Critique Du Regime Présidentiel

lecteurs, non forcément juriste, une réflexion sur les régimes. Particulièrement, il va s'attacher au principe de séparation des pouvoirs, principe garant des libertés d'après lui, dans le chapitre VI du livre XI. Il prendra comme base le régime politique anglais. On note que malgré un titre tournée vers les lois, il s'attache plus aux constitutions diverses que au côté législatif. En effet Montesquieu est très attaché à l'étude des régimes politiques car le XVIII ème siècle est le synonyme d'un

Lors de son discours devant le conseil d’Etat le 27 aout 1958, Michel Debré, 1er ministre du Général De Gaulle a déclaré que le président de la république « est la clef de voute » de notre régime parlementaire. Ce dernier confirme ici le projet du Générale De Gaulle, Premier président de la Vème république pour la Constitution de 1958 qu’il a en parti exposé lors de son discours à Bayeux le 16 Juin 1946. Effectivement, De Gaulle est favorable à un Président de la République omniprésent, omni

THEME 1. Le système politique démocratique Régime politique : Le mode d'organisation du pouvoir politique (c'est le pouvoir suprême que les gouvernements exercent sur la société globale). 1er : La république, le peuple qui gouverne. 2e : La monarchie, une partie du peuple (les nobles). 3e : Despotisme: un seul fixe les lois et les établit. Démocratie : Le pouvoir appartient au peuple. Il y a les libertés publiques, une pluralité de parties, suffrage universel, élections régulières

Selon Charles Péguy, « Le gouvernement parlementaire n'est pas tant le gouvernement de la tribune. Et même il n'est pas tant le gouvernement des commissions. Il est le gouvernement des couloirs. » Il est en effet bon d'affirmer que le régime parlementaire idéal est celui qui permet la collaboration des pouvoirs, ou autrement dit, la communication entre les instances du gouvernement. Le document présenté est un extrait du discours prononcé par Michel Debré devant le conseil d'Etat du 27 août 1958

La 5e République est-elle une monarchie républicaine ? Critique de la 5e qui s’inspirerait des monarchies d’ancien régime : François Mitterrand, Le coup d’état permanent, 1964 : il dénonce la dangerosité de la 5e république. Selon lui, c’est un régime illégitime qui ne respecte pas la séparation des pouvoirs, donc un régime dangereux pour la France « Roi sans couronne ». Maurice Duverger, La 5e République, une monarchie républicaine, 1974 : il étudie le fonctionnement de la 5e en la considérant

Une des essence du régime parlementaire, est que (l.2-3) “la réalité et la totalité du pouvoir exécutif appartiennent au Premier ministre” sauf qu’en France, la possession de la majeur partie du pouvoirs exécutif appartient au chef de l’Etat du fait que (l.3-4-5) “ l’élection

Charles De Gaulle est révélatrice de ce qu'il a fondé au niveau de la Ve République, notamment avec le discours de Bayeux datant du 16 juin 1946. Ce discours est la genèse de la république que veut De Gaulle, cette dernière peut être définie comme un régime politique où les fonctions de chef d'état ne sont héréditaires mais procède de l'élection Charles De Gaulle est un général, résistant, écrivain et homme d'État français, célèbre pour l’appel du 18 juin 1940 à Londres, c’est principalement lui qui

la Vème République est là, dans son incapacité à articuler pouvoir et responsabilité. Car il n'y a pas d'autres pays démocratiques au monde ou le chef de l'Etat soit si puissant, et dans le même temps politiquement irresponsable; il n'y a pas de régimes parlementaires ou le chef réel de l'exécutif puisse prononcer la dissolution d'une assemblée législative sans mettre en jeu, par la même, son propre mandat; il n'y a de République , pour le dire plus crûment, ou le bon plaisir du Président soit considéré

des précédentes élections présidentielle, le syndrome de > renaît dans les discours de certains candidats : Jean Marie Le Pen, José Bové… On a une résurgence des discours populistes, antiparlementaires… Mais la critique est ancienne, le régime représentatif a toujours eu ses détracteurs parmi les fidèles de l4ancien régime, de la monarchie absolue, du despotisme éclairé , mais aussi chez des partisans d’une démocratie directe ou semi-directe… Sans cesse les critiques fusent au sujet de élites

une attention particulière. Et son sous-titre : Naissance et mort d'un régime ne suffit pas à en révéler la richesse. Politistes l'un et l'autre, respectivement spécialistes de sociologie et de philosophie politiques, les auteurs n'ont pas pour autant négligé les données institutionnelles du régime2. Mais la pluridisciplinarité du regard qu'ils portent sur la Cinquième République confère à leur analyse théorique et critique une dimension nouvelle qui se distingue de celle que nous avaient proposée