Croupe

Dans la mesure où la mer " vomit " cet " Indomptable taureau, dragon impétueux ", elle apparaît elle-même comme un animal qui crache, qui enfante " ce monstre sauvage ", lequel est donc bien un envoyé de Neptune en guise de punition. Du fait que " Sa croupe se recourbe en replis tortueux ", il a aussi l’apparence d’un énorme serpent, d’autant plus surnaturel qu’il " est couvert d'écailles jaunissantes " et que " Son front large est armé de cornes menaçantes ". Cela contraste avec la tonalité réaliste

lui, vainement les plus souriantes figures essayaient de le séduire, ce n'est pas des visages d'hommes ou de femmes, des vierges ou des chérubins que le pinceau ou le crayon reproduisent sous sa main, c'est la plus ordinairement des jambes, des croupes, des crinières, des têtes ou des encolures de chevaux. Le genre lithographique est aussi cultivé par le débutant, qui a fait de notables progrès dans l'art de dessiner des sujets sur la pierre, si bien qu'un des principaux éditeurs de la capitale

dans une maison jugée plus saine pour l'enfant. Hélas, la demeure se révèle encore plus humide que la précédente et après une courte amélioration, Louis fait une rechute bien plus grave : le 10 mars 1853, le médecin lui diagnostique une attaque de croup. Dès lors, les neuf années qui suivent font vivre un calvaire à l'enfant : rhumes, bronchites, pneumonies, fièvres et infections pulmonaires se succèdent à chaque hiver en plus des maladies infantiles plus classiques. Ce n'est qu'en février 1857 qu'un

corps “voir à la loupe” + point de suspension → accentue l’action et l’envie de nous donner envie de voir Strophe 4 ➢ Tatouage sur les reins: “Clara Vénus” → marqueur social ancrée en elle, c’est en fait une prostituée ➢ v.13: Animalisation “large croupe” → on peut plus parler de figure humaine ➢ Dernier vers: chute → on découvre une partie très intime et meurtrie “ulcère à l’anus” ➢ Rime entre “Vénus” et “anus” → rapproche l’or de la boue, dénigre son image ➢ Oxymore “belle hideusement” → transfigure

feuilles plates ; L'échine est un peu rouge, et le tout sent un goût Horrible étrangement ; on remarque surtout Des singularités qu'il faut voir à la loupe... Les reins portent deux mots gravés : Clara Venus ; - Et tout ce corps remue et tend sa large croupe Belle hideusement d'un ulcère à l'anus. Analyse du poème Vénus Anadyomène : Commentaire rédigé: Arthur Rimbaud laisse dans ce poème sur le thème de Vénus, la déesse de l'amour, exploser sa colère, son indignation et

le monstre horrible « l’onde approche », « l’air en est infecté », mais surtout, des adjectifs qualificatifs le décrivent comme « formidable », « redoutable ». Ceux-ci, renforcés par un allitération en « r » en accentuent l’aspect horrible : « sa croupe se recourbe en replis tortueux » comme pour mieux suggérer le mouvement ondulatoire et puissant de la bête. Enfin, Théramène cite les dernières paroles du jeune amoureux. Grâce au discours direct, le pathétique est accentué ; tout se

décritent commes des objets pour faire plaisir aux hommes on les nommes d’une façon physiquement vulgaire : rôdeuses “, la” grosse brune “, la “grosse blonde “, une “belle paire de femmmes” . Elles sont décrites commes des animaux “en balançant leur croupe”. Elle sont mal éduqués et répondent aux hommes familièrement “mufle“. Leur défauts sont l’arrogance et leur fierté , “marchant arrogamment “ , “sourire banal’, leur physique n’est pas attirant. Forestier présente l’habitude de les fréquenter en les

proximité de son nombril , qui d'ailleurs en passent et un nombril irréprochable. Sa bedaine est composé de muscles mais essentiellement de gras superflu , qui a l'œil nu est difficile a examiner. Nous descendons légèrement plus bas pour arriver a sa croupe sous entendu ses fesses , son postérieure , fessiers ou encore plus grossier «cul». Bien musclé , bien rouler , bien gauler , rebondie , ses fessiers sont réparties de manière égale et ne s' écroule pas non plus comme ca poitrine. C'est jambes sont

On ressent la violence. D’autre part, la présence des deux personnages n’est pas rassurante: l’un d’entre eux fait preuve d’agressivité, avec le cheval d'abord : «flagellé de coups de fouet», «tords la gueule», «frappant a deux reprises sur la croupe décharnée» ; mais aussi dans son langage, il s’exprime en effet la plupart du temps à l’impératif: «tire nous de là», «arrête», «dépêche-toi», «descends» en plus de parler fort («s’écria»). De par tous ces éléments, le lecteur peut en déduire que

engeance lubrique et salace », « Tous les Arabes de ce pays… ».  Toutefois, ce qui choque et agace le plus le lecteur, c’est l’image dégradante et dépassée de l’être humain en général et de la femme en particulier que M.N. véhicule dans son roman : « La croupe », « Les jambes », « La poitrine », c’est ce que le narrateur retient de la femme qui est réduite à un corps « plantureux », à des « chairs appétissantes », à un « festin », un « gibier », une « proie » destinés à satisfaire les instincts les plus