Crédit coopératif

 Le microcrédit s’imbrique dans un phénomène de plus large ampleur : la Microfinance  La Microfinance regroupe l'offre de services financiers aux populations pauvres, exclues du système bancaire, sans ressources ni droit de propriété (épargne, crédit au logement, assurance santé …) 4 Eloi PANGOP - Directeur ECOREL Définition de la Microfinance  La Microfinance offre de services financiers à des individus ou des groupes d'individus pauvres, qui n'ont pas accès aux services financiers

l’asymétrie d'information avant qu'une transaction n'ait lieu. Il y a anti-sélection sur un marche financier lorsque les emprunteurs les plus susceptibles de conduire a. de mauvais résultats (les plus risques) sont ceux qui recherchent le plus activement du crédit et qui ont le plus de chance d'en obtenir (d'être sélectionnés). En raison de l'anti-sélection, beaucoup de prêts risques sont accordes, mais si les prêteurs craignent trop de ce fait de perdre leur argent, ils peuvent décider de ne pas prêter du

Conseil (GIAC) 4.1.2) Lignes de financement a) Lignes nationales 1) Prêt participatif de Bank Al Amal b) Lignes étrangères 1) Ligne de crédit française 2) Ligne de crédit portugaise 3) Ligne de crédit italienne 4) Ligne de crédit allemande 5) Ligne de crédit espagnole 4.2) Système de garanties et d’assurances 4.2.1) Caisse Centrale de Garantie 1) Garantie des Crédits d’Investissement 2) Cautionnement des Marchés à l’Exportation 3) Fonds de Garantie de la Restructuration Financière 4) Fonds National

modalités d'établissement et de conservation des états financiers des systèmes financiers décentralisés de l'Union Monétaire Ouest AfrIcaine 71 - Instruction n° 004-06-2010 relative au retrait de la reconnaissance des groupements d'épargne et de crédit en activité dans les Etats membres de l'Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA) 73 - Instruction n° 005-06-2010 déterminant les éléments constitutifs du dossier de demande d'agrément des systèmes financiers décentralisés dans les Etats membres

capitalistes en leur fournissant les capitaux nécessaires au développement de leur activité. Au XXème siècle, le système bancaire français a fait l’objet de mouvements de natures diverses, les banques ont été nationalisées puis dénationalisés. Les réseaux coopératifs et mutualistes ont perdu de leur importance, ce qui a permis d’assouplir les contraintes pesant sur les activités bancaires. L’acte unique européen a entrainé l’ouverture du marché français aux banques européennes et par la même augmenté la concurrence

Développement. CI : Créances Internationales CL: Créances Locales CMC : Conseil de la Monnaie et du Crédit. CNEP : Caisse Nationale d’Epargne et de Prévoyance. CNMA : Caisse Nationale de Mutualité Agricole CPA : Crédit Populaire d’Algérie. DA: Dinar Algérien. HBA: Housing Bank for Trade and Finance Algeria. IDESF : Investissement Direct Etranger dans le Secteur Financier. LMC: Loi Relative à la Monnaie et au Crédit. MT : Moyen Terme. PECO : Pays d’Europe Centrale et Orientale SATIM : Société d’Automatisation

II à Bale III 67 2. Les objectifs de la réforme 67 3. L’impact de la réforme 68 CHAPITRE II- Gestion du risque opérationnel à la Banque Centrale Populaire 69 SECTION I – Présentation de la Banque Centrale Populaire 70 1. Présentation du Crédit Populaire du Maroc 70 2. Présentation du département RISK MANAGEMENT 71 SECTION II – Gestion du risque opérationnel à la Banque Centrale Populaire 76 1. La conception d’un modèle de mesure du risque opérationnel 76 2. Enjeux du risque opérationnel

Banque Calcul du cout moyen pondéré des DAT logement Évolution mensuelle des DAV Calcul du CMP des LEL Calcul du CMP des LEP Calcul du CMP des comptes chèques Calcul du CPM des comptes courants Calcul du CMP des livrets sans épargne Calcul du CMP du crédit hypothécaire à la CNEP Ventilation des frais généraux de la CNEP banque en 2008 Répartition des charges de fonctionnement entre centres de coûts et centres de profits Calcul des αi Répartition des FG siège central sur les 14 réseaux d’exploitation

comptable. La gestion prévisionnelle au jour le jour, doit être aussi, une préoccupation majeure du responsable de la trésorerie pour optimiser les flux financiers. Enfin, le trésorier est amené de prendre des décisions financière de mobilisation de crédits, d’escompte et de placement, etc. ces décisions sont prises généralement de façon empirique en l’absence de méthodes rationnelles, tant au niveau du système d’information nécessaire pour la prise de décisions adaptées qu’au niveau de ces décisions

Les instruments de la politique monétaire IV.3- Principaux résultats de la politique monétaire IV.4- Politique monétaire et financement de l’économie IV.5- point de vue des managers des banques publiques sur le marché monétaire et la politique du crédit en Algérie Chapitre V : POUR UNE GESTION PLUS TRANSPARENTE ET UNE STABILISATION DU TAUX DE CHANGE DU DINAR V.1- Pour une gestion plus transparente du taux de change V.2- De la nécessité de stabiliser le taux de change du dinar CONCLUSIONS