Croupe

gorge et de leur croupe” (l.7) , “ engloutissaient “vociferaient” (l.15-16) montre le comportement sauvage , presque animal des personnages et de leur désinhibition mais aussi l’aspect populaire de cette scène ne montrant pas des manières distinguées. L’auteur utilise aussi un langage très familier pour décrire cette scène par l’intermédiaire de nombreux termes crus : “ piano geignard” , “ leur croupe” (l.7) , “ gaillards”

tu es à moi je t’aime Les cyprès ont noirci, le ciel a fait de même Les trompettes chantaient ta beauté mon bonheur De t’aimer pour toujours ton cœur près de mon cœur Je suis revenu doucement à la caserne Les écuries sentaient bon la luzerne Les croupes des chevaux évoquaient ta force et ta grace D’alezane dorée ô ma belle jument de race La tour Magne tournait sur sa colline laurée Et dansait lentement, lentement s’obombrait Tandis que des amants descendaient de la colline La tour dansait lentement

les rues, Dieu fait germer la vie d’avant mémoire
Tous les éléments amphibies rayonnants comme des soleils.
Harlem Harlem ! voici ce que j’ai vu Harlem Harlem !
Une brise verte de blés sourdre des pavés labourés par les
pieds nus de danseurs Dans
Croupes de soie et seins de fers de lance, ballets de nénuphars et de masques fabuleux
Aux pieds des chevaux de police, les mangues de l’amour rouler des maisons basses.
Et j’ai vu le long des trottoirs, des ruisseaux de rhum blanc des ruisseaux de lait noir

qui est affolé et l’autre s’appuyant sur son épée sur laquelle il s’appui pour ne pas chuter. Et on peut voir une certaine symétrie entre les deux mains. –Et une ligne horizontale passant par les pates du cheval ainsi qu’une oblique passant par la croupe du cheval qui semble se mélanger avec le ciel et le bras du cuirassier. Aussi en son centre. on retrouve le buste du cuirassier qui ressemble fortement à une autre œuvre antérieur de Géricault : Portrait d’un carabinier en buste. De plus le pied du

femmes burent d'un seul trait ; puis elles se levèrent, et la brune, avec un petit salut amical de la tête et un léger coup d'éventail sur le bras, dit à Duroy : " Merci, mon chat. Tu n'as pas la parole facile. " Et elles partirent en balançant leur croupe. Alors Forestier se mit à rire : " Dis donc, mon vieux, sais-tu que tu as vraiment du succès auprès des femmes ? Il faut soigner ça. Ça peut te mener loin. " Il se tut une seconde, puis reprit, avec ce ton rêveur des gens qui pensent tout haut

son âge et son comportement le laissent supposer et elle s’affiche avec impudeur, dévoilant les parties les plus intimes de son être et le champ lexical du corps parcourt tout le texte : « hanche », « taille », « gorge », « cuisse », « reins », « croupe », « sexe », « sein », lui conférant une charge érotique évidente. De plus, elle alterne différentes poses et mouvements qui prennent l’allure d’une danse de séduction comparable à la « danse du ventre » suggestive d’une « almée » (l. 10). Enfin

col », « omoplates », « reins », « L’échine », « reins », « tout ce corps », « croupe », « anus ». · Evocation du corps est organisée de haut en bas dans ce poème. · Contre-pied de la tradition poétique Absence des parties du corps qui représentent la féminité ou la valorisent

possibilités : certains mâles essayent de s’attirer l’amitié des femelles en les épouillant, les aidant dans les soins aux jeunes ou leur apportant de la nourriture. La femelle initie l’accouplement en présentant sa croupe gonflée par l’œstrus au mâle. Néanmoins présenter sa croupe est aussi un signe de soumission et peut-être effectué aussi par les mâles. De faux accouplements entre mâles peuvent également faire suite à ce comportement pour symboliser la dominance. Les femelles donnent naissance

Dans la mesure où la mer " vomit " cet " Indomptable taureau, dragon impétueux ", elle apparaît elle-même comme un animal qui crache, qui enfante " ce monstre sauvage ", lequel est donc bien un envoyé de Neptune en guise de punition. Du fait que " Sa croupe se recourbe en replis tortueux ", il a aussi l’apparence d’un énorme serpent, d’autant plus surnaturel qu’il " est couvert d'écailles jaunissantes " et que " Son front large est armé de cornes menaçantes ". Avec le retour du sens auditif (" ses

rectiligne, un front large, un toupet abondant et des oreilles petites et mobiles. Son encolure est courte et musclée ornée d’une abondante crinière. Son garrot est modérément relevé, large et musclé. Il a un dos court avec des riens bien attachés, une croupe ample et oblique et des membres secs et bien trempés. Sa queue est attachée bas. Ses membres sont poilus aux extrémités, son tissu est dense. Ses articulations doivent être fortes, avec de bons aplombs, les tendons bien détachés. Il est doté d’une