Criminologie Positiviste

pure -Criminalistique : constatation matérielle des infractions, identifications des auteurs et des victimes par le biais d’autres sciences que sont la biologie, la toxicologie, la médecine, la génétique…. Ø Science humaine et sociale -Criminologie : étude du crime -Sociologie criminelle : étude du phénomène criminel selon les faits sociaux, comment établit t’on une norme pénale -Politique criminelle : ensemble des procédés par lesquels le corps social organise la réponse au phénomène

peuvent être considérées comme une peine. De plus, celles-ci ne sont pas soumises à l'art.8 de la DDHC donc elle peuvent être mises en place sans être nécessaires. B/ L'origine criminologique des mesures de sûreté. Le courant des positivistes au sein de la criminologie scientifique est la source de ces mesures de sûreté. Ce courant a émergé en Italie au 19è sous l'impulsion de certains auteurs. Ce courant a été révolutionnaire car il représentait la rupture avec l'approche classique du droit pénal

dans les religions catholique le crime est associé a un péché. Mais c’est finalement que très récemment que l’on s’est intéressé aux causes du phénomène criminels. D’où l’apparition du nouvelle discipline la criminologie. (Lombroso « L’homme criminel 1876 ; et Garofalo). La criminologie est l’étude des causes et des remèdes du phénomène criminel. C’est une discipline qui vient en complément du droit pénal au sens strict. C’est une matière pluridisciplinaire qui permet d’envisager le phénomène

inconnus (ondes radios rayons X et radioactivité) par toute une série de grands savants parmi lesquels on trouvera en particulier Hertz, Roentgen ainsi que Pierre et Marie Curie. Sur un plan purement philosophique, Auguste Comte, dans sa doctrine positiviste, formule la loi des trois états qui, selon lui, fait passer l'humanité de l'âge théologique (connaissances religieuses), à l'âge métaphysique, puis à l'âge positif (connaissances scientifiques). Dans la deuxième partie de sa carrière philosophique

république 1848 voire 1870) : individualisation de la répression et volonté de modération : ex : abolition de la peine de mort pour les délinquants politiques. On pose au cours de cette période les principes des bases pénitentiaires. – L'école positiviste (1870 – 1930) apparu en Italie est totalement différente de la période précédente. Il y a une rupture totale concernant la notion de criminalité. On va pouvoir prendre des mesures qui permettront d'éliminer un individu et l'envoyer dans des bagnes

les réalités individuelles qui existent vraiment, dans le temps et l’espace, et de rejeter les entités abstraites auxquelles le langage ordinaire nous persuade aisément d’attribuer une existence non empirique. Apparaît ainsi avec Russell un thème positiviste qui sera largement développé par le Cercle de Vienne, mais qui n’est pas, chez le philosophe anglais, sans relations avec sa critique de la religion chrétienne, notamment dans son Histoire de la philosophie occidentale (1946). En fait, pour Russell

on a considéré que le Droit pénal devait s’arrêter au moment du prononcé de la sanction. En conséquence, l’exécution de la sanction était -6- donc laissée entre les mains de l’administration pénitentiaire. Mais, le développement de la criminologie a conduit les auteurs à considérer que les conditions d’exécution de la peine pouvaient exercer un rôle important en matière de réinsertion sociale. Ces raisons, ont conduit à la création d’une nouvelle branche du droit qui régit l’exécution

| 1 Fondements du droit pénal Le droit pénal est fondé sur les valeurs humanistes, entre sauvegarde des droits individuels et des droits de la collectivité. La pensée positiviste s’est interrogée : à quoi cela sert-il de sanctionner si cela est pour le plaisir de juger un homme, de regarder en arrière, de faire de l’introspection ? Cette démarche est davantage judéo-chrétienne et le positivisme ne s’occupe que de l’ordre

| | |19 janvier 1798 à Montpellier (Hérault) et mort le 5 septembre 1857 | | |à Paris, était un philosophe positiviste français. Il est souvent | | |considéré en France comme le fondateur de la sociologie. Il s'appuie| | |sur

à l‟absolutisme de la puissance paternelle. Par la suite, la protection des mineurs s‟est considérablement renforcée, en même temps que s‟étendaient leur autonomie et leur responsabilité. Au début du XXème siècle, sous l‟influence du mouvement positiviste, deux lois viennent réglementer le droit pénal des mineurs délinquants. La première en date du 12 avril 1906, a porté la majorité la majorité pénale de seize à dix-huit ans. La seconde ne date du 22 juillet 1912, est beaucoup plus importante en