Culte

assez différent. On a d'abord celui de Jacques Cartier, explorateur français, qui parle du culte des autochtones et celui de Gabriel Sagard, homme de dieu, qui raconte une fête mortuaire indigène. La façon dont Cartier traite les indigènes est assez intolérante, en effet il parle d'eux comme des sortes de « sous hommes » sans le moindre développement technologique et culturel. Lorsqu'il parle de leurs culte et du fameux « Cudouagny » on a l'impression qu'il parle d'une sorte de rêve qu'un enfant

Freud a tiré le nom de narcissisme, résumé par l'amour de soi. Amour excessif (de l'image) de soi, associant survalorisation de soi et dévalorisation de l'autre, habituel chez l'enfant, courant chez l'adolescent, compensatoire chez l'adulte Un culte du moi, une culture de l'instant et du bien-être Lasch constate également un déclin du sens de la « continuité historique ». « Vivre dans l’instant est la passion dominante », écrit-il et nous perdons la notion d’appartenir à une « succession de génération

l'actualité de cette question des lieux de culte, conditions de possibilité des pratiques religieuses, question qui fait aujourd'hui polémique par plusieurs points. La Laïcité est un Principe de séparation de la société civile et de la société religieuse, l'Etat n'exerçant aucun pouvoir religieux et les Eglises aucun pouvoir politique. (d'après Le nouveau Petit Robert, édition 1995) Elle se divise en trois grandes règles : respect de la liberté de conscience et de culte égalité des religions et des convictions

fonction de rattacher le groupe à son passe mythique à ses ancêtres fondateurs, de pérenniser sa morale, sa cosmologie, son histoire.C’est dans cette optique que la pratique dans le vaudou renvoie non seulement aux vénérations des esprits mais aussi au culte des ancêtres. D’ou le lien social qui existe dans le rite, le rapport de l’individu croyant à ses ancêtres. 2- La croyance (le sacre et le profane) Pour Emile Durkheim, les croyances sont, avec les rites au cœur du phénomène religieux

La femme athénienne I. Pourquoi les femmes sont exclues de la vie politique ? Ce mythe explique l'exclusion des femmes et leur lien particulier avec Athéna, (Elle a donné naissance, son culte et son nom à Athènes) Un olivier avait fait soudaine apparition tandis qu’en un autre endroit jaillissait de l’eau, prodiges qui étonnèrent le roi. Il envoya consulter Apollon qui répondit que l’olivier signifiait Athéna et l’eau Poséidon et qu’il dépendait des citoyens de décider laquelle des deux divinités

religieux, une expression et une manifestation de sa foi. Or la liberté religieuse, assurée par l'article 10 de La DDHC, comprend la liberté d'exercice du culte, autrement dit d'expression du culte. Va alors se poser la question de savoir peut-on et comment interdire cette pratique sans porter atteinte excessive à la liberté d'expression du culte? Le conseil constitutionnel doit alors s'assurer que la loi, destinée à assurer la sauvegarde de l'ordre public, ne porte pas atteinte à d'autres liberté

religieuse » et donc de sombrer dans ce qu'il appelle un « faux culte ». Mais comment l'auteur oppose-t-il ces deux notions dans ce texte ? Dans un premier temps, nous verrons que pour lui, la religion est essentielle ; et ensuite que ce qu'il appelle la « foi statutaire » constitue un « faux culte ». La « vraie et unique religion », définie au début du texte, est celle qui ne contient que des lois, donc qui est universelle, et opposé au « faux culte » défini à la fin. Ce qui semble pour Kant être la

tête humaine qu’il considèrent comme le siège de l’âme et de l’énergie vitale. C’est pourquoi on retrouve, dans certains sanctuaires, des cranes d’ancêtres ou d’ennemis tués au combat, disposés de manière rituelles. Les celtes vouent également un culte particulier au élément et aux forces de la nature, comme le soleil et l’eau qu’elle soit vive ou dormantes. Ils pratiquent aussi les sacrifices d’animaux (consommés en partie par les homes ou entièrement consacré a la divinité) et d’armes (pliées;

Avant le moyen age le temple païen n'est qu'un sanctuaire où ne pénètrent que les ministres du Culte et les initiés, le peuple reste en dehors de ses murs, aussi les monuments de l'antiquité, en Italie, sur le sol des Gaules, ne pouvaient convenir aux chrétiens. La basilique antique, avec ses larges dimensions, sa tribune, ses ailes ou bas-côtés, son portique antérieur, se prêtait toutefois au culte de la nouvelle foi, étant le lieu de tous les échanges. Il est même probable que les dispositions

chrétiens doivent avoir les unes pour les autres, je vous répondrai franchement qu'elle est, à mon avis, le principal caractère de la véritable Église. Les uns ont beau se vanter de l'antiquité de leurs charges et de leurs titres, ou de la pompe de leur culte extérieur, les autres, de la réformation de leur discipline, et tous en général, de l'orthodoxie de leur foi (car chacun se croit orthodoxe) ; tout cela, dis-je, et mille autres avantages de cette nature, sont plutôt des preuves de l'envie que les