Crime

allons voir dans un premier temps les différents liens qu'il peut y avoir entre la punition légale et la vengeance. Commençons par la punition légale qui est l'acte de punir par la justice, par la loi et donc dans la légalité. Prenons comme exemple un crime quelconque : si celui-ci est commis par un homme, la partie lésée souhaite que cet homme soit puni de ses actes en le poursuivant en justice pour qu'il serve d'exemple et qu'il soit écarté de la société. En le punissant de cette façon, la partie lésée

elle a écrit à tous les juges) -          Discours direct -          Composition du discours : 3 paragraphes 1.       Entrée en matière 2.       Corps : injustice des classes ( thème principal 3.       Conclusion : revendication du crime + Réactions de tous ceux qui l’ont écouté (avocat général + femmes)   Pb : Quelle est l’originalité de cette « plaidoirie » ?   I.                   La provocation d’un héros romantique   1)      Revendication d’une identité   -         

terrifiante. « de barbe et de nuit ». Tous apparaissent comme des criminels pris en gros plan. Noir = crime, mort. Au gris des murs s’opposent les couleurs violentes de l’affiche « une tache de sang » (vers 8). Rouge = sang, crime + couleurs du communisme, identifié par les nazis au crime. Sur l’affiche, au blanc, symbole du pureté (texte), succède le rouge associé au meurtre avec l’expression « l’armée du crime » qui déforme l’idée de troupe militaire organisée et hiérarchisée. Le texte de l’affiche est

greffier. _ Le tribunal de police : Ce tribunal gère les affaires concernant les amandes lourdes (violences ou infractions routières), il se compose d’un juge, assisté d'un greffier. _ La cour d’assises : La cour d’assises condamne les gens accusés de crime, de tentative ou de complicité, comme le meurtre, le viol, vol à main armée, agression grave… Les juridictions spécialisées : _ Le tribunal des contentieux de l’incapacité : Le tribunal des contentieux de l’incapacité est le tribunal qui s’occupe

s'être dévoué il lance le débat. Il attend un autre coupable (v.31-33) il n'a nulle envie de se dévouer. Le tableau du personnage ne s'arrete pas là, il avoue un péché de gourmandise avec une hyperbole v.26 mais ce péché se transforme rapidement en crime car il avoue avoir dévoré le berger. L.F met cela en évidence avec le rejet sur la page. Nous avons un criminel mais il cherche un plus coupable que lui. (Les moutons symbolisent le peuple et le berger un rival pour le roi qui peut être un ministre

de 458 avant J.-C. Ces deux scènes sont toutes deux inspirées des mythes antiques des Atrides et représentent une scène meurtrière. Nous nous demanderont dans un premier temps quels sont les points communs entre les deux scènes puis comment le crime commis hors scène communique sa part de terreur à la tragédie. Pour cela nous verrons tout d’abord les similitudes et les différences entre ces extraits pour analyser dans une seconde partie la part de terreur suscitée par les crimes.

reproches en référence au passé « Madame, au nom des pleurs que pour vous j’ai versés » (v.26). L’ensemble de cette stratégie est fondée sur un malentendu théâtral. 2) Le malentendu -v.1-2 : Oenone parle d’un crime de sang et croit que Phèdre en subit les remords. Phèdre nie le crime de sang mais donne un indice : les mains sont innocentes mais pas le cœur (v.5). La réponse de Phèdre est synecdoque : elle se désigne par le cœur pour mieux se détacher de ce cœur coupable, elle vit un véritable

 après  1915  un  crime  à  part  entière.  Infraction  de  conséquence  car  il  faut   nécessairement  une  infraction  d’origine.  C’est  le  fait  de  dissimuler,  de  détenir  ou  de  transmettre  une  chose  ou   de  faire  office  d’intermédiaire    afin  de  la  transmettre  en  sachant  que  cette  chose  provient  d’un  crime  ou  d’un   délit

 Commentaire arrêt chambre criminelle octobre 1962 : Selon le doyen Jean Carbonnier « L'auteur principal et complice sont cousus dans le même sac ». Ainsi, la situation du complice dépend de celle de l'auteur principal du délit ou du crime. C'est le fondement de la complicité qui a souvent été clarifiée en jurisprudence comme l'illustre l'arrêt à commenter de la chambre criminelle du 25 octobre 1962. En l’espèce, le docteur Lacour, ami de Mme Walter, décide de faire assassiner le fils

tragédie œdipienne ? Il y a tragédie familiale, car tous les membres appartiennent à une même fratrie, la famille des Labdacides, famille maudite. Elle subit la destruction et l’inversion du processus familial. Le crime d’Œdipe, c’est le crime d’un innocent coupable C’est le crime politique par excellence : il tue son père, qui est le roi. tuer le père, c’est tuer la cité, tuer la patrie, tuer la tradition. tuer la cité, c’est tenter de prendre la place de la loi père. Œdipe est par suite