Crâne de cristal

surveillance des malades au niveau du service. • Deux internes assurent l’accueil et la prise en charge des traumatisés crâniens simples : hématome sous cutanés, égratignures, plaie du cuir chevelu, ainsi que la suspicion de fractures des os du crâne et la demande de TDM cérébrale si nécessité. • Les résidents et le maître assistant interviennent dans le cas des traumatisés graves et assurent les interventions chirurgicales urgentes. La visite générale : Au service de neuro-chirurgie

damnées (pièce condamnée) LXXXII. Femmes damnées LXXXIII. Les Deux Bonnes Sœurs LXXXIV. La Fontaine de Sang LXXXV. Allégorie LXXXVI. La Béatrice LXXXVII. Les métamorphoses du vampire (pièce condamnée) LXXXVIII. Un Voyage à Cythère LXXXIX. L’Amour et le Crâne 101 102 103 105 108 111 112 113 114 115 116 117 119 RÉVOLTE XC. Le Reniement de Saint Pierre XCI. Abel et Caïn XCII. Les Litanies de Satan 120 121 122 124 LE VIN XCIII. L’Ame du Vin XCIV. Le Vin de Chiffonniers XCV. Le Vin de l’Assassin

| |  | |Ses yeux profonds sont faits de vide et de ténèbres, | |Et son crâne, de fleurs artistement coiffé, | |Oscille mollement sur ses frêles vertèbres. | |O charme d'un néant follement attifé !

comme une fleur. La ruche qui se joue au bord des clavicules,Comme un ruisseau lascif qui se frotte au rocher,Défend pudiquement des lazzi ridiculesLes funèbres appas qu'elle tient à cacher. Ses yeux profonds sont faits de vide et de ténèbres,Et son crâne, de fleurs artistement coiffé,Oscille mollement sur ses frêles vertèbres,Ô charme d'un néant follement attifé! Aucuns t'appelleront une caricature,Qui ne comprennent pas, amants ivres de chair,L'élégance sans nom de l'humaine armature.Tu réponds,

souffrait le plus. En haut, la température montait jusqu’à trente-cinq degrés, l’air ne circulait pas, l’étouffement à la longue devenait mortel. Il avait dû, pour voir clair, fixer sa lampe à un clou, près de sa tête ; et cette lampe, qui chauffait son crâne, achevait de lui brûler le sang. Mais son supplice s’aggravait surtout de l’humidité. La roche, au-dessus de lui, à quelques centimètres de son visage, ruisselait d’eau, de grosses gouttes continues et rapides, tombant sur une sorte de rythme entêté

sur le bureau, histoire de faire sérieux. Dès que j'eus refermé la porte, le moustachu put découvrir l'existence d'un petit frigo et d'une pile de cartons fermés et étiquetés sur laquelle se dressait un gros géranium en pot enveloppé dans du papier cristal. Je jetai un coup d'œil à ma montre et vis qu'il était presque six heures. C'était parfait … Je fis signe au moustachu de s'asseoir et lui proposai une bière fraîche. - "Ca marche, les affaires ?" me demanda-t-il subitement, après avoir englouti la

d'Azura : une gemme spirituelle réutilisable à l'infini et capable de capturer toutes les âmes. Wabbajack ! : un bâton qui transforme vos ennemis en une créature aléatoire. L'Anneau de Namira : un anneau qui vous protège des sorts et des dégâts. Le Crâne de Corruption : un bâton qui dédouble votre ennemi et ce double combat pour vous. La Rose de Sanguyin : un bâton qui invoque un daédra. Volendrung : un marteau qui absorbe la santé et paralyse. L'Anneau de Khajiit : un anneau qui fortifie la vitesse

de sa main son autre. Elle avait perdu les pas de son enfance, elle s'était adonnée à la fièvre, de celle qui brûle le cervelet. Elle savait que maintenant, elle ne voulait plus redescendre et se plaisait à laisser ces billes éclater dans son crâne, à humer et se laisser emporter par cette lumière blanche pour pouvoir dire Adieu au Monde. Elle aimait dorénavant penser à cet homme, celui qui est assis sur un rocher avec son chapeau de paille. Elle le regarde, majestueux, jouant de la flûte

de vie Et va vivre ton songe en la Cité des Eaux.                                   * L’onde ne chante plus en tes mille fontaines, O Versailles, Cité des Eaux, Jardin des Rois ! Ta couronne ne porte plus, ô souveraine, Les clairs lys de cristal qui l’ornaient autrefois ! La nymphe qui parlait par ta bouche s’est tue Et le temps a terni sous le souffle des jours Les fluides miroirs où tu t’es jadis vue Royale et souriante en tes jeunes atours. Tes bassins endormis à l’ombre des grands

ruche qui se joue au bord des clavicules, Comme un ruisseau lascif qui se frotte au rocher, Défend pudiquement des lazzi ridicules Les funèbres appas qu’elle tient à cacher. Ses yeux profonds sont faits de vide et de ténèbres, Et son crâne, de fleurs artistement coiffé, Oscille mollement sur ses frêles vertèbres. Ô charme d’un néant follement attifé. Aucuns t’appelleront une caricature, Qui ne comprennent pas, amants ivres de chair, L’élégance sans nom de l’humaine armature