Craindre La Vieillesse

(situer dans le temps et dans l’espace): Staline au pouvoir (1924-1953), 5 ans après la fin de la seconde guerre mondiale, en 1950 III/ DONNER SES IMPRESSIONS Le petit garçon a l’air content de donner ces fleurs à Staline et il n’a pas l’air de le craindre malgré la « grandeur » de cette personne, qui est l’unique chef du régime totalitaire de l’URSS. Celui-ci a l’air tout aussi content d’accueillir ces enfants avec les bras tendus vers l’un d’eux IV/DECRIRE : les structures, les points de vue, les

furent les premiers créés par les dieux, ils vivaient au temps où régnait Cronos. Tels des dieux, ils vivaient «le cœur libre des soucis, vivaient à l’écart et à l’abri des peines et des misères », toujours jeunes, ne connaissant ni la maladie, ni la vieillesse, la nature généreuse les dispensant du travail, et il y régnait la paix et la justice. C’était un temps d’innocence, d’abondance, voire de réplétion, de douceur, de paix et de bonheur ou le printemps était perpétuel, les champs produisaient sans

et pénible à tenir ; Pour peu qu’on s’en écarte, aussitôt l’on se noie. La raison pour marcher n’a souvent qu’une voie. Nicolas Boileau, l’Art poétique, 1674. Acte1. Scène4. Don Diègue Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie ! N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie11 ? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? Mon bras qu’avec respect toute l’Espagne admire, Mon bras, qui tant de fois

est le seul bien de ceux qui n'en ont plus.” Roger Bussy-Rabutin, XVIIe siècle 7. “L'espérance est un aliment de notre âme, toujours mêlé du poison de la crainte.” Voltaire, XVIIe siècle 8. “Les hommes sont extrêmement portés à espérer et à craindre, et une religion qui n'aurait ni enfer ni paradis ne saurait guère leur plaire.” Montesquieu, XVIIIe siècle 9. “Il n'est pas de plaisir plus doux que de surprendre un homme en lui donnant plus qu'il n'espère.” Charles Baudelaire, XIXe siècle

et le moucheron : Un moucheron déclare la guerre à un lion car il l'avait « traité », Il l'attaque de toute part et le fait devenir fou. Le moucheron gagne le combat mais est victime d’une araignée. Morale : « Entre nos ennemis les plus à craindre sont souvent les plus petits … » 2- L’Âne et le petit Chien : L’Âne jaloux du Chien que le maître caresse veut se comporter comme celui-ci mais maladroit ne récolte qu'un coups de bâton. Morale : « Ne forçons point notre talent, Nous ne

Socrate évoque une discussion qui eut lieu la veille chez Polémarque, fils de Céphale, entre lui, Glaucon, Thrasymaque, Adimante et leurs deux hôtes. Le vieux Céphale est interrogé par Socrate sur la manière dont il supporte la vieillesse. Céphale répond que la vieillesse est supportable et douce si l'on a vécu suivant la justice, en étant loyal et sincère, et en donnant à chacun ce qui lui est dû. Polémarque remplace alors son père dans la conversation et affirme que la justice consiste à rendre

s'appuie sur son expérience en prenant des exemples qu'il a lui même vécus. Dans le chapitre « De l'expérience » de son troisième livre, Montaigne dit que « Dieu fait grâce à ceux, à qui il soustrait la vie par le menu. C’est le seul bénéfice de la vieillesse. La dernière mort en sera d’autant moins pleine et nuisible : elle ne tuera plus qu’un demi, ou un quart d’homme. Voila une dent qui me vient de choir,sans douleur, sans effort : c’était le terme naturel de sa durée. Et cette partie de mon être

définie, et délimitée. Pôle positif : « intimité » (capacité de se lier aux gens, de partager sa vie avec d'autres sans craindre de se perdre) Pôle négatif : « isolement ». 7/Âge mûr Pôle positif : « générativité » (capacité de s'intéresser à la société, à d'autres personnes que soi-même ou sa famille) Pôle négatif : « souci exclusif de soi-même », soit « stagnation » 8/Vieillesse Pôle positif : « intégrité personnelle » (fierté, satisfaction sur sa vie passée) Pôle négatif : « désespoir »,

m'en a su rendre indigne. Et toi, de mes exploits glorieux instrument, Mais d'un corps tout de glace inutile ornement, Fer, jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense, M'as servi de parade, et non pas de défense, Va, quitte désormais le derniers des humains, Passe, pour me venger, en de meilleurs mains Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! : La figure de style s'appelle une apostrophe Nouvelle dignité fatale à mon bonheur ! : la dignité de gouverneur de Castille

perspective de notre propre mort, qui semble si irréelle étant jeune, si éloignée de notre réalité lorsqu’en pleine santé et au sommet de ses capacités. Enfin, dans un monde où la vieillesse fait peur et est perçue comme un handicap pour le bon déroulement de la société, la marginalisation des personnes âgées est à craindre. J’ai la pénible impression que plus nous vieillissons, plus nous devenons isolés du reste du monde, plus nous subissons la perte de l’intérêt des autres à notre égard. Les personnes