Credit Libanais

SYSTEMES BANCAIRES ET FINANCIERS Sujet : L’immunité du système financier libanais face à la crise 2008 Préparé par : EL RAHI Rebecca SOMMAIRE INTRODUCTION I- Les causes de l'immunité du système financier libanais face à la crise: A- Rôle de la banque centrale 1- La supervision et le contrôle 2- La pratique de la politique de soutien de la L.L B- Spécificités du système financier libanais 1- Banques traditionnelles 2- Approche familiale

de crédit dans le département du crédit et dans le département de gestion du risque. Filière finance. SOMMAIRE 1 Remerciements. 3 2 Introduction. 4 3 Le cadre du stage. 5 3.1 Le secteur bancaire libanais. 5 3.1.1 Les acteurs du système bancaire libanais. 6 3.1.2 Les caractéristiques du secteur et les performances. 7 3.1.3 Les tendances au niveau des sources de profit des banques. 8 3.1.4 Le rôle du gouvernement dans le développement du secteur bancaire libanais. 9

Salamé : « Le Liban et le secteur bancaire ne seront pas affectés par la crise financière internationale » Le gouverneur de la BDL est catégorique : La crise financière ne se répercutera pas sur la stabilité du crédit au Liban. Il a estimé que la liberté de marché ne s’oppose pas à l’application de réglementations de prudence. | Le gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salamé, participe aux réunions annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international qui se tiennent à Washington

fouet par la crise financière, l'économie libanaise continue d'afficher sa résistance, notamment grâce à la solidité de son système bancaire. L’ensemble des activités bancaires est soumis au Code du Commerce (1942) et au Code de la Monnaie et du Crédit (1963). Les banques et autres institutions financières au Liban sont soumises au contrôle et aux règlements de la Banque du Liban ou Banque Centrale qui est l’autorité monétaire du pays. La Banque du Liban contrôle l’entrée au secteur bancaire, définit

PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES Le Secteur bancaire libanais est stable et financièrement solide. Il joue un rôle primordial dans l’économie nationale où les banques continuent à dominer le système financier du pays et sont les principaux bailleurs de fonds des individus et des sociétés.  L’ensemble des activités bancaires est soumis au Code du Commerce (1942) et au Code de la Monnaie et du Crédit (1963). Les banques et autres institutions financières au Liban sont soumises au contrôle et aux

koweitiens , et des professionnels libanais se sont occupés de la banque et ils l’ont acheté. Grâce à ces nouveaux patrons, la banque a commencé une nouvelle série d'activité, et une nouvelle ère. En décembre 2002, Mr. Rami El Nimer travaillant comme directeur générale de la banque Objectif et stratégie : La stratégie et l'objectif et de la FNB est d'offrir des produits différents et même diversifiés, elle a comme cible les arabes et notamment les libanais, - elle veut être une très remarquable

périmètre du Ratio de Cooke 15 2.1.4. L’évaluation du ratio de Cooke: vers une refonte du ratio 17 2.2. Structure de Bâle II : ratio «Mac Donough » 18 2.2.1. Pilier 1 : Les exigences en fonds propres, le ratio McDonough 19 A- Le risque de crédit 19 a) L’approche Standardisée 19 b) Approche de Notation Interne 20 B- Le risque de marché : une reprise de la directive Capital Adequacy Directive de 1996 20 C- Le risque opérationnel 20 D- Le calcul du ratio McDonough 21 2.2.2

financeurs des PME . . 1.2- Le concept de risque crédits bancaires . . 1.3- Les types de relations Banque- PME . . 1.4- Le risque du financement bancaire des entreprises . . 1.5- Les déterminants du choix du type de financement . . 1.6- La légitimité des relations Banque-PME . . 1.7- Les relations Banque- PME et les conditions de crédit . . 1.8- Les relations Banque- PME et la nature de l’information . . 1.9- La limitation du risque de crédit . . 1.10- Le financement des PME et la consolidation

remarquable de la taille du secteur bancaire privé, 40 % des crédits aux 650 grandes et moyennes entreprises recensées ayant été allouées par ces institutions, deux ans à peine après la création des premières d’entre elles. Aussi, ces banques ont 15 % des parts du marché tandis que la Banque commerciale de Syrie en détient 55 %. Toutefois, l’étude ne précise pas les critères utilisés par la BEI pour calculer ces parts de marchés (dépôts, crédits, etc.) La culture du « cash » demeure prédominante

De SGBL : 10  La fonction de chaque employé de la branche : 11 III. Les crédits : 12 1. Procédure : 12 2. Les types de prêts: 12  Les prêts personnels 12  Les prêts de logements 12  Le prêts de voiture 13 IV. Les comptes a la banque : 13 1. Côté particulier : 14 2. Côté Entreprise : 15 3. Les Jeunes : 15 Les cartes bancaires : 17  Les cartes de débits diffères : 17  Les cartes débits immédiat : 18  La Carte de crédit : 19  Les cartes prépayées : 20  Les assurances : 20 Conclusion : 23 Bibliographie