Crise Du Langage

parodique. La difficulté à se comprendre Les personnages ne parviennent pas à communiquer et les malentendus et quiproquos provoquent des disputes, comme l’emportement d’Antoine sur le mot « brutal ». Le plus souvent, les personnages soliloquent et le langage est fermé sur lui-même, en forme de chiasme (A-B-B-A): « Ce n’est pas bien que tu sois parti, parti si longtemps / ce n’est pas bien » ou « Je suis mal à l’aise / excusez-moi (…) excusez-moi / Je suis mal à l’aise » L’épanorthose, figure de style

B) Le retour de Louis : création d’une crise ? II- Le secret de Louis : « l’affaire intime d’un seul » A) Les silences d’une famille B) Les non-dits, entre crises personnelles et crises familiales III- Une impossible communication A) Des discussions statiques B) Une crise de la communicationI-A) Prologue : -rôle tragique :

l’absurde. Apparue après la seconde guerre mondiale, le théâtre de l’absurde remet en cause l’existence humaine et la capacité de l’homme à tiré leçon de l’Histoire. Les écrivains ont tenté de retranscrire ce traumatisme dans des pièces de théâtre, où le langage est détourné, perverti. On retrouve dans ces pièces un manque de cohérence, de logique, des difficultés dans la communication entre les personnages. Ecrite en 1951, La leçon fut un véritable scandale, car elle s’opposait aux règles du théâtre traditionnel

psychanalytiques : La théorie de freud (oral, anale, oedipien, destructuration, vieillesse) s'oppose à celle d'Erikson (théorie du développement qui permet d'aborder certains phénoméne et qui a inspiré beaucoup d'auteurs). Pour lui, il n'y a pas une crise (adolescence) mais il dit que le développement se fait par crises. Ce serait des crises entre deux poles de structuration (cf poly). A l'adolescence rejouent tous les stades en fonction de l'individu. Pour lui, il y a des attentes de role dans la

parodique. La difficulté à se comprendre Les personnages ne parviennent pas à communiquer et les malentendus et quiproquos provoquent des disputes, comme l’emportement d’Antoine sur le mot « brutal ».4/7 Le plus souvent, les personnages soliloquent et le langage est fermé sur lui-même, en forme de chiasme (A-B-B-A): « Ce n’est pas bien que tu sois parti, parti si longtemps / ce n’est pas bien » ou « Je suis mal à l’aise / excusez-moi (…) excusez-moi / Je suis mal à l’aise » L’épanorthose, figure de style

du comportement : | |verbal et non-verbal. (1) |euphorie. Actuellement, en période |La souffrance du malade s’accroît d’autant. |ne pas communiquer. Le silence |Il apprend que si sa femme |bien lire ce langage (3a), c’est éviter| |Définition de la comm. |de crise, on ressent le besoin de |Sa famille est isolée et souffre aussi. (6) |ou l’indifférence sont |s’intéressait tant à ses enfants, |les malentendu, mal les lire, c’est | |réussie : verbal et |communiquer :

voix; ➢ L’utilisation d’un langage compliqué innaproprié; ➢ L’habileté de converser; ➢ Les messages et langage non-verbaux; ➢ Les expressions faciales absentes ou nulles; ➢ Le contact visuel manquant; Les personnes atteintes de ce symptôme ont une intelligence normale à supérieure. Ils ont diverses difficultés dans l’interaction sociale et la communication avec les autres, à cause des problèmes de décodage du langage non verbal (langage corporel, expression du visage

toujours des objections, des réticences très sérieuses, des accusations de déformation, de simplification, de réduction, de détournement du sens, de trahison par rapport à l’œuvre d’origine, qu’elle soit un roman ou une pièce de théâtre. Le passage d’un langage à un autre par l’adaptation, comme la transformation née de la réécriture, semblent ainsi se confronter à des principes très ancrés chez leurs détracteurs, se heurter à une certaine conception des formes établies. Pourquoi adapter ? Pourquoi réécrire

Église, littérature, enseignement ; le texte est un objet moral : c'est l'écrit en tant qu'il participe au contrat social ; il assujettit, exige qu'on l'observe et le respecte, mais en échange il marque le langage d'un attribut inestimable (qu'il ne possède pas par essence) : la sécurité. 1. La crise du signe Du point de vue épistémologique, le texte, dans cette acception classique, fait partie d'un ensemble conceptuel dont le centre est le signe. On commence à savoir maintenant que le signe

Le parti pris des choses 1) Présentation Voici la raison de l’écriture de ce recueil : « Après une certaine crise que j’ai traversée, il me fallait (parce que je ne suis pas homme à me laisser abattre) retrouver la parole, fonder mon dictionnaire. J’ai choisi le parti pris des choses ». Ce recueil est donc à voir comme un réflexe de survie, un « exercice de rééducation verbale », de « respiration artificielle » : c’est redonner à une existence et à une écriture qui tournaient dans