Cycle de Kondratiev

est pris, comme l'écrit joliment Préel, "au temps des amours". C'est vers cet âge que l'on est le plus réceptif aux influences du temps et où s'opèrent les choix de vie. Sur une matrice on peut reporter sur les deux axes les périodes et les âges du cycle de la vie (enfance, jeunesse -temps de l'apprentissagenidification et maturité -temps de pouvoir- la retraite et la vieillesse- temps du déclin). En se déplaçant sur la diagonale, on peut voir les générations parcourir leur temps, les unes à côté des

Le pouvoir d'achat des ménages aurait tendance à diminuer. En réalité, ce raisonnement est faux puisque si on raisonne sur le long terme on s'aperçoit que l'économie connait des cycles : Le cycle de Kondratiev se caractérise par une phase d'extension suivit d'une phase de régression. Dans la phase A de ce cycle il y a plusieurs phénomènes : La croissance forte, l'inflation forte et la progression de la consommation. La phase b est l'opposé. On remarque que l'inflation et la hausse de la consommation

permet de relire l’histoire économique des deux derniers siècles. Ce constat est-il encore valable à l’échelle d’un secteur particulier comme celui de la musique, dont les phases d’évolution ne sont pas nécessairement reliées aux grandes phases du cycle économique ? Cette question est d’autant plus intéressante que ce secteur, qui a rapidement rencontré un « marché de masse », a connu, en à peine plus d’un siècle, de nombreuses mutations industrielles et que ces mutations sont à la fois technologiques

(favorables à la déflation). Les pouvoirs publics ont une préférence pour l'inflation. En effet la déflation conduit et passe souvent par des faillites en série. La déflation correspond souvent à une phase de récession de l'économie (phase B du cycle de Kondratiev) caractérisée par une inadéquation de la production par rapport aux besoins réels et un défaut d'investissement, ce qui induit logiquement une baisse de la production et des salaires. La déflation est donc souvent associée à une baisse du pouvoir

augmente, c'est-à-dire lorsque la croissance du PIB est supérieure à la croissance de la population. À court terme, les économistes utilisent plutôt le terme d'« expansion », qui s'oppose à « récession », et qui indique une phase de croissance dans un cycle économique. La croissance potentielle estime l'écart entre la croissance mesurée et celle qui serait obtenue avec une pleine utilisation de tous les facteurs de production ; cet écart est minimal au plus fort d'une expansion. Au sens strict, la

Fabrication d’un bien nouveau. 2. Introduction d’une méthode de production nouvelle. 3. Ouverture d’un débouché nouveau. 4. Conquête d’une source nouvelle de matières premières. 5. Réalisation d’une nouvelle organisation. 3- le cycle de vie d’une innovation : Le cycle de vie d’une innovation connaît 5 phases : • phase 1 : apparition ou émergence – ventes faibles – profits faibles – coûts élevés • phase 2 : croissance – hausse des profits • phase 3 : maturité – baisse des prix – économies d’échelle

croissance ralentie où l'effondrement de la production se conjugue à une brutale chute des prix. Le marché du travail fléchit (23 millions de chômeurs aux EtatsUnis en 1932) et les échanges commerciaux diminuent. Les économistes Juglar (cycle court de 7 à 11ans) et Kondratiev (cycle de 30 à 50 ans) ont ainsi démontré que l’économie connaissait des hauts et des bas : des phases de croissance et de dépression. Crise Dépression Croissance Reprise - La nouveauté est dans le fait que les grandes crises économiques

croissance ralentie où l'effondrement de la production se conjugue à une brutale chute des prix. Le marché du travail fléchit (23 millions de chômeurs aux EtatsUnis en 1932) et les échanges commerciaux diminuent. Les économistes Juglar (cycle court de 7 à 11ans) et Kondratiev (cycle de 30 à 50 ans) ont ainsi démontré que l’économie connaissait des hauts et des bas : des phases de croissance et de dépression. Crise Dépression Croissance Reprise - La nouveauté est dans le fait que les grandes crises économiques

L'analyse théorique de la croissance la plus courante est celle des cycles économiques JUGLAR (1819 – 1905) a mis en évidence des cycles économiques courts, de 6 à 11 ans. KONDRATIEV (1892 – 1930) a mis en évidence des cycles très longs, où alternent des phases A de 25-30 ans et des phases B de même durée. Chaque cycle présente un point de retournement conjoncturel qui forme la crise : rupture Walt Whitman ROSTOW dans Les 5 étapes de la croissance montre que celle-ci n'est pas linéaire sur

toute l'activité économique, donc l'or apparait comme base d'une nouvelle croissance. C'est le cas en 1848 avec les découvertes de gisements d'or en Californie avec le golf rush mais aussi en Australie. Cette découverte provoque le deuxième Kondratiev (cycle long) en 1850 et 1896. Cette situation de l'arrivée d'or conduit à l'analyse quantitativiste monétaire des fluctuations, celle de l'allemand G.Cassel en 1935. Il estime que les fluctuations des prix sont liées à la variation de la quantité relative