Cupidon

• Le lexique guerrier (v.250) laisse sa place à un lexique galant (« maîtresse », « bel œil qui tient ma liberté », v.252) • On observe une nouvelle référence mythologique à travers une périphrase précieuse au v.247 ) = cette fois pour désigner Cupidon le Dieu de l’amour. = Matamore est donc un personnage changeant et contradictoire où la pseudo vaillance guerrière côtoie le culte de l’amour, mais de façon caricaturale et donc comique. Cette transformation renvoie bien au motif de la métamorphose

autre forme brève, cette fois de tradition morale, les Fables choisies et mises en vers, dédiées au Grand Dauphin, paraissent en 1668. En 1669, La Fontaine ajoute un nouveau genre à son activité en publiant le roman Les amours de Psyché et de Cupidon, qui suscite une relative incompréhension au vu de sa forme inédite : mélange de prose et de vers, de récit mythologique - cette fois tiré d’Apulée - et de conversations littéraires, le texte contrevient à des principes élémentaires de l’esthétique

Un autre attribut féminin est mis en avant : les yeux. Ceux-ci sont comparés à des « traits », qui auraient transpercés le cœur de l’auteur. Ce terme de trait peut faire penser à une flèche qui aurait atteint l’auteur en plein cœur, la flèche de Cupidon peut-être. De plus, l’allitération en « tr » (« trait transparent »), dure à l’oreille, traduit la dureté de l’action, le mal ressenti par le poète à cause de cette flèche. Ensuite, l’auteur est prisonnier du sentiment amoureux lui-même. Au vers

(Aphrodite) conduit alors le héros troyen et son fidèle serviteur Achate à Carthage. Enée se présente à Didon qui l'invite à un banquet avec ses compagnons. Enée fait chercher son fils Ascagne pour porter des cadeaux à la reine mais Vénus le remplace par Cupidon sous l'apparence d'Ascagne. Didon finit alors touchée par l'amour et prie son hôte de lui conter la chute de Troie et sa vie vagabonde suspendue aux lèvres du narrateur. La reine ne peut s'empêcher de succomber, l'union s'accomplit dans une grotte

L'aube qui "pleure" est personnifiée et fait penser à "l'aube aux doigts de rose" d'Homère. La "Grâce" (vers 5) (= les 3 Grâces, filles d'Hélios, qui ont un rôle actif et bienfaisant dans le fonctionnement de la nature) fait penser à l'Amour (Eros ou Cupidon). La rose est ainsi pourvue d'un destin exceptionnel. Les rites funéraires sont un autre emprunt à l'antiquité : "obsèques" (éthymologie antique d'offrandes, dons destinés à accompagner le ou la défunte) amène l'idée de survie. Les termes "ce vase

Laurent) Thèmes dominants 1.L’amour : il entre dans la pièce sous des traits coutumiers et factices : ceux de Cupidon (réf. Roméo) L’amour vrai surgit au cours de la rencontre décisive de Roméo et Juliette et les hyperboles poétiques s’estompent sans disparaître tout à fait. 2.La violence : Tybalt est le vecteur permanent de la violence. 3.Le regard : Le dieu de l’Amour, Cupidon, a les yeux bandés. Juliette est censée donner son avis sur Pâris rien qu’en le voyant, Roméo et Juliette s’aiment

d’une instabilité amoureuse. Le thème de la mort prédomine, elle est présente partout, sous-jacente dans toutes les formes de la vie. Vie et mort ne font qu’un. La mythologie occupe une très grande place dans le cœur des auteurs baroques : Cupidon, Hercule, Thétys déesse de la mer, les sirènes… Le thème du mouvement est également largement abordé dans les textes baroques. Les connaissances de l’homme ne sont plus sûres. Les grandes découvertes du XVIème siècle ont tout remis en cause :

construit, l'amour construit quelque chose ? 2237543563_small_1 Le sujet nous invite cependant à l'analyse objectivante de ce que la réunion de deux individus -nous gardons pour notre réflexion l'amour dans ce cadre- ne relève pas du hasard ni de Cupidon... Des études -sociologiques, psychologiques, biochimiques- mais aussi des points de vue spirituels et énergétiques démontrent que le sentiment d'amour qui crée les couples n'est pas anodin. Des paramètres déterminants, souvent inconscients, entrent

quelque-chose. Les personnages sont étonnants (un aveugle, un bel enfant, une biche et ses faons, un nain et un arlequin trismégiste) Il y a un véritable jeu des oppositions : au vers 17, l'enfant symbole du renouveau et de la fraîcheur (associé à Cupidon) et l'aveugle symbole des ténèbres. Les deux sont liés par le verbe bercer qui marque une liaison indissociable entre le passé et le présent. C'est une scène de passage (aube/crépuscule, vie/mort). V.18 La biche et ses faons semblent indifférents

|Diane |Déesse de la nature et de la chasse | |Athena |Minerve |Déesse des arts | |Eros |Cupidon |Dieu de l'amour | |Hadès |Pluton |Dieu des enfers | |Helios |Sol