Créer Dialogue Dom Juan

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tout en se faisant mal. Lorsqu’elle narre son épisode avec Prévan, elle insiste bien sur la fausseté dont elle a su faire preuve. Ceci est bien mis en évidence aussi dans le film de Frears, notamment à travers l’usage des miroirs qui permettent de créer un autre personnage. Un exemple éloquent peut être le moment où Valmont se rend chez Tourvel pour rompre. De fait, hésitant au départ, il lui suffit de se regarder dans le miroir pour redevenir le libertin cruel qu’il se doit être à ce moment. Il en

Madame Pernelle (Tartuffe) et ses mots peu scrupueux („forte en guele“, „sot“) nous enjoue bien quand elle commence soudainement à déblatérer contre les membres de sa famille. Sosie d´Amphitryon semble énormement ridicule lorsqu´il se prépare pour le dialogue avec Alcmène en langage très soutenu. Il existe également d´autres façons de jeux de langage - prenons comme l´exemple Alfred de Muset qui dans ses Caprices de Marianne fait magistralement sonner des répetitions et des paraphrases. „Que tu es heureux

Dom Juan : Acte II, scène 4 Extrait : du début jusqu’à “ je viens vous retrouver dans un quart d’heure ” Introduction 1. Situation du passage • Comédie des paysans qui constitue l’acte II. • Coupure par rapport à la fin de l’acte I : on attendait vengeance d’Elvire + nouvelle intrigue amoureuse de DJ. Or il y a une ellipse : cette nouvelle intrigue a échoué et on l’entend raconter par Pierrot, mais on ne l’a pas jouée. On n’entend plus parler d’Elvire, sauf dans la scène 5, qui

mots-clés : "le premier des biens". C'est placer haut la mesure, dont les uvres au programme présentent d'autres facettes. Le sujet impose d'aller y regarder de plus près. Si l'on pense au « souverain Bien », l'harmonie de l'âme des philosophes, dont le dialogue de Platon, Philèbe, s'emploie à rechercher les voies, force est de constater que l'homme est plutôt sans cesse déchiré entre des tentations contradictoires qui le font échapper à la mesure sans qu'il soit possible d'associer toujours à cette déviance

XIXème siècle. Le mythe scandinave raconte l'origine comme d'un néant entouré de glace et de flamme qui se rencontrent pour donner naissance à deux êtres : un géant et une vache. La vache donne du lait en abondance, assez pour nourrir le géant et créer des rivières ; elle se nourrit en léchant la glace qui en fondant donne naissance à Buri ainsi que son fils Burr. Arrive ensuite les dieux et le monde avec la naissance de nouveaux êtres de la transpiration du géant Ymir, cependant ils ont un corps

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dramatique qui se distingue à la fois de la tragédie (forme noble du théâtre) et de la farce (forme populaire du théâtre). La comédie est un genre protéiforme, donc difficile à saisir. Il y a quand même des constantes: il s'agit d'un texte composé de dialogues en vers ou en prose et destiné à provoquer le rire (l'humour peut être aussi bien innocent que grinçant); on y retrouve une intrigue (souvent amoureuse), une peinture psychologique ou sociale, de la fantaisie (autant dans les mots que dans l'action);

public. Mais paradoxalement, tout en déformant la réalité, le genre théâ- de tr€nsltion tral cherche à donner au spectateur l'illusion que ce qu'ilvoit sur scène est vrai. Ileuxième pa$ie Phrase d'lniroductlon Le théâtre s'attache à créer l'illusion de réalité: t'idéal du dnmaturge comme du metteur en scène réside souvent darrp I'ambition de faire oublier au spectateur qu'il est au théâtre, ambition difficilement conciliable avec l'idée d'exagération. Première sous-partie Idée

précaire mettant en évidence l'apparence et l'illusion). Ils utilisent des hyperboles, des antithèses, des périphrases, des métaphores, le mélange des genres et des tons. "L'Illusion comique" de Corneille était une pièce de théâtre baroque tout comme "Dom Juan" de Molière. Louis XIV engagea de nombreux artistes pour la construction de son chateau à Versailles, le décorateur de celui-ci fut Charles Le Brun, un génie de la peinture du XVIIème siècle. André Le Nôtre, un grand jardinier fut le jardinier du