Croupe

de la vie a) Richesse du château (chap. I, p. 24-26) b) Paysages des Peuples : «Elle errait à pas lents le long des routes, l’esprit parti dans les rêves ; ou bien, elle descendait, en gambadant, les petites vallées tortueuses, dont les deux croupes portaient, comme une chape d’or, une toison de fleurs d’ajoncs. Leur odeur forte et douce, exaspérée par la chaleur, la grisait à la façon d’un vin parfumé» (chap. II, p. 32) = comparaison Mini-conclusion : L’éducation chez les religieuses garde

flamme des bougies mettait des reflets de soie. Il songeait à son ancienne horreur de la femme, au monstre de l’Écriture, lubrique, sentant le fauve. Nana était toute velue, un duvet de rousse faisait de son corps un velours ; tandis que, dans sa croupe et ses cuisses de cavale, dans les renflements charnus creusés de plis profonds, qui donnaient au sexe le voile troublant de leur ombre, il y avait de la bête. C’était la bête d’or, inconsciente comme une force, et dont l’odeur seule gâtait le monde

les défauts de la femme : → vers 3 « lente et bête » / v4 « des déficits assez mal ravaudés » / vers 5 « col gras et gris ».Ensuite il va même jusqu'à la comparer avec animal vers 9 « l'échine » vers 13 « ce corps remue » ainsi que « tend sa large croupe » en utilisant donc une métaphore filée tout au long du poème en faisant référence a un âne ou un cheval mais sans jamais dire le dire. De plus à la dernière strophe, au premier vers il y a clairement une référence a la prostitution, en effet le mot

Cerf du japon, Sika Nom latin : Cervus nippon (Temminck 1838) Habitat naturel : Taïwan, Corée, Japon, Vietnam, introduit dans les Iles Britanniques, Lithuanie, Ukraine, Caucase, Nouvelle-Zélande, USA. Territoire : forêt Taille : grégaire, croupe blanche et un manteau taché de blanc. Longtemps sacré au Japon. Très prisé en Chine pour ces bois qui servent en médecine traditionnelle. Espèce préservée. Le guide du Routard écrit à propos des cerfs de Nara que « ce sont des messagers des dieux

possède de nombreuses caractéristiques de la tragédie.La pièce est écrite en alexandrins « Ses longs mugissements font trembler le rivage » l.24.RACINE écrit dans un style sublime « Indomptable taureau, dragon impétueux, sa croupe se recourbe en replis tortueux. » l.22. Les personnages possèdent un courage et une témérité hors norme comme Hippolyte va, lui seul, se confronter au monstre en étant seulement muni de javelots. « Hippolyte lui seul, digne

coup d'œiî d'ensemble sur la carte topographique au 1/200 000 (feuilles de Sédhiou et de Nioro-Rip), ce qui frappe tout d'abord c'est le relief extrêmement faible de la région. Aucun point du pays n'atteint 60 m. Les reliefs les plus élevés sont des croupes très molles de 40 à 50 m sans rupture de pente. Examinons quelques profils pour nous faire une idée plus exacte et plus complète du relief. Un premier profil grossièrement Sud-Nord, passant par Adoule (sur le marigot de Singuère), Niacène et Farandine

avec la tempérance sur un trône sacré. Cette vision le remplit de frayeur ; saisi de crainte, il se renverse sur le dos et tire en même temps et avec tant de force les rênes en arrière, que les deux chevaux sont contraints de s’asseoir sur leurs croupes, l’un de bon gré, car il ne résiste pas, et l’autre, le violent, tout à fait malgré lui. Tandis qu’ils se reculent, l’un, sous le coup de la pudeur et de la stupéfaction, inonde l’âme entière de sueur ; mais l’autre, guéri de la douleur que le mors

Quant aux façades latérales, elles sont ordonnancées à trois travées et sont prolongées au Sud et au Nord par des terrasses bordées de garde-corps ajourés. Ferronnerie de la rampe Une toiture basse à croupes, certainement en tuile, couvre l’ensemble dont les façades sont simplement animées par un bandeau, entre les niveaux, une corniche et les encadrements des baies, en pierre de taille. Bon Prévost meurt en 1763. III. Les différents

une personne vieille “cercueil” “déficits assez mal ravaudés”. L'expression “frotement pommadés” suggère des soins de beauté incapable de masquer la laideur due à l'âge. On pourrait même penser jusqu'à une animalisation de la femme “bête” “échine” “croupe”. Corneille,lui, utilise le champ lexical de l'âge “vieux” “âge” “rider” “ravages” “grison” et l'hyperbole “mille ans” . Le thème de ce poème paraît donc être la différence d’âge, seul obstacle à l’amour et à sa réciprocité. L’un des termes les

au rire à travers des passage satiriques. En effet, il y a de nombreux indice de jugement dans le texte repérable grâce à un grand nombre de thermes péjoratifs pour décrire les clientes comme la "double provocation de leur george et de leur croupe. Ensuite les hommes sont décrit comme "gueulant", "criant", ce sont des "brutes" qui font du "tapage" et du "vacarne". Tous ces thermes donnent un effet négatif. De plus on trouve aussi des comparaisons dépréciatives comme le piano geignard faux