Currency

II. Les conflits théoriques sur les missions des banques centrales A. Currency principle VS Banking principle Le premier grand conflit sur la bonne gestion de la monnaie est apparu très tôt dans l’histoire de l’économie. Ce conflit portait sur la manière de créer de la monnaie. Deux grandes écoles se sont vues s’opposer : la banking school et la currency school. La currency school était une école de pensée économique défendue par un groupe d’économistes britanniques au début du XIXème siècle

: dans les années 1810 naît la Currency School, une école de pensée économique soutenue par des auteurs britanniques. Selon le currency principle, l'inflation dérive en grande partie de l'émission trop importante de billets de banque. Dans cette optique, l'émission de ces billets de banque par une banque centrale doit être tout au plus équivalente à la quantité d'or qu'elle détient, afin d'assurer une stabilité de la parité dans un régime d'étalon or. La Currency school remporte le débat politique

political parties 2) The views of the English citizen III/ The crisis 1) The pounds sterling 2)The euro IV/ Interview of Mr Anderson -Conclusion I/History of these currencies 1) The pound sterling Currency Name :Pound Sterling Currency Symbol :£ Denominations : Coins : 1 penny or 1/100 pound 2 pence or 1/50 pound 5 pence or 1/20 pound 10 pence or 1/10 pound 20 pence or 1/5 pound 50 pence or 1/2 pound 1 pound 2 pounds Banknotes : 5 pounds 10 pounds

le monde ne va pas rechercher son dépôt en même temps, c’est une évolution, les billets sont convertibles. (Banque de Stockholm 1ère banque à faire ce principe 1700) Ces billets ont donné lieu à plusieurs débats : currency school et la banking school Avec notamment Ricardo (currency school) qui était opposé aux billets convertibles dangereux pour la stabilité car on pourrait émettre trop de billet et donc créer de l’inflation (dangereux pour le commerce international) Pour lui il faut limiter

sur la définition de la monnaie. Les économistes de l’école de la Circulation (Currency school) répondent que la monnaie est la marchandise naturelle qui renferme la plus grande valeur connue. Au contraire, l’école de la Banque (Banking school) répond que la monnaie n’est qu’une simple convention sociale qu’un signe de reconnaissance. A. Une marchandise spécifique : le point de vue de l’Ecole de la circulation (Currency School) Principaux représentants : David RICARDO (1722-1823) Charles RIST

crédit et Banque de France. de John Law en 1720, justifièrent la nécessité de limiter la création de monnaie fiduciaire. Dès lors, celle-ci fut dans un premier temps dépendante de la quantité d’or que possédait la Banque centrale (principe de la currency school), puis s’en affranchit (principe de la banking school). Les billets deviennent alors une véritable monnaie émise en contrepartie de crédits à l’économie. Ainsi, de nos jours, la valeur des billets de banque ne repose plus que sur la confiance

qu’en ce qui concerne leurs conclusions. I- Tout les oppose mais outils similaires A- Tt les oppose en apparence 1. Ricardo agent de change à la bourse pdt guerres napoléoniennes, = financier. Ce fit connaitre à partir de 1810 (bullioniste, currency school et rente foncière) pr plusieurs ouvrage. Th de l’éco politique en 1817. Fortune faite, se retire des affaires et en 1819 devient membre de la chambre des communes où il milita en faveur de l’adoption du programme libéral. En particulier pr

il est fait, mais à la confiance (fides en latin) dont jouit son émetteur. Cela pose le problème de la convertibilité des billets. Il y a eu à ce sujet une polémique qui est restée célèbre entre 2 courants d’économistes : . Ricardo adepte du currency principle : les billets ne doivent être qu’un substitut de la monnaie métallique, leur émission ne doit pas être libre, elle doit correspondre aux variations du stock de métal que possède la Banque Centrale. Le nombre de billets en circulation dépend

.............. 8   IV.   Monnaie  et  crédit  :  une  distinction  fondamentale,  mais  délicate ...................................... 10   La  dimension  historique  :  la  controverse  currency  school  /  banking  school  au  XIX  siècle ............ 10   Le  rôle  des  banques  :  I.  FISHER  (1934)  /  R.  HAWTREY  (1919) ......................................................

assignats). Il suffisait de se présenter à l'un des guichets de la Banque de France pour obtenir le change du billet en monnaie d'or ou d'argent. Deux écoles se sont affrontées au début du 19ème siècle en Grande-Bretagne : -les partisans de la "Currency school" comme Ricardo, pensent que l'émission de billets de banque doit être assujettie à l'encaisse métallique des banques car une demande généralisée de conversion des avoirs en monnaie métallique risquerait d'entrainer une banqueroute générale