Céline Humour Noir

Basse-du-Rempart, la honte du boulevard de ce temps ! Et l’élégant, aux bottes vernies, moins brave que la femme, hésita avant d’entrer là-dedans... Mais ce ne fut guère qu’une seconde... La robe d’or, perdue un instant dans les ténèbres de ce trou noir, après avoir dépassé l’unique réverbère qui les tatouait d’un point lumineux, reluisit au loin, et il s’élança pour la rejoindre. Il n’eut pas grand-peine : elle l’attendait, º ÙÒ Ò ÒÒ Ñ ×ÙÖ ÐÓÒ Ù ÙÖ¸ ÙØ Ð × ×ÙÖØÓÙØ ÔÓÙÖ Ð × ØÓ ×º º Ô Ò Ð Ö Ú Ò ÙÖ

intime, les romans inspirés par la vie de l'auteur et que l'on qualifie de romans autobiographiques ou romans autobiographies comme ~L'Homme foudroyé de Cendrars, A la Recherche du temps perdu de Proust, Mort à crédit ou Voyage au bout de la nuit de Céline. ~> Chronique, journal intime, narration, temps ~- Lejeune Ph., ~L'Autobiographie en France, 1971, Paris, A. Colin; Le Pacte autobiographique, 1975, Paris, Seuil. ~Autonymie. A la différence des autres relations lexicales, l'a~ntonymie

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sérieux, ont déclaré ne pas comprendre  » (Barthes, Critiques, 1959). De fait, cette fantaisie n’est pas gratuite : le comique et le décalage servent une réflexion plus large que chaque média nous livre avec ses propres moyens. Entre sérieux et humour, le roman comme le film semblent des remises en question du langage traditionnel et de ses habitudes, des formes académiques, roman ou film, de nombreux préjugés… Nous nous demanderons donc dans quelle mesure le roman de Queneau et le film de Malle

description du réel. Parmi eux, de nombreux auteurs, marqués par la violence de la première moitié du xx e siècle, prennent position par rapport à l’insupportable (la guerre, le nazisme, toutes les formes de totalitarisme) dans des romans engagés : Céline, avec Voyage au bout de la nuit, Malraux, dans L’Espoir, Camus avec La Peste, etc. Dans les années 1950, le Nouveau roman refuse la psychologie des personnages et toute subjectivité ; les auteurs de ce courant (Robbe-Grillet, Duras, Sarraute) ne livrent

réaliste », si elles sont hantées par le même souci d’exprimer la réalité des peuples noirs, cela conduit à « programmer » la littérature africaine qui devient dénonciation, contestation et résistance en vue de restituer sa dignité au continent noir. A cette littérature succèdera à l’orée des années 1990 une génération d’écrivains revendiquant de nouvelles préoccupations. Cette nouvelle 10 Voir sur ce point Adrien Huannou, « Toussaint Louverture le Béninois », Michel Beniamino et Arielle

le lecteur. L’ironie peut se manifester par une évidence qui fait ressortir l’impropriété de la déclaration. Ex. : « On ne peut se mettre dans l’esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir. » (Montesquieu, L’Esprit des lois.) L’ironie peut également naître de la juxtaposition des deux sens (implicite et explicite), comme dans cette célèbre description de la guerre par Voltaire dans Candide : « Rien n’était si beau, si leste, si brillant

. . . . . . . . . . . . masques . . . . . . . . . . . . nous . . . . . . .fi. xent, . . . . . . .hilares . . . . . . . . et . . . bouche . . . . . . . . . . béante, . . . . . . . . . .ouverte . . . . . . . . . .sur .... un . . . . trou . . . . . . noir . . . . . .dépourvu . . . . . . . . . . . . de . . . .dents. . . . . . . . Leurs . . . . . . . .yeux, . . . . . . fi . .xes . . . . et . . . égarés, . . . . . . . . . tournent ............... dangereusement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Grâce à ce dernier, il fait aussi la rencontre de Paul Valéry, qui sera ensuite pour lui un lecteur et un critique assidu. De sa rencontre avec Vaché dont nous parlons dans le paragraphe suivant, Breton retiendra le concept d’« umour », proche de l’« humour de l’absurde » d’un Ionesco et d’un Beckett ; c’était pour Breton l’« esprit nouveau » qu’il avait voulu voir dans la volonté d’être voyant de Rimbaud ou dans le modernisme d’Apollinaire. Le temps de guerre Le parcours militaire En 1914, en marge

: peu de grosses têtes d’affiche mais pas de quoi engendrer pour autant la morosité. De gauche à droite : Julien Simon, auteur du spectacle « La vie comme la vie », qui sera joué le 10 février; Pierre-Yves Conan, adjoint en charge de la culture ; Céline Larrière et Armelle Richepin, du service culturel de la ville. « Culture de proximité ». « Une politique culturelle de proximité ». Ainsi, PierreYves Conan, adjoint à la culture, définit-il la saison 2010-2011, loin du star-system et des cachets