Culte de la personnalité

du mal à réaliser ce film à cause de diverses pression exercé par des régimes politiques et aussi à cause du manque de soutien. Dans le dictateur Chaplin parodie et tourne en dérision les principaux aspects du nazisme : la propagande, le culte de la personnalité l'antisémitisme, le militarisme. Ainsi la Tomainie = l'Allemagne, l'Osterlich = l'Autriche, Hynkel = Hitler, Garbitsch (déformation de garbage, ordure en anglais) = Goebbels, ministre de la propagande nazie, Herring (hareng en allemand)

l’héritage de la Révolution française de 1789, Pétain va faire disparaitre la démocratie et l’Assemblée nationale afin de mettre en place de nouvelles valeurs. Le régime de Vichy va s'appuyer sur cette popularité en mettant en place un véritable culte de la personnalité par tous les médias possibles avec des affiches, des cartes postales, des calendriers, des timbres et des chansons notamment la populaire chanson « Maréchal nous voilà ». ==> nouvelle Devise : « travail famille patrie »

La violence, la terreur, les déportations massives d’opposants, le culte de la personnalité de Staline sont des éléments sur lesquels il convient d’insister pour caractériser le régime. Le régime nazi : Ce régime se compose principalement d’antisémitisme et de racisme. C’est aussi un régime profondément antidémocratique dont les pouvoirs reposent dans les mains d’un seul homme, le führer, qui organise un culte de la personnalité. C’est aussi un régime d’une grande violence face à ceux qu’il considère

Jodoin. Pour commencer, on peut constater cela par le fait que le protagoniste ne pratique pas le culte comme tous les autres habitants du village de Saint-Joachim. Il fait le choix de ne pas choisir de religion et il reste fidèle à lui-même, malgré le fait que c’est considéré comme défavorable dans ce milieu. D’ailleurs, dans le passage suivant, il avoue qu’il n’est pas un habitué des lieux de culte et il ne semble pas pressé de se défendre auprès du clergé contre des ragots circulant à son sujet :

bipartisme contre dictature du prolétariat et parti unique ; - libertés formelles (bourgeoises) ou réelles (égalitaires) ? (liberté religieuse et athéisme d’Etat ; liberté de la presse et oppression des intellectuels, « Jdanovisme ») ; - culte de la personnalité, nouveau fascisme ou expression excessive de la personnalisation du pouvoir qui touche aussi l'Ouest assoiffé de pouvoir charismatique ? La preuve recherchée par la réussite économique : - stalinisme industriel et planification quinquennale

santé • L'idéal Les médias et la publicité encouragent de nos jours l'idéal de la perfection que nous devons représenter. On le remarque dans différents domaines, notamment le corps humain, et surtout le corps féminin qui est devenu un véritable culte. Le corps à la « mode » d'aujourd'hui, est une silhouette faite selon un moule précis. Certaines personnes de la mode ont décidé qu'il serait extrêmement maigre. Les mannequins ont toujours été les modèles excessifs de cette beauté minceur, de cette

référence est le marxisme-léninisme. Il est fondé sur le principe de la lutte des classes. Le Parti communiste contrôle le pays, en principe au nom du peuple et pour son bien. . L'organisation politique : Staline fait líobjet d'un véritable culte de la personnalité. Les opposants sont envoyés au Goulag et déportés par centaines de milliers. . L'organisation économique : Tous les moyens de production sont contrôlés par l'Etat au moyen de la planification. Les terres sont collectivisées, les entreprises

s'alliant aux uns et aux autres, il élimine ses concurrents (procès truqués et assassinats) ; * inaugure le culte de Lénine (momification dans mausolée de la place rouge) dont il est le grand prêtre; transforme dictature du parti en dictature personnelle ; terreur du GPU (police politique) et grand procès éliminent tous les concurrents politiques et militaires ; culte de la personnalité comme ciment de la société ; * crise agricole en 1927-8 provoque retour à la terreur dans les campagnes, paysans

styles de management, de R.Likert on peut considérer que Steve Jobs avait adopté un style de direction très directif, voir autocratique. Les décisions sont très centralisées et la pression extrêmement forte sur les membres de l'entreprise, avec un culte du chef très marqué. Son successeur Tim Cook, n'est pas parvenu à asseoir son autorité comme l'a fait Steve Jobs. "Il est parfois impossible d'organiser une réunion avec deux dirigeants d'Apple sur un sujet qui leur est commun, tant l'animosité entre

jeunes Allemands dans les Jeunesses Hitlériennes. 4) Les régimes totalitaires sont indissociables de la personnalité du chef de l'Etat qui concentre tous les pouvoirs et qui sert de guide à toute la société. L'idéologie dominante tend en effet à se confondre avec la volonté de Mussolini, d'Hitler ou de Staline dans cette mobilisation des masses. Une fois le chef parvenu au pouvoir, sa personnalité et ses moindres actes du chef sont valorisés par une propagande continue qui lui attribue toutes les évolutions