Croyance Ignorance

L’évidence rationnelle peut-elle être remise en cause ? L’évidence peut-elle être volontairement niée ?   L’évidence c’est la façon dont l’opinion ou la croyance apparaît. En effet, lorsque nous tenons une représentation pour une évidence, c’est que nous n’avons rien à arguer en sa faveur. Elle semble aller de soi. Or, une opinion ou une croyance, se distingue d’une connaissance en tant qu’on la tient pour vraie sans preuve alors que cette dernière repose sur des preuves. Qui veut s’assurer de la

en a toujours été ainsi. Ex1 : Les femmes doivent rester à la maison : c’est l’ordre naturel des choses, ça a toujours été comme ça, et encore aujourd’hui pour la majorité des nations. 5- L’appel à la nouveauté : on fonde la valeur d’une croyance ou d’un produit sur son originalité ou son avant-gardisme. Ex1 : Cet artiste est formidable car il est vraiment d’avant-garde. Ex2 : Notre université est excellente car nos professeurs utilisent tous les nouvelles technologies. 6- La

sentiment de sécurité chez l’auditeur et le faire adhérer un point de vue. (il y aurait beaucoup moins de problèmes sociaux si les femmes étaient restées chez elles pour s’occuper des enfants). 12. Appel à la modernité : on fonde la valeur d’une croyance ou d’un produit sur son originalité et son avant-gardisme. (Notre cegep a les meilleurs profs ; ils utilisent tous les nouvelles technologies). 13. Fausse cause : consiste à déduire que, du seul fait qu’un évènement survienne avant un autre,

nous devons lutter contre l´ignorance, parce que c´est elle qui rend les personnes fanatiques et tyranniques. Il faut faire quelque chose, agir pour changer ce qui est mauvais dans la société. Je sais que ce n´est pas facile, car même si l´on changeait des lois, il faudrait du temps pour que les mentalités acceptent le bouleversement de leurs habitudes. L´être humain doit évoluer et il peut le faire en adaptant sa religion à sa vie moderne sans renoncer à ses croyances et à ses valeurs fondamentales

effet dire ce que l’on pense s’est aussi se mettre en avant, montrer que nous avons un avis également. On distingue deux types d’opinions : -Une opinion qui trouve son origine d’ouï dire, la où l’incertitude demeure. Cette opinion relève de la croyance car on l’individu bâtit son opinion à partir de ce que j’ai entendu. Elle ne découle pas d’une constatation, d’une expérience vécue, ou même d’un raisonnement fondé, et n’est donc pas exact. -Une opinion raciste, brutale qui porte sur un jugement

La religion est-elle une illusion? La religion désigne deux choses : Une croyance en l'existence d'un ou plusieurs êtres supérieurs (il y a des religions monothéistes ou l'on croit en un seul Dieu et des religions polythéistes avec plusieurs Dieux) Un ensemble de rites (dans le christianisme la messe, en Islam la prière quotidienne, dans le Judaïsme la fête du grand pardon). L'illusion n'est pas l'erreur. L'erreur peut être corrigée simplement : il suffit d'expliquer à quelqu'un pourquoi

fait, fait-le donc. » 6. L’appel à la tradition Ce sophisme consiste à s’appuyer sur les coutumes pour provoquer un sentiment de sécurité chez l’auditeur et le faire adhérer à un point de vue. 7. L’appel à la modernité On fonde la valeur d’une croyance ou d’un produit sur son originalité et son avant-gardisme. Ex : « Le musée d’art contemporain possède la plus extraordinaire collection d’œuvres d’arts; on n’y trouve que des tableaux d’avant-garde. » 8. La fausse cause Ce sophisme consiste à déduire

Cette opposition est à nouveau répétée en parallélisme dans la dernière phrase : dans cette variation, Fontenelle reprend l’antithèse du début entre le vrai et le faux, en faisant de la recherche (prématurée) de la cause l’origine même de notre ignorance. Par ce brillant paradoxe, Fontenelle pose donc les principes de la science expérimentale, en affichant sa méfiance envers les spéculations abstraites qu’il présente comme une perversion de la raison. De fait, le mot sentiment employé deux fois

acceptons, au départ presque sans condition. Elles pourront ensuite par l'expérience ou une recherche philosophique poussée être discutées. On remarque qu'au cours des siècles, la connaissance vraie s'est longtemps vu confrontée aux différentes croyances et superstitions qui tenaient alors de culture commune et, tenaient sous cloche les esprits. Quelques penseurs et scientifiques qui émettaient de nouvelles thèses ou bousculaient les idées admises étaient alors menacés car ils visaient à semer le

mieux cette idée : « une grande perfection du philosophe, c'est que lorsqu'il n’à point de motif pour juger, il sait demeurer indéterminé ». Le philosophe est donc modeste puisqu’il avoue son ignorance et ses doutes, tandis que l’homme est toujours persuadé de détenir la vérité. Ce dernier prend ses croyances, fruit de son imagination, pour des vérités. Le philosophe ne croit pas à des vérités toutes faites qui sont des vérités imaginaires : « La vérité n'est pas pour le philosophe une maîtresse qui