Cytokine

cellule squelettique : chondroblaste/ ostéoblaste ◊ cellule musculaire : myoblaste * Au repos = fibrocyte * Impliqué dans le métabolisme du cholestérol et des lipoprotéines grâce aux récepteurs LDL. * Défense anti-infectieuse par sécrétion de cytokine comme interféron β | * Les fibres de collagènes : * Non anastomosées. * Calibre : 20-100 nm * Striation transversale : 64-67nm * Longueur indéterminé * Coloré en rose par l’éosine (de même que le cytoplasme) * Hématine-éosine-safran

un des médicaments utilisés dans le contrôle des réactions de rejet, qui agit comme anti-inflammatoire et qui empêche l’activation des macrophages et la présentation d’antigène. Cet immunosuppresseur agit en provoquant l’inhibition des gènes de cytokines comme IL-2. Cette diminution d’IL-2, un signal de croissance, est à la base d’une baisse de prolifération des lymphocytes T (JANEWAY et TRAVERS. 2008, p.659). Enfin, pour quantifier l’activité des déshydrogénase mitochondriales, qui reflète l’activité

Présentation du materiel d’étude p 2-1- Physiologie de la peau p 2-2- Les composés résorcinoliques p 2-3- L’inflammation cutanée lors d’un stress p 2-3-1- NF-κB : interrupteur moléculaire de l’inflammation p 2-3-2- Les cytokines : Médiateurs inflammatoires p 2-3-1-1- Généralités p 2-3-1-2- L’interleukine IL-1α p 2-3-1-3- La chemokine IL-8 p 2-3-1-4-Tumor Necrosis Factor alpha : TNF α p III- Objectifs du stage IV- Matèriels et méthodes p 4-1- Culture cellulaire

avec le TCR d’un lymphocyte T peut déclencher son activation et la production de cytokines. •Un super antigène se lie au lymphocyte T quel qu’il soit sans être reconnu par le TCR et l’active. •L’antigène va ainsi stimuler environ 1/104 ou 7 lymphocytes avec une production faible de cytokines •Un super antigène va stimuler au mois 1000 lymphocytes de plus avec une production massive de cytokines •Les cytokines libérées en grande quantité vont mettre en danger la vie du patient. • certaines

trois signaux nécessaires à l’activation d’un LT naïf. Le signal 1 correspond à l’interaction CMH / peptide et TCR. Le signal 2 consiste en l’interaction entre les molécules de costimulation et leur(s) récepteur(s). Le signal 3 est donné par les cytokines environnantes. Adapté de Gutcher et Becher, 2007. Les lymphocytes T effecteurs 1-Les lymphocytes T αβ 1.1 Différenciation des lymphocytes T naïfs en lymphocytes T effecteurs 1.2 Rôle des sous-populations de lymphocytes T effecteurs 1.2.a

lymphocytes T-CD4) amplifient la réponse immunitaire en régulant l’activité des autres cellules du système immunitaire (y compris les lymphocytes B et les macrophages). L’un des mécanismes d’action des lymphocytes est la sécrétion d’une grande variété de cytokines. Les lymphocytes T représentent environ 70 p. 100 de tous les lymphocytes. Les lymphocytes T et B ont la capacité de se « souvenir », chimiquement, d’une exposition antérieure à un antigène spécifique. En effet, au cours d’une agression antigénique

(PRRs) 1. Molécules sécrétées circulant (sang et lymphe) 2. Récepteurs de surface sur phagocytes (mΦ) qui se lient au pathogène et l'engouffrent 3. Récepteurs de surface qui se lient au pathogène signalant la libération de molécules effectrices, les cytokines (lymphokines, chémokines, interférons, et tumor necrosis factor) 1. Les PRRs sécrétés Ex une protéine circulante qui se lie au mannose, un monosaccharide de surface chez de nombreux pathogènes. Cette interaction active la cascade du complément:

régurgitation des débris. Outre ce rôle de bouffeur, les macrophages permettent de défendre également de par leurs enzymes, cytokines. Autres médiateurs de l’inflammation : ces prostaglandines, cytokines, etc, aident à la réaction inflammatoire locale, aussi immunité adaptative, chimiotactisme. C’est souvent par les cytokines que la réaction inflammatoire peut dégénérer : toutes ces cytokines qui vont aggraver la vasodilatation peuvent avoir des conséquences systémiques : ces manifestations systémiques, c’est

soit globalement. Le traitement par la cytokine [2] est l’une des techniques les plus efficaces et les plus utilisées dans la thérapie du cancer. La cytokine est une protéine qui sert d’intermédiaire physiologique des communications intercellulaires aboutissant à l’autorégulation de l’organisme et donc a stimuler le système immunitaire dans son ensemble. Par voie générale, deux types de cancer sont traités afin de déterminer l’efficacité de la cytokine dans l’immunothérapie : le cancer du rein

liaison incomplète avec les gènes HLA DR 4 mais uniquement pour certains sous-types de DR 4 (DRB1 0401, 0404) et DR 1 (DRB1 0101), présents respectivement dans 60 et 38 % des cas). Contribution positive ou négative du polymorphisme des gènes des cytokines. Il faut noter que la concordance pour la PR chez des sœurs jumelles homozygotes n’est que de 17.5 %; - environnementaux: on suspecte sans pouvoir l’affirmer, l’intervention d'antigènes infectieux bactériens (protéines de choc thermique de mycobactéries)