Cuirassé

Autriche/Etats-Unis) : Robin des Bois (1938) o La Russie avec Lénine (1870-24) puis Staline (1878-1953) se consacre également au cinéma. Les 2 compositeurs qui marquent cette période sont ▪ Dmitri Shostakovitch (1906-75 - Russie) : Le Cuirassé Potemkine (1925), dans une version postérieure ▪ Serge Prokofiev (1891-1953 - Russie) : Prokofiev a composé pour 8 films soviétiques dont les plus célèbres, du réalisateur Serge Eisenstein sont Alexander Nevsky (1938) et Ivan le Terrible

cacaoyers épargnés par sa colère et le cacao, fruit et symbole du paradis perdu, fut vénéré et utilisé dans tous les domaines de la vie. DU MYTHE A LA REALITE Hernan Cortes débarque en avril sur les cotes du Tabasco. Les habitants, à la vue de sa cuirasse étincelante, de son visage blanc et barbu, monté sur un cheval, croient au retour du dieu Quetzalcóatl car une prophétie avait annoncé que ce dieu était allé conquérir de nouvelles terres et qu’il reviendrait par ses descendants. Ils conduisent

brachiosaurus. [pic] [pic] Velociraptor (carnivore) brachiosaurus (herbivore) • Les ornitischiens étaient tous herbivores. Ils sont classés en trois grands groupes : - Les thyréophores : dinosaures quadrupèdes cuirassés ou à plaques, comme l’ankylosaurus, l’edmontonia… [pic] edmontonia - Les marginocéphales : dinosaures qui portaient sur la tête des bourrelets osseux ou des cornes, comme le tricératops, le stégoceras

Import-Export de Yumimoto (p 16) * L’hyperbole : « pour que ces cris odieux s’arrêtent, j’aurais été capable du pire – d’envahir la Mandchourie, de persécuter des milliers de Chinois, de me suicider au nom de l’empereur, de jeter mon avion sur un cuirassé américain, peut-être même de travailler pour deux compagnies Yumimoto » Quand Omochi hurle sur Mr Tenshi (p 44 / 45) * La gradation : « S’il vous plait, faites-moi la faveur de manger. […] Manger. […] Bouffe ! » Omochi à Amélie, en lui ordonnant

tourbillonnent, leurs bouts se dressent ; sur la moiteur de sa peau les diamants, attachés, scintillent ; ses bracelets, ses ceintures, ses bagues, crachent des étincelles ; sur sa robe triomphale, couturée de perles, ramagée d'argent, lamée d'or, la cuirasse des orfèvreries dont chaque maille est une pierre, entre en combustion, croise des serpenteaux de feu, grouille sur la chair mate, sur la peau rose thé, ainsi que des insectes splendides aux élytres éblouissants, marbrés de carmin, ponctués de jaune

l’innocence. Ces formes souples contraste avec le traitement des visages qui expriment l’angoisse et la douleur. La nudité exprime le désarmement, les victimes inoffensives. * L’armée américaine, en peloton d’exécution est « robotisée », porte des cuirasses et casques, métallisée (armes modernes et puissantes, armure un peu à l’image des chevaliers). Les traits anguleux, les formes géométriques, les traits de contour accentués montrent la force brutale et la puissance face à des civils innocents.

d'autres que ces dix mille seraient comme une goutte d'eau dans la mer." L'homme qui plantait des arbres, Jean Giono | | "Dans la tiède forêt que baigne un jour vermeil, Le grand chêne noueux, le père de la race, Penche sur le coteau sa rugueuse cuirasse Et, solitaire aïeul, se réchauffe au soleil" Anatole France | | "asseyez-vous sous un pommier en fleur ... et regardez bien pour moi autour de vous. Ça doit être vert et charmant et il y a de l’herbe… Le vert me manque, le vert est une nourriture

en habits de cour, ce qui ne permettait pas de reconnaitre la classe sociale des personnages ou leur richesse. Au 18ème siècle, recherchant plus de vérité et de naturel, certains acteurs rejettent les robes de cour à queue et à paniers ou les cuirasses et les chapeaux à plumes pour un costume plus vraisemblable et plus simple. Dans la comédie et la farce, les costumes avaient subi l'influence de ceux de la tradition du Pont-Neuf et des Italiens. Le costume concourait alors à typer un personnage

croissant de lune, et d'un poignard), archers ou acontistes (munis d'un javelot) ; les plus riches sont hoplites, c'est-à-dire fantassins de l'infanterie lourde, armés de la lance et de l'épée et protégés par une panoplie en bronze qui comprend casque, cuirasse, cnémides (ou jambières) et bouclier, rond ou échancré, orné du côté extérieur d'un emblème central (ou épisème), équipé à l'intérieur d'une poignée et d'un brassard, et souvent garni vers le bas d'un tablier en cuir destiné à la protection des jambes

du film d'Eisenstein Le Cuirassé Potemkine, se mêle inextricablement, dans le tableau de Bacon, à la figure du souverain pontife peinte par Velázquez. Selon Bacon, cette image obsédante du cri ne renvoie pas au célèbre tableau de Munch. Il n'en partage, dit-il, ni le caractère expressionniste, ni l'hystérie pathologique. La Nurse Hurlante « Le Cuirassé Potemkine » Chez Bacon