Culte impérial

de culte). La laïcité est par définition une perte d’emprise de la religion sur le droit, ainsi la loi de séparation de l’église et de l’état est vérifiée. Toutefois cette perte d’emprise n’entraine pas une méconnaissance de la religion par le droit. La laïcité impose la tolérance et la neutralité. La tolérance. a)L’état. La tolérance s’impose à l’état, car l’état doit respecter les opinions religieuses de chacun, la liberté de conscience et doit garantir la liberté de culte. Toutefois

-l’écriture était faite pour être lue. -l’exégèse : lecture divine, de méditation. En philologie (science qui traite d'une langue d'un point de vue historique), c’est une étude approfondie et critique d'un texte. -textes poétiques : liturgie (culte public et officiel institué par une Église). Hagiographie = écriture de la vie et/ou de l'œuvre des saints. ==== ainsi, il y a dans les monastères, une grande activité littéraire latine. 2) les Clercs : == personne qui a fait des études

autant d’institutions salutaires qui prescrivent dans chaque pays une manière uniforme d’honorer Dieu par un culte public, et qui peuvent toutes avoir leurs raisons dans le climat, dans le gouvernement, dans le génie du peuple, ou dans quelque autre cause locale qui rend l’une préférable à l’autre, selon les temps et les lieux. Je les crois toutes bonnes quand on y sert Dieu convenablement. Le culte essentiel est celui du coeur. Dieu n’en rejette point l’hommage, quand il est sincère, sous quelque forme

1787 La tolérance royale concernant les religions réformées connu une évolution certaine en France à partir du XVIIIe siècle. En effet, Henri IV, ancien protestant, signa l'édit de Nantes le 30 Avril 1598, celui ci reconnaissant la liberté de culte aux protestants. Cette évolution n'a pourtant pas durée longtemps puisqu'en 1685 Louis XIV signa l'édit de Fontainebleau, révoquant le précédent édit. Il faudra attendre le XVIIIe siècle pour que le statut des protestants change à nouveau, avec notamment

lesquelles « chacune exerce son action jure proprio » (ligne 110). Léon XIII définit donc les domaines de compétences des deux puissances. « Tout ce qui, dans les choses humaines est sacré à un titre quelconque, tout ce qui touche au salut des âmes et au culte de Dieu […]est du ressort de l’autorité de l’Eglise. Quant aux choses qu’embrasse l’ordre civil et politique, il est juste qu’elles soient soumises à l’autorité civile […] ». On retrouve à nouveau dans cette distinction la prééminence de l’Eglise :

religieux sur l’Agora, tels que le temple d’Arès ou d’Apollon, montre l’omniprésence de la religion sur Athènes. L’Agora est un lieu sacré, car les citoyens y viennent pratiquer leur culte dans les différents temples entourant la place publique, comme la Stoa de Zeus qui est aussi bien un édifice religieux, dédié au culte de Zeus, qu’un édifice civique qui rend hommage aux soldats morts qui se battaient pour la liberté. On trouve aussi le « monument des héros éponymes », édifice à vocation religieuse

Depuis la fin des années 1980, le voile islamique en France provoque des polémiques et des « affaires » (Cherifi 2005, ch. IV : Aux origines de la loi). Les débats mettent principalement en balance : liberté de culte et laïcité à la française. C'est au nom de ces principes que des élèves portant le hijab et refusant de l'ôter sont exclues de leur établissement. Cette expulsion a lieu devant un Conseil de discipline de l'établissement et certains recours sont allés jusqu'au Conseil d'État. Le statut

Avant le moyen age le temple païen n'est qu'un sanctuaire où ne pénètrent que les ministres du Culte et les initiés, le peuple reste en dehors de ses murs, aussi les monuments de l'antiquité, en Italie, sur le sol des Gaules, ne pouvaient convenir aux chrétiens. La basilique antique, avec ses larges dimensions, sa tribune, ses ailes ou bas-côtés, son portique antérieur, se prêtait toutefois au culte de la nouvelle foi, étant le lieu de tous les échanges. Il est même probable que les dispositions

entre anticléricales et partisan de l’Église dues à la participation de celle-ci dans la contre-révolution. Cette loi affirme formellement que : « Nul ne peut être empêché d’exercer, en se conformant aux lois, le culte qu’il a choisi. Nul ne peut être forcé de contribuer aux dépenses d’un culte. La République n’en salarie aucun ». Malheureusement ce texte n’apaisa pas les tensions entre le peuple et l’Église catholique. Cette tentative laïcisation pris fin avec le concordat signé entre Napoléon Ier et

parlons de « religion » pour identifier cette forme culturelle partant de certaines raisons, à partir de ce qu’on entend par religion : si religion se définit comme « relation à Dieu ou au divin, ou à une Transcendance absolue », on peut noter que le culte aux ancêtres n’a rien à voir avec le « religieux », mais on parlerait d’un ensemble de pratiques purement sociaux et familiaux ; mais au contraire, si par « religion » on voit une relation au « sacré », à un autre monde, à un monde invisible, à une