Currency

la hausse des prix, qui connus des périodes de forte accélération durant les deux guerres mondiales et les années 1947-1980. Dans la première moitié du 19ème siècle, en Grande-Bretagne, un débat fameux eut lieu entre la " banking school " et la " currency school ". Pour les tenants du " banking principle ", la monnaie est un moyen de paiement et donc, avant tout, un instrument de crédit. La création monétaire est donc suscitée par les besoins de l'économie, elle doit être souple et s’adapter auxdits

débattue : Les deux thèses en présence étaient celle de la « currency scholl » et celle de la « banking school » qui s’opposé à l’époque. Ricardo va jouer un grand rôle dans ce débat. En effet, cette distinction entre ces deux écoles va toujours exister, presque jusqu’à aujourd’hui. Dans le domaine monétaire on va pouvoir tout classer en fonction de ces deux écoles. L'opposition classique/keynésien n'existe pas en économie monétaire. Le currency school : avec comme leader Ricardo : ils ont peur de l’émission

système de lettre de change puis de certificat d’or -les billets de banques sont alors de véritables innovations qui vont remplacer l’or et les certificats d’or de plus en plus : monnaie fiduciaire (confiance) -réglementation : l’opposition entre la currency school et la bancking school 2) Une monnaie scripturale, autrement dit une monnaie bancaire. -création années 1930 : système d’échange d’écriture, représentatif de la monnaie qui n’est alors plus matérielle. -le chèque, le virement, les différentes

gère la monnaie. Cette évolution ne s’est pas faite sans difficultés, la controverse la plus célèbre est celle entre la Banking School et la Currency School. B. La controverse entre la banking school et la currency school (la controverse bullioniste) 1820 en GB : Conflit entre la Banking School et la Currency School (David Ricardo). Selon la Currency School, l’émission de billets par la banque d’Angleterre doit être strictement réglementé et correspondre à l’or que la banque détient en réserve

l’activité. L’investissement par le crédit est un pari sur le futur c’est à dire que l’on prête de l’argent à une personne qui va générer de l’activité et va pouvoir rembourser le crédit : création monétaire ex nihilo ( à partir de rien). Pour la currency school monnaie est guidée par la quantité de métaux en circulation. Il faut avoir des métaux avant la création d’activité. L’école bullioniste pensait que la richesse d’une nation venait de la quantité d’or que l’on possédait. ( les espagnoles

contrairement GB  argent acheté en GB (avec cours déprécié) frappé à Paris pour être échangé contre or qui est transporté GB et échangé contre argent…↗réserves en argent et ↘ or. Pays Union latine abandonne frappe libre argent en 1874. 3. Victoire de « currency principle » « French wars » Bank restiction Act 1797 : valeurs des billets ↘ à cause inflation. 1810, Chambres des communes ask for rapport « Bullion Committee » sur cause inflation débat : -Anti-bullionistes (Tooke et Fullarton) : création monnaie

..............................................4 1. Controverse sur la nature de la monnaie........................................................................5 A – Une marchandise spécifique : le point de vue de l'Ecole de la Circulation (Currency School).........................................................................................................5 B – La Monnaie « Signe » ou simple convention sociale . La thèse de l'Ecole de la Banque (Banking School)........................

Pour toute augmentation de la masse monétaire, les prix augmentent car la vitesse de circulation est constante et le volume des transaction est tjr a son maximum a cause du plein emploi des facteurs de production Ricardo reprend cette théorie: Currency School: d’accord avec Say: ce qui compte c’est les prix relatifs: la quantité de monnaie crée dépend de la quantité de métaux précieux trouvés. Si les banques s’obstinent à faire plus de monnaie que de dépôts de métaux: inflation. Cependant cette

Vont donc émettre des billets à découvert à l’occasion de leurs opérations de crédit. Banques commencent à prendre un risque d’illiquidité. Au début du XIXè siècle, 2 thèses s’affrontent à propose des conditions des émissions de billets. « currency school » = école de la circulation soucieux d’éviter une émission excessive de billets qui engendrait inflation, les partisans de ce principe dont Ricardo soutiennent que le montant des billets en circulation doit être la stricte contrepartie de

L’émission de billets a opposé au 19ème siècle deux écoles : la « currency school » et la «banking school»: • la « currency school » conçoit les billets de banque comme un substitut au métal précieux: la banque centrale ne peut émettre de billets sans posséder leur contrepartie en or; • la «banking school» accepte que le billet soit émis sans une stricte contrepartie en or. La Grande-Bretagne adhère au 19ème siècle au currency principle. La France au contraire, adhère au banking principle