Criminologie Positiviste

a la fin du 19ème siècle a bâti une théorie du criminelle né. Il estime pouvoir les identifier à partir de critères physiques. D’autres sociologues sont allés chercher d’autres théories : celui du milieu de vie… Toutes ces théories sont des positivistes, ils cherchent le gène du crime. §2 - L’apport des sciences criminelles Les sciences criminelles ont apporté une meilleure connaissance que ce soit de manière quantitatives ou qualitative. On le mesure mieux et puis on le comprend mieux.

occupe à nouveau une place importante ». Pour le Canada, l’influence américaine a été considérable tant dans le discours sur les politiques que parmi les criminologues. Pierre Landreville et Guy Lemire rappellent l’adhésion, au départ, de la criminologie québécoise à l’idéal de la réhabilitation, puis la perception des différentes secousses qui commencent à l’ébranler. Ainsi, l’opinion criminologique retient la sévère critique qui y est adressée à l’individualisation du traitement des délinquants

Introduction Au XIXème siècle, la police profite des vertigineuses avancées scientifiques, dans une époque qui a perdu tous ses tabous religieux vis-à-vis du corps et de la mort et qui, à l'instar d'Auguste Comte et sa philosophie positiviste, croit fermement aux vertus des sciences. Comment pourrait-on imaginer une police judiciaire moderne sans les découvertes en biologie, chimie ou médecine qui se multiplièrent durant ce siècle de savants? Déjà, au début du siècle, un médecin, Mathieu-Joseph

1er Semestre Question qui se pose : quels liens ces nouvelles branches entretiennent avec les branches principales ? Sont-elles indépendantes ? b) Le droit pénal science criminelle Aux côtés d’autres sciences criminelles : criminalistique, criminologie, sociologie criminelle, politique criminelle, philosophie, morale Criminalistique : science qui va concourir à la constatation matérielle des infractions, à l’identification des auteurs, des victimes. Elle a recours à différentes sciences : la

que c’est parce que le fou s’est enfermé dans une pensée délirante, que justement la société doit l’enfermer ? Mais la folie est enfermement. Il est important que le regard que la société porte sur la folie ne soit pas seulement le regard de la criminologie ou de la morale. Il est essentiel que soit reconnue la réalité de la folie chez ceux là pour qui elle est d’abord un état de souffrance. Mais comment donner à l’équation folie=maladie mentale un rigueur qui puisse fonder une thérapeutique ? Si

Criminalistique = étude des techniques qui viennent conforter la procédure pénale : ADN, preuve, etc. Elle permet de trouver le mobile et de remonter à l’auteur. Devient aussi psychologique depuis quelques années. Criminologie  = étude intellectuelle et théorique du phénomène criminel. Pour comprendre le mobile de l’infraction, fait appel à la sociologie, psycho. §2 – Aspects statistiques· Comment mesurer la délinquance ?Instruments de mesure

nouvelle ère du rapport à la folie, placée sous le signe de la médicalisation : ce ne sont plus des chaînes qui pèsent sur lui, mais le savoir médical. Car cette transition n’est pas une vraie libération. Foucault écrit ainsi que « l’asile de l’âge positiviste (…) n’est pas un libre domaine d’observation, de diagnostic et de thérapeutique ; c’est un espace judiciaire où l’on est accusé, jugé et condamné (…) la folie sera punie à l’asile, si elle innocentée au dehors. Elle est pour longtemps, et jusqu’à

1994 date à laquelle est apparu le nouveau code pénal). B- Les aspects criminologiques de la théorie classique. Comment adapter la peine ? Les promoteurs du Code pénal napoléonien ne se sont pas posés la question, on ne parlait pas encore de criminologie. Ce sont plutôt les continuateurs de Beccaria qui ont approfondis la matière. Deux écoles sont alors nées : * La première est l’école pénitentiaire qui s’est attachée à l’étude pratique de la peine et à son efficacité thérapeutique. En 1877

du fondement du concept. Ces critiques portent essentiellement sur le fondement même de ce que l'on appelle ce libre arbitre, psk l'évolution des sciences allait remettre en question ce libre arbitre. Les positivistes vont eux opter pour un déterminisme absolue de l'homme. Pour ces positivistes, l'intervention pénale ne se justifie pas dans cette idée de volonté mais dans une responsabilité sociale. On est punit pour un acte car on est dangereux. La responsabilité pénale dans cette conception va

part la justice absolue. L’une des idées avancée dans ce cadre est toujours d’actualité, c’est la proportion de peine symbolisée par : « Ni plus qu’il n’est juste, Ni plus qu’il n’est utile ». Au 19ème siècle s’opposaient aux néoclassiques les positivistes dont faisaient partie Lombroso, Garofalo et Ferri. Ils ont alors une toute autre approche. Pour eux, l’homme moralement n’est pas libre mais il est déterminé donc irresponsable. Ils sont donc beaucoup plus rigoureux que les néoclassiques.