Cygne

deux personnages. L’homme est couché et la femme est assise près de lui et elle le touche en regardant le ciel. Le long de la verge, il y a des pierres avec quelque chose de rouge dessus. Des lignes jaunes sont dans le haut de la peinture. Il y a un cygne en haut à gauche et des fleurs poussent près de la scène. La couverture cache une partie de la face de l’homme. Des ossements et des outils sont près de la femme. Il y a une abeille sous les lignes jaunes. Les lignes jaunes sont les rayons du

le Temps est aussi un compte-à-rebours avant la Mort « Trois mille six cent fois par heure, la Seconde chuchote : « Souviens-toi (que tu es mortel) ! » mais encore « Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide ». Enfin, dans Le cygne , le Temps a détruit le vieux Paris, Baudelaire est nostalgique « Le vieux Paris n’est plus, la forme d’une ville change plus vite, hélas ! que le cœur d’un mortel ». Le temps conduit aussi l'Homme au Mal, au péché

amour pour elle perdurera pour toujours. Il utilise dans la dernière strophe « cygnes amoureux », le cygne est un oiseau aux multiples symboles. Il représente la pureté dû a sa couleur mais aussi l’amour et la fidélité. En effet, ce magnifique oiseau reste avec le même partenaire souvent pour la vie. Mais cela renvoie aussi a la mort aussi, « le chant du cygne ». Au milieu du XVIIIe, « le chant du cygne » désigne la plus belle et dernière chose réalisée par quelqu’un avant de mourir. En art, il s’agit

grec). Le miroir de Léda et du cygne fut l’un des rares objets de toilette retrouvés dans le trésor. Poli sur l’une de ses faces de manière à réfléchir l’image du visage, ce miroir d’argent est monté sur un manche en balustre terminé par deux têtes d’oiseau au long bec et fixé au disque par une feuille stylisée. Le décor représente la rencontre entre Léda et Jupiter, transformé en cygne. Le dieu, épris de la jeune femme, s’était métamorphosé e cygne afin de l’approcher et d’assouvir sa passion

Nouvelle écrite par un étudiant de niveau C1, 1er semestre IRFFLE 2014 Un conte de la mare aux canards De l’obscurité de l’île sortit le roi le cygne qui se rendit devant ses sujets. À la lente allure réfléchie, cette forme blanche était suivie de deux autres, la reine et le prince. Deux coqs ornés le flanquaient ; le héron s’attardait, le bec dans un livre, les lunettes devant des yeux pénétrants. Couronnée et capée, cette arrivée majestueuse évoqua le silence du vol entier rassemblé sur l’eau

thématique de la couleur blanche faisant la liaison, Théophile évoque allusivement la transformation de Cycnos en cygne, double transformation du reste : inconsolable après la mort de Phaéton, Cycnos se métamorphose en cygne blanc d’abord, errant, avec « ses voiles blanches » à la recherche de « l’objet de sa plainte », puis il devient noir ensuite (on sait que Chantilly s’enorgueillissait de son cygne noir), sous la brûlure des « vieux désirs » inassouvis (son amour pour Phaéton) « Que conserve encore son

poètes maudits, c'est-àdire non compris par les gens de son époque. L'Albatros traduit chez Baudelaire la conscience d'être différent des autres. Ce poème n'est pas sans rappeler le poème « Le Cygne », également issu des Fleurs du Mal, dans lequel un cygne est embourbé dans une rue de Paris. LXXXIX - Le Cygne A Victor Hugo I Andromaque, je pense à vous ! Ce petit fleuve, Pauvre et triste miroir où jadis resplendit L'immense majesté de vos douleurs de veuve, Ce Simoïs menteur qui par vos pleurs grandit

savante et recherchée A- Références mythologiques - La femme est comparée à un personnage mythologique : "fille d'un Cygne" (vers 10) -> cette périphrase représente Hélène comme la fille de Zeus (Zeus eu de nombreuses liaisons avec des femmes, et notamment avec une femme représentée en cygne). L'idée du signe est annoncée avec "main blanche" au début du vers 10 -> blancheur du cygne - Référence à Zeus avec "éclat de foudre" au vers 6 (Zeus, le roi des dieux, est représenté avec un éclair dans la

arbalète pour sa fête, il sort alors muni d’elle dans les environs du château. Le prince arrive près d’un lac, quand soudain il voit un cygne volé au loin, il s’apprête à tirer une de ses flèches, quand ce cygne se révèle être une ravissante jeune femme. Elle lui raconte sa triste histoire : c’est une princesse, elle s’appelle Odette et à été transformée en cygne – ainsi que d’autres jeunes filles – par le méchant Rothbart. Elle ne sera sauvée du maléfice que par celui qui lui donnera son amour

reconnaître dans des choses extérieures à soi, donc à les considérer comme un miroir. Ce miroir, le génie de Baudelaire a su le suggérer sans le dire dans ses poèmes : dans l’Albatros, par la comparaison finale « le poète est semblable » ; dans le Cygne, par les résonnances autobiographiques des « orphelins séchant comme des fleurs » et par la métaphore du manque d’eau, qui est celle du passé, concernant à la fois le poète regrettant le « vert paradis des amours enfantines », et l’humanité abandonnée