Crise de liquidité

COMPTABILITE A-T-ELLE UNE RESPONSABILITE DANS LA CRISE FINANCIERE ? PLAN I. Les principales causes de la crise financière a. Choc du subprime et retournement de l’attitude face au risque b. Réduction du levier de prise de risque et propagation du choc c. Les politiques des autorités II. Les normes comptables internationales et leur rôle dans la crise financière a. Quelques normes comptables internationales b. Le rôle des normes dans la crise financière III. Les propositions pour l’avenir

« Une crise sévère qui appelle des politiques nouvelles » entretien avec Denis Kessler Président-directeur général, Scor Dans cet entretien, Denis Kessler insiste sur le caractère sévère de la crise financière de 2008 : il met en avant ses conséquences sur le système financier et estime que la politique macro économique actuelle ne peut y répondre. La crise que nous vivons aujourd'hui est bien plus sévère que ne le pensent certains : le choc sur le système financier est estimé à 1 000 milliards

Les bulles spéculatives sur le marché des changes, financiers et immobiliers. Mais ce comportement mimétique peut entraîner des anticipations à la baisse où on parle d’éclatement de bulles spéculatives B°) crise financière des années 80, 90’s et bulles spéculatives. 1- crise des 80’s a- crise du Mexique en 1982 Le Mexique est en cessation de paiement et n’est plus capable de payer sa dette à cause de l’augmentation des taux d’intérêt et de l’appréciation du $. En 1970 la dette du tiers monde (TM)

LE ROLE DES BANQUES CENTRALES DANS LA CRISE ACTUELLE. La crise financière mondiale qui frappe de plein fouet les pays industrialisés entraine le naufrage de grandes banques, fait chuter les marchés et menace les économies de récessions. Personne ne semble capable de dire ou va s’arrêter la contagion. Pourtant une intervention des différents Etats ainsi que des banques centrales est impérative. L’action des banques centrales se fait par le moyen de la politique monétaire. Depuis le milieu des années

Marché des TCN au Maroc 14 A. Caractéristiques générales des TCN 14 B. LES TITRES DE CREANCES NEGOCIABLES 15 C. LE MARCHE HYPOTHECAIRE ET LA TITRISATION 18 Deuxième partie : marché monétaire et crise financière 20 Introduction 21 I. L’origine de la crise 21 II. Les conséquences de la crise 22 III. Propositions de solutions (Guy Wagner économiste à la banque de Luxembourg) 23 Bibliographie 25 INTRODUCTION GENERALE * Le marché financier est le lieu sur lequel sont émis et s’échangent

44-45 Question 1 : Les subprimes sont des crédits immobiliers gagés sur la valeur des bien acquis, accordés à des ménages modestes par es sociétés de crédits échappant au contrôle des autorités de régulations. Ces ménages étant modestes, et la crise de 2008 faisant augmenter les taux d’intérêts des banques, les ménages sont en difficultés pour finir de payer leur crédit ou même pour en entamer d'autres. Les banques n'étant pas remboursées de leur crédit du fait que les ménages à qui ils ont accordés

L’éclatement de la crise des « subprimes », débutée en 2007 aux Etats-Unis, a complètement bouleversé l’économie mondiale, surprenant les gouvernants de la planète par son ampleur et sa brutalité. La faillite de la banque américaine « Lehman-Brother s » a précipité l’effondrement des marchés financiers, l’insolvabilité de certains ménages américains dû à des conditions de crédit beaucoup trop souples de la part des banques a conduit à une crise de liquidité bancaire, les banques ne se prêtant

POLITIQUE MONÉTAIRE EN QUESTION  * A. DES MESURES CIRCONSTANCIÉES FACE À LA CRISE * 1. L'assouplissement du refinancement * 2. Une fonction de « prêteur en dernier ressort » délicate à mettre en oeuvre * 3. Les mesures exceptionnelles * B. LA REDÉFINITION DU « POLICY MIX » DANS LE CONTEXTE DES PLANS DE RELANCE  * 1. De la « trappe à liquidité », qui rend la politique monétaire conventionnelle inopérante... * 2.

importantes ou d’une perte de confiance ce qui suscite des inquiétudes sur la situation d’une partie importante du système financier, suffisamment sérieuses pour avoir des effets négatifs sur l’économie réelle. C’est une crise bancaire a contribué à précipiter le monde dans la Grande crise des années trente. C'est l'effet « boule de neige ». Il résulte de l'incapacité d'une institution financière à faire face à ses engagements entraînant pour d'autres établissements l'impossibilité de faire face à leurs

Selon l'auteur, le processus d'une crise est toujours le même. Et de ce fait, il est impératif de savoir gérer celle-ci pour en limiter les dégâts. Il existe pléthore de manières de réagir face à une crise, il s'agit de savoir laquelle prouvera son efficacité. Cette question est relative au sempiternel débat de l'interventionnisme. Est-il légitime ? Si tel est le cas, qui doit intervenir? L'idée d'une entité capable de refinancer les banques en temps de crise n'est pas nouvelle. On l'appelle prêteur