Cupidon

Le tableau montre plusieurs couples, des cupidons, de l’eau (un fleuve ou la mer Egée car l’île de Cythère est une île de cette mer), beaucoup de verdure, la déesse Venus sur la droite)… En réalité personne ne sait si les couples embarquent pour Cythère, débarquent sur l’île ou la quittent. Mais l’hypothèse la plus plausible serait qu’ils la quittent : l’île est un paradis pour les amoureux et possède des symboles mythologiques et érotiques (les cupidons, Venus enguirlandée…). Le tableau est

d’abords l’enlèvement des deux jeunes filles nue par les deux frères Castor et Pollux qui eux sont en habits militaires. La pose en contrapposto des personnages est inspirée de celle de Léda. La composition est complétée par deux chevaux et deux cupidons qui les tiennent par les rennes. Les personnages forment une grappe, un groupe compact, serré. Ce “bloc” de personnages rend impossible la trouvaille d'un centre car c'est un tout, il n'y a pas de parties plus importantes que d'autres. Le fond

Mars l'amant est caché sous la table et se fait aboyer par le chien. Vénus elle est nue allongée sur le lit et Vulcain, un genous sur le lit lui, soulève le drap qui dissimule le sexe de sa femme. Puis nous pouvons également voir en arrière plan Cupidon qui dort dans son berceau. Attardons nous maintenant sur la vision et l'interprétation détaillée de ce tableau par Daniel Arasse. Pour commencer, d'après Daniel Arrasse Mars se retrouve dans une position ridicule et donc rabaissée pour

guerre, avec seulement des guêtres ailées, un sabre et son caducée), puis le groupe des trois Grâces dansant, elles aussi à demi nues, simplement drapées de voiles transparents ; au centre, pieds nus dans la clairière, une Vénus triste auréolée d’un Cupidon joufflu au-dessus de sa tête, elle aussi drapée de rouge et vêtue à la mode florentine ; à droite, deux figures féminines qui sont la même femme dans deux épisodes de son histoire, et enfin, poursuivant la femme, un personnage masculin aux joues gonflées

ange qui a des ailes qui ressemblent aux jambes, des trois monstres dans l’autre tableau de Botticelli. Venus est beaucoup représenté avec un ange, parfois cupidon et dans d’autre un bébé ailé, semblable a cupidon, qui représente l’amour. Quand elle est debout venus est représenté dans la même position.  Lucas Cranach venus et cupidon 1506 http://z.about.com/d/arthistory/1/0/O/Z/lce1107_21.jpg Quand elle est allongée c’est aussi pratiquement toujours la même position 

constatons que cette parodie dénonce la société des personnes hautes-placées qui se repose sur leurs lauriers. Zeus est la caricature de Napoléon III ( rappelons que cette pièce a été écrite pendant le règne de l’empereur ). Les autres personnages comme Cupidon ou Vénus ne sont qu’une représentation de l’infériorité des femmes dans la société. Mais ces dernières critiquent l’injustice et l‘infidélité de Jupin. Cette caricature est une sorte de « crise des femmes mariées ». Cette parodie n’existe pas dans

faut le faire réellement, au sens où il doit y avoir un réel désir avec une dimension psychologique. C’est l’imagination en s’enflammant qui va pousser la passion à se développer. Il ne faut pas de « Vénus sans Cupidon », pas de relation superficielle. Vénus renvoie à l’amour charnel et Cupidon au désir qui va augmenter spirituellement l’intérêt de l’amour en augmentant la passion. Le mariage n’est pas évoqué dans ce chapitre. Il est vu à cette époque comme une institution socio économique avec l’assujettissement

Vénus ou Aphrodite. Selon la légende, elle est née, nue, de l’écume de la mer. Cette naissance est représentée par exemple dans le tableau de Sandro Botticelli, œuvre de 1485. Le dieu de l’amour est Cupidon ou Éros, fils de Vénus et de Mars. Traditionnellement, la passion amoureuse qu’inocule le Dieu Cupidon est décrite sous le nom de feux, de flammes car elle embrase l’imagination et le cœur. Enfin l’opposé du feu est l’eau ou la glace, la première éteint les flammes, la seconde compense la chaleur

allait renouveler cet Age d'Or fantasmé par les Romains de multiples scènes mythologiques et divines, en particulier celle du port du Soleil par le char d'Apollon. le dauphin et Cupidon : le dauphin posé au bas de son pied droit symbolise la bataille navale d'Actium en -31, remportée contre Marc-Antoine. l'enfant est Cupidon, dieu de l'amour, fils de Vénus, qui rappelle sa filiation avec cette déesse, fondatrice de la gens des Iulii (par Enée) Elle représente Auguste l’empereur, dans une posture

aujourd'hui devant les Dieux que je souhaite vous prendre pour épouse ma chère et tendre, je ne me vois plus vivre sans vous. Car ces jours sans vous m'ont au moins appris une chose et c'est que sans vous ma vie n'est rien, sans vous je suis Cupidon, juste Cupidon, celui qui offre l'amour du bout de ses flèches mais qui a lui même perdu son amour. J'accepterai toutes les réponses ma douce car je ne souhaite que votre bonheur et même s'il est dans les bras d'un autre je vous laisserai partir car tout