Croyance

la raison peut déboucher sur la déraison et inversement la croyance peut être rationnelle (et raisonnable à la fois). Par exemple l’idée selon laquelle les hommes peuvent vivre en paix sur la Terre, que la guerre n’est pas une fatalité éternelle, cette idée ne peut être qu’une croyance, ce n’est ni une connaissance, ni une certitude. Cette croyance n’en ai pas moins rationnelle : Kant appelait « idéal de la raison pratique » la croyance au progrès. Toute affirmation sur l’univers est relative

confiance » « loyauté » Au sens théologique, la foi désigne la confiance absolue qu’on accorde à dieu, même lorsque la raison n’y saurait donner un quelconque appui. Foi n’est pas une simple croyance, croyance conduit à la crédulité et au sommeil de l’esprit, la foi est une croyance consciente d’être croyance. Spinoza Abandon de la question de vérité ou de la recherche de vérités spéculatives dans la Bible au profit de la seule leçon de moralité Théologie : discours qui en s’appuyant uniquement

anthropologiquede la culture est élaborée par le Britannique Edward Burnett Tylor dans son ouvrage La Civilisation primitive (1871) : « La culture, considérée dans son sens ethnographique le plus large, est ce toutcomplexe qui englobe les connaissances, les croyances, l’art, la morale, la loi, la tradition et toutes autres dispositions et habitudes acquises par l’homme en tant que membre d’une société ».Nous ne pouvons pas nier que notre culture se caractérise par un haut degré de développement scientifique et

se débarrasser des croyances ? Il faudra définir et analyser « croyance » et « se débarrasser » Croyances: en général, une croyance est une attitude mentale qui consiste à affirmer que quelque chose existe ou existe de telle manière. Elle est marquée par une certaine certitude subjective alors même qu’elle manque de garantie objective, contrairement à la connaissance. Mais il faut tout de même distinguer: ... les superstitions : (il croit que le chat noir porte malheur.): croyance qu'il existe des

La religion chez les jeunes : choix ou obligation ? « Croyantes et Musulmanes » D’après Hervé Flanquart, auteur de l’ouvrage sociologique Croyances et valeurs chez les jeunes Maghrébins, les jeunes d’origine Maghrébine semblent être encore fortement marqués dans la religion, solidement ancrés dans l’Islam. Même si le degré de croyance à l’Islam peut varier considérablement d’un individu à un autre, peu se disent athées. L’auteur de cet ouvrage a effectué une enquête dans laquelle il a mis en

Numéro 5 La raison et la croyance : Raison : Faculté de l'esprit qui permet d'organiser les idées avec rigueur et cohérence, et de penser de manière plus ou moins abstraite. En temps que faculté universelle de bien juger, la raison permet de distinguer le vrai du faux, et le bien du mal. Croyance : Adhésion non fondée à une idée. L'opinion, le préjugé, la crédulité témoigne de la naïveté de celui qui croit. La croyance s'oppose à la raison et au savoir. La foi, croyance religieuse > engagement

implicitement. Je qualifierai le premier de rationnel. Il part du principe fondamental que, pour expliquer le comportement, les attitudes ou les croyances de l'acteur social, il faut tenter de démontrer que celui-ci a, étant donné son passé, ses ressources et son environnement, de bonnes raisons d'adopter tel comportement, telle atti­tude ou telle croyance. Prenons un exemple simple : les historiens et les sociologues se sont demandé pourquoi les bolcheviques ont si rapidement rétabli le mariage bourgeois

Ethnocentrisme : c'est le fait de prendre pour unique référence sa propre ethnie et de la placer au centre de toute les autres. C'est à dire l'utiliser comme étalon de jugement de valeur. → Hiérarchisation des cultures : racisme. Racisme : . Croyance en la supériorité d'une race. . Raisonnement par induction de quelqu'un à tous. . Confusion entre nature et culture, c'est donner une cause naturelle à des comportements sociaux et culturels, cela évite de rechercher

religieuse, la toute puissance de la raison ou encore l’abolition de l’esclavage, et ils ont mené de rudes combats pour se faire entendre. Dans Memnon ou la sagesse humaine, conte philosophique très court, publié en 1748, Voltaire dénonce l’abus des croyances et remet en cause l’aspiration des hommes à la perfection. La fin de ce conte est marquée par l’apparition d’un génie qui s’adresse au personnage principal Memnon pour lui donner une leçon, suite à ses mésaventures. Nous nous demanderons en quoi

que plus le savoir des scientifiques augmente, plus il les éloigne de toute forme de croyance en Dieu. Il est vrai que la communauté scientifique ne manque pas de membres qui méprisent la foi religieuse. Mais on y trouve aussi un nombre non négligeable de savants qui se disent profondément impressionnés par la finalité dont témoigne la nature. Beaucoup personnes instruites s’attendent sans doute à ce que la croyance en Dieu ne soit plus le propre que des ignorants, des crédules et des naïfs. Or il