Cynisme Stoicisme

compassion. Le désenchantement cynique Le réalisme est toujours là, mais il a changé d'objectif. Il s'empare d'une méditation désabusée sur la nature humaine. Un « Mais » ( « qui ne me connaissent plus ») tonitruant amorce un passage au cynisme atroce. La douleur engendrée par les constatations se traduit en phrases chaotiques, surtout vers la fin, avec des vers hachés de points virgule, d'exclamations, d'invocations. On arrive au paradoxe que ce condamné à mort souhaite cette mort annoncée

condamnés à attendre cent ans au bord du Styx. Enfers : c'est le monde des morts, aussi bien les bons que les méchants. Antisthène (v. 444 av. J.-C.-v. 371 av. J.-C.) : philosophe grec, fondateur de l'école de philosophie connue sous le nom de cynisme. Après avoir suivi les leçons du sophiste Gorgias, qui influencera sa dialectique (négation de la possibilité de conceptualisation, rejet de l'idée de connaissance scientifique), il devient disciple de Socrate, dont il retient le principe moral :

l’auteur porte un regard adulte sur ce souvenir. Plus nous avançons dans le texte, plus Albert Cohen se laisse gagner par les émotions et nous transmet son amour maternel, son goût amer de regret du temps passé. Il aborde d’abord ce souvenir avec cynisme puis nous découvrons son admiration pour sa mère, l’importance de ces dimanches, ce sont des souvenirs inestimables.

bonnes décisions pour moi d’abord, pour mon entourage ensuite et enfin pour la société dans laquelle je vis. Cette démarche en tout cas me révèle le monde avec un regard moins cynique que je ne pourrais l’avoir (et je sais pourtant combien ce cynisme est toujours proche de moi) et m’amène à agir différemment au quotidien que si une approche purement « positiviste et désenchantée » du monde était ma seule référence. [Que reste-t-il alors des autres « ingrédients de ce curieux cocktail » qui

Diogène de Sinope Sa vie : Diogène de Sinope, en grec ancien Διογένης / Diogénês (Sinope v. 413 – Corinthe, v. 327 av. J.-C.), aussi appelé Diogène le Cynique, est un philosophe grec de l'Antiquité et le plus célèbre représentant de l'école cynique. On prétend, qu'ayant consulté l'oracle d'Apollon pour obtenir un conseil sur sa carrière future il obtint cette réponse surprenante : «Falsifier la monnaie». Diogène suivit ce conseil à la lettre. Voilà notre jeune ambitieux entraînant Hicécias, son

venue de ses deux frères en Sicile pour trouver Dom Juan et le punir de l'affront 'un couvent afin de l'épouser, puis l'a abandonnée. Ses conquêtes lui valent certaines inimitiés et certains duels auxquels il ne se dérobe pas. Il affiche un certain cynisme dans les relations avec ses proches, notamment avec son père (Dom Louis) et remet en cause les conditions chrétiennes mais également sociales, son libertinage symbolisant son indépendance. Il aime les défis, jusqu'à celui de la fin : le repas avec

Français Commentaire sur Antigone De page 71 : « Père, les dieux ont doté les humain de la raison […] » à page 73 «Appartient-il à l’opinion publique […] ». Ce passage d’Antigone de Sophocle – un dialogue entre roi Créon et son fils – est cruciale pour le développement des caractères et un des thèmes fondamentale de l’auteur : la critique de l’absolutisme. Après avoir lu l’argument opposant Créon a Antigone, nous avons appris que le roi possède la caractéristique primordiale du despote : il

vous les uns les autres » intention blasphématoire dans l’allure frénétique de ce néo-messie de comptoir, un Antéchrist. • Dandysme et décadentisme : mépris pour l’époque et pour la démocratie, aristocratisme et provocation, spiritualisme et stoïcisme. II Pour établir le Genre pamphlétaire : avec Marc Angenot, La parole pamphlétaire , 1982  : Enonciation : L’incipit des pamphlets : dés la 1ère phrase l’énonciateur s’approprie l’énoncé en même temps qu’il intime à l’allocutaire d’avoir à

protéger son camp ( faiblesse qui peut aboutir à l’évanouissement. Elle n’a pas d’autre défense que de dénoncer la malhonnêteté ( les deux personnages sont en position délicate et ne peuvent que mentir. BILAN : Les corrupteurs sont marqués par le cynisme et la méchanceté du Comte et de son espion, pourtant inefficace. Le camp de Figaro est obligé de mentir, de déguiser ses sentiments dans ce monde de mensonges qu’est le château du Comte. III) Dénonciation du pouvoir du seigneur à l’aide du comique

Satire Ménippée, ouvrage fameux de la fin du XVIe siècle, ainsi appelé par imitation de l'auteur latin Varron, qui avait donné le nom de Ménippées à des satires où il avait entremêlé la prose et les vers; non que Ménippe, disciple de Diogène, eût composé ni vers ni satires, mais parce qu'il s'était fait une réputation par son humeur moqueuse et par l'indépendance cynique de son langage. Deux siècles après Varron, Lucien employa encore le personnage de Ménippe comme type du railleur. A l'époque de