Critiques De La Loi De Say Par Marx Et Keynes

avec l’intérêt général pour vu que les individus soient libres. Ainsi, l’Etat ne doit pas intervenir dans l’économie, il faut laisser libre l’initiative privée. D’où le principe de « laisser faire, laisser passer ». II.2. MALTHUS (1766-1834) : la loi de la répartition et le libre échangisme Publié en (1798) et intitulé « essai sur le principe de la population », l’ouvrage de MALTHUS constitue une recherche sur la grande misère ouvrière existante à la fin du XVIIIème siècle en Angleterre. SMITH

Au 19ème siècle, le capitalisme domine avec 2 conséquences principal:- la condition ouvrière se dégrade rapidement; -naissance de mouvement contestataire du capitalisme. C'est dans cet environnement que Karl Marx (1818-1883) va publier son ouvrage le Capital en 1867. Ainsi pour Marx la thèse créer son antithèse, soit la capitalisme créer sont antithèse le Marxisme. Il s'inspire des économistes classiques en mettant en avant la valeur du travail. Cependant pour lui le travailleur est exploite:la

temps. SAY Jean-Baptiste : (1767-1832) économiste français. Professeur au collège de France et adversaire du protectionnisme. NÉOCLASSIQUES PARETO Vilfredo Frederigo Samaso : (1848-1923) économiste et sociologue italien. Il établit la science économique sur des bases mathématiques. Il développa la théorie de « la circulation des élites ». WALRAS Léon : (1834-1910) économiste français. Il appliqua les méthodes mathématiques aux sciences économiques. KEYNÉSIENS KEYNES John Maynard

2.2.1 Le contexte 2.2.3 L’Act of Peel 3.Controverses sur l’équilibre monétaire 3.1 Loi de Say et équilibres monétaires 3.1.1 Loi de Say et équilibres monétaires réels 3.1.2 La théorie de fonds prêtables 3.2 L’équilibre monétaire classique sous la loi de Say 3.2.1 L’équilibre monétaire ricardien 3.2.2 L’équilibre monétaire de Walras 3.3 L’équilibre monétaire classique hors loi de Say 3.3.1 Les classiques hors la loi (Malthus et Sismondi) 3.3.2 La dissidence néoclassique (Patinkin et Wicksell) 4. Constitution

HISTOIRE DE LA PENSEE ECONOMIQUE SECTION 1- LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE. Trois grands courants existent. Il y a d’abord le courant fondateur des classiques, Smith bien sûr, mais aussi Ricardo Marc tus, Jean Batiste C et Marx. * Les classiques : Ricardo, Smith. Pour eux la croissance économique à long terme va être très compliquée à obtenir : la croissance nationale. * Les néoclassiques : personnes reprenant les fondamentaux des classiques un siècle après. Modèle

points) - Marx pense que les contradictions économiques et sociales du capitalisme le conduiront à sa perte et au communisme - Pour Marx, la plus value (différence entre les profits et les salaires versés) est le fondement de la lutte entre ceux qui possèdent les outils de production (bourgeois) et les ouvriers (prolétaires) - La recherche d’un profit de plus en plus important pousse les capitalistes à verser des salaires de plus en plus bas. - Marx préconise donc

Maltus, Ricardo, Jean Baptist Say... ont fondé ce qu'on appel l'économie politique classique. Défenseurs du libéralisme économique, ils ont cependant une vision pessimiste de l'avenir à long terme du système capitaliste : le travail occupe une place centrale dans leur théorie. Pour eux la société est divisé en classe sociale qui s'affrontent autour du partage de la rente et des revenus nationaux. Deux écoles doivent être signalés : La première est celle de Karl Marx (1818-1889): cette école se

a été le sujet de plusieurs de ses analyses (les avantages procurés par cette division etc.) Pour celà chaque pays doit se spécialiser dans la production de (...) pour faire des bénéfices. Ecole classique française: Jean-Baptiste Say : inventeur de "la loi des débouchés" "l'offre crée sa propre demande". La production d'un bien sur le marché donne lieu à une distribution de revenu que les titulaires vont utilisés d'une manière inégale pour se procurer d'autres biens. Ainsi selon lui "les produits

d'inspiration de la Nouvelle économie keynésienne et cherche à montrer les imperfections qui existent sur le marché du travail expliquant une rigidité des prix sur ce marché. Avec la théorie des contrats implicites il explique certaine entorses a la loi du marché par l'existence d'accord non écrit. Ainsi les salaires ne varient pas selon la productivité marginale, mais progressent avec l'ancienneté car, les travailleurs ayant horreur du risque et les employeurs peur de manquer de personnel, ils s'accordent

souvent de subsistance (//Marx)). - Théorie du commerce international (avantage comparatif, Ricardo prône le libre échange entre les nations). Malthus, 1798 : Essai sur le principe de population. Certain pessimisme. Il élabore la loi de la population. La production des subsistances tend à augmenter à rythme arithmétique, alors que la population croit à rythme géométrique. Cherche à expliquer la paupérisation absolue, notamment en milieu urbain. Il se réfère à une loi, énoncé par Ricardo, avec