Crime Passionnel

objet positif d’investigation empirique. Depuis cette époque, les sciences interprétatives se sont scindées en plusieurs disciplines. a. la criminologie La définition la plus simple c’est la science du crime, mais c’est faux car le droit pénal est aussi la science du crime. Comment se sont constituées les données criminologique ? Quelles sont les divisions ? 1. les approches constitutives de la criminologie La criminologie a été abordée par des perspectives différentes

une sévérité des peines qui sert à la dissuasion + l’utilité de la peine (Beccaria), les peines corporelles et d’éloignement (le bagne) persistent. On prend aussi en compte des avancés révolutionnaires notamment le principe de légalité : « pas de crime, pas de peine sans loi » + la classification tripartite des infractions apparait. Ensuite le Code pénal se transforme au grès des réformes/transformations de la société française, notamment avec l’industrialisation de la société avec le progrès

Holderlin, La Mort d’Empédocle Introduction : L’absurde et le meurtre Il y a des crimes de passion et des crimes de logique. Le Code pénal les distingue, assez commodément, par la préméditation. Nous sommes au temps de la préméditation et du crime parfait. Nos criminels ne sont plus ces enfants désarmés qui invoquaient l’excuse de l’amour. Ils sont adultes, au contraire, et leur alibi est irréfutable : c’est la philosophie qui peut servir à tout, même à changer les meurtriers en juges. Heathcliff

sa sévérité, est donc - on le voit - largement remise en cause. L’idée est certes toujours l’intimidation collective comme forme de prévention générale, la fonction de la peine étant exclusivement utilitaire, le châtiment permettant de prévenir le crime par la crainte qu’il suscite chez les individus. Mais l’idée de sévérité privilégiée par le philosophe Anglais Bentham dans son Traité de législation civile et pénale, mais surtout dans son Traité des peines et des récompenses est reprise par les codificateurs

juge peut prendre en compte les antécédents judiciaires de l’auteur de l’acte. B) La mise en œuvre des critères jurisprudentiels • Affaire Prévost, 3 Janvier 1913, Dalloz 1914, p.41 : Le juge considère que la présence d’individu sur le lieu d’un crime (lieu de passage d’un encaisseur), avec des outils constitue un commencement d’exécution. • Dans une affaire de viol, mettre un préservatif constitue une tentative de viol (Chambre criminelle, 10 Janvier 1996). • Tentative d’escroquerie à l’assurance :

privée à la justice privée. La société vient imposer un minimum de règles pour l’exercice de cette réaction contre le crime. Puisqu’on impose des règles c’est l’idée de justice qui apparaît. Néanmoins, cette justice reste privée car la réaction à la criminalité conserve sa nature privée. Donc c’est la victime qui continue à dominer le système de justice, à dominer la réaction contre le crime. L’apparition véritable du droit pénal se fait lorsque le phénomène criminel est appréhendé comme un facteur

eu les déterministes. II/ Les déterministes Depuis toujours, des scientifiques ou des professionnels venant d’horizons très divers (sociologues, médecins, philosophes) étudient les causes du crime dans la personne du criminel en pensant que s’ils arrivent à identifier un gène ou une maladie du crime, ils pourraient la soigner et mettre fin à la délinquance. À cette époque, le délinquant est un être malade qu’il faut soigner de manière adéquate. 3 systèmes déterministes : A/ Le déterminisme

sa sévérité, est donc - on le voit - largement remise en cause. L’idée est certes toujours l’intimidation collective comme forme de prévention générale, la fonction de la peine étant exclusivement utilitaire, le châtiment permettant de prévenir le crime par la crainte qu’il suscite chez les individus. Mais l’idée de sévérité privilégiée par le philosophe Anglais Bentham dans son Traité de législation civile et pénale, mais surtout dans son Traité des peines et des récompenses est reprise par les codificateurs

 Un crime dit « d'honneur » est un crime perpétré en réaction à un comportement perçu comme ayant apporté le déshonneur à une famille, et ayant donc enfreint le code d'honneur. La plupart des victimes, qui ne sont pas nécessairement auteurs des faits reprochés, sont des femmes. Depuis la Rome antique, les crimes d'honneur sont un phénomène connu; le paterfamilias ou l'homme le plus âgé de la famille avait alors le droit de tuer sa fille célibataire qui avait des relations sexuelles ou une

Crime passionnel 1 Il fait nuit, tout est calme dans ce quartier résidentiel nantais. Tout le monde dort, sauf un homme. Il est plutôt gros, la cinquantaine, il a l’air fatigué. Il claque la portière de sa voiture et se dirige vers ce qui semblerait être sa maison. Elle a deux étages, les volets sont mi-ouverts à cause de la chaleur mais l’on peut apercevoir une faible lumière. L’homme sort ses clés et rentre chez lui… Vendredi matin de la même semaine, vers 7h, le facteur arrive