Crédit De Mobilisation De Créances

|DROIT DU CREDIT | Le programme de DESCOCEF, partie « Droit du crédit », nous entraîne dans un cocktail juridique assez curieux, en ce sens que nous avons affaire aux règles de l’UEMOA, au droit bancaire classique et au droit OHADA : - la réglementation du crédit : UEMOA - les mécanismes du crédit : droit bancaire classique et UEMOA - les instruments de paiement et de crédit : UEMOA - les garanties du crédit : droit OHADA

L'escompte Cette procédure, très ancienne, peut être définie comme un moyen pour l'entreprise de se procurer immédiatement la contre-valeur d'une créance à terme détenue sur un de ses clients et matérialisée par un effet de commerce : traite, LCR (lettre de change relevé), billet à ordre, BOR (billet à ordre relevé). Précision : les LCR ou BOR peuvent être dématérialisés (remise sur support informatique). L'escompte est donc l'opération par laquelle le banquier met tout de suite à la disposition

Crédits à court terme • Facilité de caisse : Pour couvrir les besoins passagers de trésorerie nés du décalage entre le flux des recettes et le flux des dépenses Possibilité de rendre le compte débiteur dans la limite d’un montant maximum et sur un durée déterminée Bénéficiaires : Commerçants, Industriels, Prestataire de Services Côte théorique : o 1 mois du CA confié pour les entreprises industrielles o 15 jours du CA confié

Optimisation et stratégie - L’optimisation de la gestion de trésorerie - La stratégie d’utilisation des crédits - Stratégie de placement des surplus. Optimiser les placements et les crédits de trésorerie - choisir la meilleure formule de placement - mesurer les performances réelles d’un placement - choisir le meilleur crédit de trésorerie - mesurer le coût réelle d’un crédit - les financements de l’activité import export Durée Dates Prix Lieu Logique de la gestion de trésorerie

extérieur 3 II- Les instruments les supports des paiements internationaux 4 Section 2 : Le financement des exportations : 5 I- Les crédits par décaissement à l’export : 5 II- les garanties aux exportations fournies par les banques : 7 Section 3 : le financement des importations 8 I- les techniques de paiement et de financement à court terme : le crédit documentaire 8 II- les techniques de financement à moyen et à long terme : 12 CONCLUSION 16 BIBLIOGRAPHIE 17 Introduction :

droit local. • • 03/12/2012 lundi 14 janvier 13 Licence Professionnelle 9 Gestion des Risques à l’international • • • • 4°Sécurisation du paiement des créances . Le Crédit documentaire.(Doc service formation 18 à 32, boudinot frabot 351 à 383) Définition et objet du crédit documentaire : Le crédit documentaire est l’opération par laquelle une banque s’engage pour le compte de son client importateur à régler à un tiers, exportateur dans un délai déterminé, un certain montant

problèmes structurels : ceux liés au besoin en fonds de roulement à financer et donc aux décalages induits par le fonctionnement de l’activité de l’entreprise. On peut citer : - des niveaux de stocks trop importants ; - des crédits consentis aux clients trop longs ; - des crédits accordés par les fournisseurs trop courts. Ce BFR structurellement défavorable pour l’équilibre financier de l’entreprise implique de prendre des actions au niveau du bilan afin de restaurer la trésorerie de l’entreprise

Chapitre II : Crédit aux entreprises I: Crédit de fonctionnement ou crédit à court terme : I.1 : Crédit de fonctionnement par décaissement Avances sur marchandises * OBJET : financement partiel de l’achat de marchandises pour la constitution de stocks en faveur des entreprises industrielles, commerciales ou agricoles : céréalistes, minoteries,… * PLAFOND DE FINANCEMENT : Jusqu'à 80% du prix de revient de la marchandise stockée. Credit de compagne * OBJET : Crédit destiné au financement

son exclusivisme, peut devenir une charge pour le créancier lorsqu'elle porte sur des biens corporels. En fin d'opération, le créancier-fiduciaire peut effectivement conserver le bien, mais alors sans récupérer la créance garantie. Or le créancier-fiduciant cherche à garantir une créance, mais non pas à récupérer un bien en fin d'opération. D'autant que ce bien, outre qu'il ne peut lui être d'aucune utilité, peut s'avérer difficile à revendre par la suite. Concernant la charge des risques, le problème

leurs créances, en assurant leur recouvrement pour leur propre compte et en supportant les pertes éventuelles sur des débiteurs insolvables". Aux termes de ce type contrat un commerçant ou un industriel détenteur de créances (vendeur) et une société de financement et de recouvrement appelée "factor" (ou affactureur), s'engagent respectivement : a) Le vendeur à transférer au factor les créances qu'il détient sur ses clients, b) Le factor à opérer le recouvrement de toutes ces créances et à