise 2. Risque de liquidité a. Ratio de liquidité générale b. Ratio de liquidité immédiate c. Ratio de liquidité réduite 3. La solvabilité a. Le ratio d’autonomie financière b. Le ratio de solvabilité générale 4. Risque de taux a. Le taux fixe et le taux révisable b. Les taux du marché monétaire de l’UEMOA c. Illustration d’un risque de taux à la LONASE pour un découvert bancaire

marché de capitaux qui permet le financement de l’économie. C’est le lieu d’échange des valeurs mobilières, principalement les actions et les obligations. Depuis une trentaine d’années les marchés de capitaux ont été marqués par une abondance de liquidités, alimentée par les chocs pétroliers, par le développement des pays émergents accompagnés de l a constitution de réserves importantes et par l’augmentation du prix des matières premières. I. Présentation de l’entreprise : Née de la volonté

les résultats bruts des résultats comptables obtenus après injection des opérations dans le système d'information.· Assurer le suivi des risques : contrepartie, taux, change, liquidité. Ce domaine nécessite de fortes compétences car il s'agit à la fois de discuter avec les cambistes mais aussi de mettre en place, voir de développer, des outils de suivi des risques et de savoir en interpréter les résultats. 3-Back-Office Le Back-Office est le secteur administratif de la Salle des Marchés où l'on effectue

attachées aux créances objet de la cession ……………………………………………………… 24 2.2.3 l’opposabilité de la cession des créances aux tiers ………….. 24 2.3 Les titres émis par le FPCT ……………………………………………… 25 2.4 Les mécanismes de couverture mis en place par le FPCT pour protéger les investisseurs contre les risques spécifiques …………….……….….26 SECTION 2 : CONSTITUTION DU FPCT ………………………………………….…. 28 Paragraphe 1 : Les intervenants ……………………………………………….…….… 28 1.1 Etablissement Initiateur …………………………………………….…….… 29 1.2

se traduit par la déréglementation, la mise en concurrence, le libre-échange. Le libéralisme est un des facteurs de la mondialisation actuelle, mais aussi il est un facteur du développement économique mondial (hausse des revenus, etc...). Un contre-exemple : développement des échanges au sein de COMECON (CAEM, ) entre URSS, Europe de l’EST, Cuba, Vietnam… avant 1990, sans libéralisme (les échanges étaient planifiés). 2 - Composantes de la mondialisation On peut distinguer 5 composantes

Introduction La crise des subprimes est une crise financière qui a touché le secteur de l'immobilier dans un premier temps, elle s’est ensuite propagée à toute l'économie mondiale à partir de 2007, période où la prise de risque a été intense. Elle a pour origine l’éclatement d’un bulle spéculative. Et « les bulles spéculatives ont une répercussion d’autant plus importante sur l’économie qu’elles affectent le système bancaire ». (Servigny et Zelanko, 2010) Cette crise a donc remis en cause la

actif-passif des banques commerciales subira certainement les effets de Bâle III. Mais pas seulement. Cyril Demaria La gestion actif-passif des banques commerciales est devenu un exercice délicat. En effet, la gestion des risques a été bouleversée par l’assèchement soudain des liquidités au plus fort de la crise, mettant en question les modèles existants. En parallèle, les incertitudes conjoncturelles et économiques internationales rendent le pilotage stratégique particulièrement délicat.  Les banques