Croupe

dans ce milieu pour le moins angoissant. D’autre part, la présence des deux personnages n’est pas rassurante, l’un d’entre eux fait preuve d’agressivité ; avec le cheval : « flagellée », « tords la gueule », « frappant a deux reprises sur la croupe décharnée » ; mais aussi dans son langage, il s’exprime en effet la plus part du temps à l’impératif : « tire nous de là », « arrête », « dépêche-toi » « descends » en plus de parler fort : « s’écria ». De part tous ces éléments, le lecteur peut

C'est à travers cet extrait , que Zola aboutit la métaphore de Nana avec un animal : «  Nana et sa crinière »  pour ses cheveux ; «  sa toison «  pour ses aisselles comme au début du roman dans l'entrée sur scène de Nana «  Toison de bête »  et «  sa croupe » pour ces fesses. La jument remporte la course ce qui est inattendue , Nana s'approprie la victoire de la jument et c'est grâce à la victoire de la jument que Nana devient « Reine de Paris » , c'est une triomphe hyperbolique .Cette confusion en crée

bouche entre ouverte. Son visage était un spectacle resplendissant. Mais, elle se retira soudainement, roulant alors sur le coté. Je fis de même me retrouvant alors derrière elle. Elle se mit à quatre pattes, me laissant la vision de sa splendide croupe. Pris d’une excitation des plus spectaculaire, toujours dos à elle, je mordis son cou en profitant pour la pénétrer une seconde fois. Je la regardais dans les yeux, la ramenant vers moi afin d’amplifier le mouvement. Et de sa bouche sortit le plus

Fait le veau sur son Ane, et pense être bien sage. - Il n'est, dit le Meunier, plus de Veaux à mon âge : Passez votre chemin, la fille, et m'en croyez. Après maints quolibets coup sur coup renvoyés, L'homme crut avoir tort, et mit son fils en croupe. Au bout de trente pas, une troisième troupe Trouve encore à gloser. L'un dit : Ces gens sont fous, Le Baudet n'en peut plus ; il mourra sous leurs coups. Hé quoi ! charger ainsi cette pauvre bourrique ! N'ont-ils point de pitié de leur vieux

Maintenant, ça commence vers 40 ans. » Le tiercé des interventions les plus demandées : l'augmentation mammaire, qui devance d'un cheveu la liposuccion et la chirurgie du ventre. Les Brésiliennes, dont la constitution est plutôt du genre seins menus-croupe rebondie, succombent à la mode des hanches étroites et des poitrines siliconées à mort venue des Etats-Unis. Obsession. Côté prix, il y en a (presque) pour toutes les bourses. Les stars du métier pratiquent des tarifs pour happy-few. Comme le pape

Échine : Partie de la colonne vertébrale s'utilise préférentiellement chez les animaux. Croupe : Partie postérieure du cheval qui s'étend des reins à l'origine de la queue et familièrement le postérieure d'une personne. Ulcère : Plaie qui ne cicatrise pas. Rimbaud décide de détruire cet idéal de Venus que l'on retrouve dans les premiers vers. Il la décrit comme une femme grosse et l'assimile aux animaux croupe, échine. Au lieu de sortir de l'écume de la mer, elle sort d'une baignoire populaire.

exemple). �� Mais les notations auditives sont également très employées, pour saturer l’univers perceptif du spectateur. �� Un spectacle baroque ? On pourrait presque parler de baroque tant la description du monstre privilégie la ligne courbe (Sa croupe se recourbe en replis tortueux), la violence (il faut relever toutes les mentions du sang dans le passage), le mouvement… Ce spectacle doit éveiller la pitié du spectateur. B. Un tableau « pathétique » Petits Classiques Larousse -4- Phèdre de Racine

l’auteur n’en oublie pas pour autant son coté réaliste, car sa description des lions et de leur « festin », rappelle celle d’une peinture animalière surtout pour les détails d’attitude des félins tel que « la poitrine contre le sol » ; « assis sur leur croupe » ; « roulés en boule ». L’auteur prend appuie sans doute sur l’iconographie, son étymologie vient du grec ancien ikon : image, et graphein : écrire. Toute cette scène est très figée et mise en avant par l’utilisation des verbes et adjectifs, « assis » ;

poitrail et les reins sont larges. Le bassin et les hanches sont développés et plats. La culotte large et épaisse et non rebondie, est bien descendue sur les jarrets et fermée au grasset. Couleur : la teinte est plus foncée sur les épaules et sur la croupe. Queue : fine, longue, elle est bien plantée et se termine par un toupet de crins noirs. Tête : le mufle, le bord des paupières et les cils sont noirs entourés d’une auréole blanche. Le chanfrein est plat et droit. Le front est carré. Le chignon

Gavroche était un tourbillonnement. On le voyait sans cesse, on l’entendaittoujours. Il remplissait l’air, étant partout à la fois. C’était une espèce d’ubiquité presque irritante ; pas d’arrêt possible avec lui. L’énorme barricade le sentait sur sa croupe. Il gênaitles flâneurs, il excitait les paresseux, il ranimait les fatigués, il impatientait les pensifs, mettaitles uns en gaieté, les autres en haleine, les autres en colère, tous en mouvement piquait unétudiant, mordait un ouvrier ; se posait,