Cri Habillé

Catharsis pour réussir à étayer la foi française et que pour Sartre, il se fit plus sur r l’effet de distanciation pour responsabiliser les consciences. Tout d’abord, pour étayer la foi, il permet au lecteur d’atteindre une catharsis de manière très habile en utilisant des parallèles avec l’évangile, tel que l’un des sept péchées capitaux, la jalousie et amènes les bon actes qu’un bon homme doit faire selon la bible, je veux tout simplement faire référence au pardon, tout cela permet de faire sortir

remplacés par les rêves et l’imaginaire, que Delvaux parviendra à extérioriser son anxiété. Delvaux exprime donc ce qu’il ressent, son inconscient à travers ses peintures. Delvaux accorde davantage d’importance à l’imaginaire des surréalistes qu’à leur cri de révolte. L'inconscient et la sexualité sont présents dans tous les tableaux de Delvaux. Il s’imprègne de la rigueur des architectures néoclassiques des œuvres de De Chirico. Il s’inspire également beaucoup de la religion. Ses études classiques gréco-latines

thème de la guerre. Tout d’abord, Maupassant cite un philosophe de génie, extrêmement connu et reconnu : Victor Hugo. Il introduit sa citation par une question rhétorique : « N’aurait-t-on pas honni tout autre que Victor Hugo qui eût jeté ce grand cri de délivrance et de vérité ? » (ligne 6). Pourquoi cette question ? Il semble que l’auteur pense que les hommes rejetteraient l’idée même de « [déshonorer] la guerre » si un autre que le ‘grand’ Victor Hugo le leur suggérait, bien qu’ils ne l’aient

camarde du spectre s'approchait, le gamin lui donnait une pichenette. Une balle pourtant, mieux ajustée ou plus traître que les autres, finit par atteindre l'enfant feu-follet. On vit Gavroche chanceler, puis il s'affaissa. Toute la barricade poussa un cri ; mais il y avait de l'Antée dans ce pygmée ; pour le gamin toucher le pavé, c'est comme pour le géant toucher la terre ; Gavroche n'était tombé que pour se redresser ; il resta assis sur son séant, un long filet de sang rayait son visage, il éleva

 Loup Le loup, un animal aux yeux d’hiboux Dont les dents sont pointues jusqu’au bout Fort habile mais très méchant sous son poil hérissé Pauvres agneaux mourant tous sous ces coups crispés. L’horrible bête traversant fièrement les bois Sous les branches, les pattes pleines de boue Résistait héroïquement aux paysans comme un roi Il sortit ses dents acérées qui tuera

habituel dans les livres et les draps, le silence criard du départ imprévu. Il pleura. (AP) MODÈLE C : Duhamel, relatant son arrivée aux abattoirs de Chicago, écrit: « L'auto. La rue. Le bruit. Et puis, derrière une porte peinte en rouge, le cri. Le cri des bêtes ». PASTICHE I : Georges Grün, relatant son but historique contre les Pays-Bas, explique : « La passe. Le ballon. Le shoot. Et puis, au fond des filets, le but. Le but de la qualification ». (JFP) PASTICHE II : Amstrong, relatant

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vint le rejoindre sur le pas de la porte; il s’était habillé d’un maillot de bain et de rien d’autre, ce qui ne lui avait donc guère pris de temps. «Si on allait voir le lac avant de manger, papa? proposa Tommy. D’accord, » dit George qui n’avait pas vraiment faim. À leur retour, ils trouveraient peut-être Wilma réveillée. Le lac était très beau, d’un bleu plus intense encore que le ciel et lisse comme un miroir. Tommy y plongea avec un petit cri de joie et George lui cria de ne pas s’aventurer au

faisaient appel à Ah Yu dans notre bourg de Pingyao pour les décès, les mariages ou les naissances, le faisaient uniquement à cause de sa réputation d'artiste. Tous se méfiaient de son caractère et de devoir l'héberger durant son travail. Le voir habillé de vêtements rapiécés et chaussé de semelles de tissu dans une maison respectable jetait un doute sur ses capacités artistiques. Son esprit rebelle faisait que tous dans sa résidence provisoire d'accueil le craignaient. Quand le travail terminé

victimes directes de la guerre (gueules cassées mutilées, les prothéses). Les victimes indirectes de la guerre (orphelins, les veuves réduit à la prostitution pour vivre) 2 Une crise sociale ceux qui s'en sortent après la guerre (Le mutilé bien habillé a réussi à se réinsérer dans la société ,Les deux hommes dont on ne perçoit que les bras sont des bourgeois : des profiteurs de la guerre ? ) Les perdants de la guerre ( La femme seule pourrait être une prostituée, l'orpheline, Le mutilé, en guenilles