Couvreur

METIERS Légende : ceux qui ont d’après moi réussi Côté maternel Côté paternel Grand Père Grand-Mère Grand Père Grand-Mère Chef de Gare / Résistant pendant la seconde guerre mondiale au côté du Général de Gaulle Femme au foyer : 14 enfants Couvreur Femme au foyer Le travail avant tout et l’esprit d’équipe Donner une bonne éducation à ses enfants Le travail c’est la vie, il faut travailler pour vivre Tenir une maison propre et elever ses enfants pour qu’ils aient un « bon travail » Mère

liée à la fête champêtre dont elle peut être considérée comme un type. Watteau et Fragonard sont deux acteurs principaux de la fête galante : Jean-Antoine Watteau Jean-Antoine Watteau est né à Valenciennes en 1684 dans une famille de maîtres-couvreurs. Il commence son apprentissage de peintre à l’âge de dix ans chez Jacques-Albert Gérin, peintre valenciennois. A la mort de Gérin, en 1702, Watteau s’installe à Paris et poursuit ses études chez un graveur et décorateur de théâtre, Claude Gillot

avec son défunt père. Lui qui est issue du milieu modeste paysans, ayant quitté l’école très jeune est passé par différents métiers. Il travail d’abord à la ferme, puis entre au régiment lors de la première guerre mondiale, après il sera ouvrier, couvreur puis ouvre un café mais au vue des bas revenus que génère le café il ce doit de travailler ailleurs et devient contremaitre dans une raffinerie de pétrole. Il fera du ravitaillement durant la guerre et après la guerre il refait l’acquisition d’un

principaux fournisseurs sont VELUX pour les fenêtres de toit , UMICORE pour le zinc et IMERYS , Terreal et Laffarge pour les tuiles .En ce qui concerne l'approvisionnement de l'ardoise , elle provient d'Espagne. Les clients sont principalement des couvreurs de PME ou grande entreprise. Ils représentent plus de 73% du chiffre d'affaire. Ses principaux confrères sont Point P et la SAMSE. ( LES CONCURRENTS (STATUT D'ORIGINE ) Leur métier commence après l'installation de la charpente , en effet l'entreprise

plusieurs années) et ses rites, avec le mariage de Gervaise et Coupeau, de la misère populaire comme la misère de Gervaise qui finit par la tuer, le peuple au travail avec la blanchisserie de Gervaise, l’accident de Coupeau sur un toit (car il était couvreur) et les vices et mesquineries humaines, avec l’alcoolisme de Coupeau. L’assommoir

dans la loge et ouvrent les travaux, ils s’assurent toujours de la sûreté du local qui doit être clos et couvert. Certains rites prévoient même l’existence d’un garde extérieur et tous comportent parmi les officiers d’une loge, un garde intérieur ou couvreur. Ensuite, on vérifie que tous les assistants sont maçons, on leurs demande pour cela d’effectué leur signe de leur grade. Les cérémonies se déroulent dans règles très précise, rien n’est laissé au hasard. Les réunions ont lieu en moyenne deux fois

Jean-Antoine Watteau est le deuxième des 4 fils de Jean-Philippe Watteau (1660-1720), maître-couvreur, marchand de tuiles, et de Michelle Lardenois (1653-1727). Vers l’âge de dix ans, il est mis en apprentissage chez Jacques-Albert Gérin , l’un des peintres renommés de la ville, dont le musée et les églises de Valenciennes conservent quelques ouvrages, de valeur médiocre, dans le goût flamand. Gérin meurt le 7 juin 1702. Peu de temps après, on trouve le jeune homme à Paris, sans protection, sans

vue par les villageois car elle était parmi les premières femmes à être coquette. Ses parents ont loués un petit logement de 4 pièces . Il eurent une petite fille et la mère resta chez elle pour s’en occuper, le père trouva un travail comme couvreur mieux payé que son métier d’ouvrier à la corderie. Un jour, son père tomba d’une charpente et subit une forte commotion ce qui donna à sa femme l’idée de monter un petit commerce. Ils achetèrent un local dans la ville de « L… » à 30 Km du havre

guerre, il trouve un poste d’ouvrier au sein d’une corderie, où il fait la connaissance de la mère de la narratrice. Mariés, ils emménagent à Yvetot où leur premier enfant voit le jour. La mère devient femme au foyer, le père travaille en tant que couvreur. Ils ouvrent ensuite un commerce, un café-épicerie dans un village situé non loin du Havre. Contrairement à leurs espérances, le café rapporte peu, et le père n’a d’autre choix que de chercher du travail. Il devient contremaître dans une raffinerie

ouvrier dans une corderie. Là, il rencontre sa femme, la mère de la narratrice. Une fois mariés, ils louent un logement à Yvetot et ont leur première fille peu de temps après. La mère reste à la maison où elle s’ennuie tandis que le père travaille comme couvreur. Le commerce Sur l’idée de la mère, ils décident d’ouvrir un petit commerce. Ils s’installent dans un village ouvrier proche du Havre et y démarrent une activité de café-épicerie. L’enthousiasme des premiers jours cède rapidement la place à l’ennui