Croupe

Hochepaix, maire de Moussillon-les-Indrets et adversaire politique de Ventroux, vient solliciter une faveur pour ses administrés, Clarisse apparaît encore dans la même tenue, provoquant à nouveau la fureur de son époux. La jeune femme est piquée à la croupe par une guêpe. Persuadée que son cas est grave, elle prie son mari de bien vouloir sucer la plaie. Ce dernier s’y refuse. M. Hochepaix, sollicité à son tour, se dérobe également. On va donc faire appel à un médecin. Sur ces entrefaites, on annonce

Follavoine, puis Rose Au lever du rideau. Follavoine, penché sur sa table de travail, la jambe gauche repliée sur son fauteuil de bureau, la croupe sur le bras du fauteuil, compulse son dictionnaire. Follavoine, son dictionnaire ouvert devant lui sur la table. — Voyons : "Iles Hébrides ?… Iles Hébrides ?… Iles Hébrides ?…" (On frappe à la porte. — Sans relever la tête et avec humeur.) Zut ! entrez ! (À Rose qui paraît.) Quoi ? Qu’est-ce que vous voulez ? Rose, arrivant du pan coupé de gauche

de ces familles de robe. Pas toujours très élégant, il est toujours efficace et agréable à monter. Des sabots plutôt petits, cylindriques et durs, des canons courts (18cm minimum de circonférence chez l’adulte), un dos court parfois tranchant, une croupe “en pupitre”, une encolure courte, le Barbe a une morphologie de cheval porteur et efficace. Lymphatique au repos, il bouillonne dès qu’on le sollicite, c’est un faux tempérament froid allié à une véritable intelligence. Si la morphologie idéale du

DEVOIR Scène première Follavoine, puis Rose1 Au lever du rideau. Follavoine, penché sur sa table de travail, la jambe gauche repliée sur son fauteuil de bureau, la croupe sur le bras du fauteuil, compulse son dictionnaire. Follavoine, son dictionnaire ouvert devant lui sur la table. Voyons : « Iles Hébrides ?… Iles Hébrides ?… Iles Hébrides ?… » (On frappe à la porte. — Sans relever la tête et avec humeur.) Zut 

; L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux. Son front large est armé de cornes menaçantes Tout son corps est couvert d'écailles jaunissantes, Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux. Ses longs mugissements font trembler le rivage. Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage, La terre s'en émeut, l'air en est infecté, Le flot qui l'apporta recule épouvanté. Tout fuit, et sans s'armer d'un

le jardin, il alla prendre l’épouvantail d’Antor (il avait son idée …). Une centaine de chevaliers, accourus de tout le royaume étaient en train de s’inscrire sur la place du village . Bientôt la troupe s’ébranla et Arthur son épouvantail en croupe les suivit . Le dragon était connu pour sa férocité ,tous étaient très nerveux . Un premier groupe s’élança vers le dragon ,tous furent avalés en un clin d’œil . Arthur remarqua qu’ils étaient venus avec leurs muscles mais semblaient avoir

plates ; L'échine est un peu rouge, et le tout sent un goût Horrible étrangement ; on remarque surtout Des singularités qu'il faut voir à la loupe... Les reins portent deux mots gravés : Clara Venus ; - Et tout ce corps remue et tend sa large croupe Belle hideusement d'un ulcère à l'anus.

féroces et très patients. c) La Position : L'auteur nous montre clairement qu'il y a quatre types de lions "les lions reposaient, la poitrine contre le sol et les deux pattes allongées ... clignant leurs paupières" ; "d'autres, assis sur leur croupe, regardaient fixement devant eux" ; "à demi perdu dans leurs grosses crinières, ils dormaient roulés en boule" mais il fait l'opposition avec "un des lions se mit à marcher" comme pour dire que les lions attendent tranquilement leur repas. Partie

petit mais son exile l’à obliger à revoir ces projets politiques. N’ayant plus d’autres moyens que l’écriture de poème ou roman il cherche à travers se rêve à dénoncer les méfaits de l’empereur bon avec tout ça tu le tiens ton devoir! du croup ben re_bizzzzzzzzzzzzzzzzzooooooooooooouuuuu… Sources : tu peux aussi repérer les champs lexicaux! bon j'avais raison pour les c hamps lexicaux!

d'équitation, ont défilé au pas de charge dans les rues de la ville. Tenus à la main et quelques uns montés ou attelés, la plupart des poneys, venus des clubs de Loire-Atlantique, étaient coiffés de bonnets ou de charlottes rouges, et portaient, collés à la croupe, des autocollants sur lesquels était écrit: "TVA à 20%, NON".  "Cette hausse de la TVA est un coup fatal porté à la démocratisation de l'équitation qui est une spécificité de la France: dans les autres pays européens c'est resté un sport élitiste