Crime de haine

Tu viens d’incendier la Bibliothèque ? - Oui, J’ai mis le feu là. - Mais, c’est un crime inouï ! Crime commis par toi contre toi-même, infâme ! Mais tu viens de tuer le rayon de ton âme ! C’est ton propre flambeau que tu viens de souffler ! Ce que ta rage impie et folle ose brûler, C’est ton bien, ton trésor, ta dot, ton héritage ! Le livre, hostile au maître, est à ton avantage. Le livre a toujours pris fait et cause pour toi. Une bibliothèque est un acte de foi Des générations ténébreuses

Tu viens d'incendier la Bibliothèque ? - Oui. J'ai mis le feu là. - Mais c'est un crime inouï ! Crime commis par toi contre toi-même, infâme ! Mais tu viens de tuer le rayon de ton âme ! C'est ton propre flambeau que tu viens de souffler ! Ce que ta rage impie et folle ose brûler, C'est ton bien, ton trésor, ta dot, ton héritage Le livre, hostile au maître, est à ton avantage. Le livre a toujours pris fait et cause pour toi. Une bibliothèque est un acte de foi Des générations ténébreuses

la passion tragique par excellence, un amour irrésistible, égoïste et, surtout, impossible le conflit vient de l'impossibilité de cet amour qui donne naissance à la jalousie et, parfois, se transforme en haine. Il conduit à la perte des amants comme des aimés : la haine triomphe dans le crime, l'amour dans le suicide.

départs sont atroces. Il est des êtres pourrissant non seulement dans leur tête mais également dans leur cœur. Non seulement ils pissent, ils défèquent sous eux, mais ils récriminent, vitupèrent, maudissent et blasphèment ; leur bile se transforme en haine, leur peur devient méchante, leurs pensées se putréfient. Mais la loi de la nature est ainsi faite que la beauté peut naître du cloaque, une rose du fumier, le diamant du charbon. Tous les vieillards ne se souviennent plus que leur être est unique

45/46). Ces mots nous révèlent qu'elle ne fait que commencer, qu'elle peut faire pire que cette première approche de sa vengeance. Ces mots nous inquiètent car nous comprenons que ses représailles vont être terribles et qu'à cause de sa forte haine et de son immense colère, elle va faire souffrir ou mourir beaucoup d'autres personnes. Dans cet fin de premier acte, la magicienne nous laisse entendre qu'elle va tuer les enfants issus de son mariage avec Jason : « Déchirer par morceaux l'enfant

punit : Provocation publique à la discrimination, à la haine ou à la violence nationale, raciale ou religieuse : 1 an d’emprisonnement et 45.000 € d’amende.  Contestation de crime contre l’humanité : 1 an d’emprisonnement et 45.000 € d’amende. Diffamation raciale publique : 1 an d’emprisonnement et 45.000 € d’amende. Injure raciale publique : 6 mois d’emprisonnement et 22.500 € d’amende. Provocation non publique à la discrimination, à la haine ou à la violence nationale, raciale ou religieuse : contravention

apeurer les passants. Le rouge est la couleur du sang, du crime et des communistes. Une grande flèche rouge dirige le regard vers les photographies du bas. Celles-ci sont censées être des preuves de la dangerosité des Résistants , elles montrent des actes de sabotages et un corps criblé de balles. Une question est posée en haut de l'affiche «Des libérateurs ?», et tout en bas, sous la grande flèche, la réponse : «La libération ! Par l'armée du crime.» vise à prouver que les résistants, tous étrangers,

symbolisent sa puissance économique et vers Washington, vers le Pentagone, qui est la Défense des Etats-Unis, le symbole de sa puissance militaire. Ils causeront la mort de plus de deux mille personnes. Ce récit, ce crime imprescriptible (qui ne sera jamais oublié et peut être encore jugé), ce crime contre l’humanité, connu de tous, nous allons l’expliquer, le concrétiser, mais non d’un point de vue de recherche ou de journalisme, mais vu, pensé, réfléchi, travaillé par les terroristes, les kamikazes, ceux

sa mère. L’enquête de ce crime a une très grande ressemblance avec les démarches d’une psychanalyse. La mère de celui-ci est aveuglée par l’amour de son fils, elle s’oppose donc à la poursuite de l’enquête. Elle dit que plusieurs hommes ont rêvé qu’ils vivaient avec leur mère et que les rêves ne méritent aucune considération. Dans le fond cette légende est une partie immorale elle supprime la responsabilité de l’homme, attribue aux puissances divines l’initiative du crime et l’impuissance sur le morale

enfin, de ce que j’ai profané la vertu, en souffrant qu’on appelât de ce nom ma soumission à tes fantaisies. Tu étais étonné de ne point trouver en moi les transports de l’amour : si tu m’avais bien connue, tu y aurais trouvé toute la violence de la haine.