Céline Humour Noir

marque son désir de caractériser le destinataire de son poème. C’est un discours à l’endroit de son frère noir, vu les occurrences du pronom de la première personne « … » ainsi que l’utilisation du présent de l’indicatif. Cependant il l’apostrophe au moyen de l’anaphore « … » dont la troisième reprise introduit une qualification péjorative « … » qui met l’accent sur la misère de ce frère noir. Cela se traduit surtout à travers le portrait caricatural qu’il fait de ce dernier. Il brosse ainsi la naïveté

De plus, sur mon lieu de stage, une collègue m’a conseillé ce livre et en faisant des recherches sur internet, j’ai remarqué que l’auteur avait été très critiqué sur ce livre. En effet, l’humour noir et le sarcasme de Jean-Louis fournier sont rares et ne sont pas acceptés par tout le monde. Son ex femme, Madame Brugnet, la mère des enfants a répondu en créant un blog, en accusant l’auteur d’avoir donné l’image de boulet à leurs enfants. Même certains

acceptat° code noir. -->Derrière cette narrat° se cache l'ironie Voltairienne, que nous allons étudier. II-L'ironie, procédé Voltairien 1)Choix des mots * L.2 («habit»): euphémisme (juste «pantalon») *Choix handicap («jambe gauche/main droite»): équilibre conservé. *L.5-7: distors° entre quest° candide: pathétiq., & réponse: froide.  2)Paroles de l'esclave Dénonciat° indirecte ds paroles: *L.15-16:distors° cruauté mutilat°/plaisir futile sucrerie. *L.29: conclus° («Ors»): humour noir, rappel. dure

Commentaire de « Voyage au bout de la nuit » Céline, 1932 Intro : Les évènements de la première moitié du XXe siècle, vont faire naitre pour chacun un désir de paix universelle, et va plonger la France dans un état, dit, d’euphorie la plus totale qui se fera appelée les « années folles » d’entre-deux guerres. Cette époque déclenchera au même moment un renouveau littéraire français qui touchera tous les genres et permettra notamment à bon nombre d’auteurs de voir le jour et plus particulièrement

Je suis venu, j’ai lu, je suis foutu.... « Voyage au bout de la nuit » de Louis-Ferdinand Céline a tout pour déplaire. En apparence. Que de fourberies, menteries, lâchetés, vomissures, raclures et pire encore. Nous voilà plongés dans l’univers de notre Ferdinand dans lequel il navigue tant bien que mal, plutôt mal que bien. Pour la première fois, Louis-Ferdinand se fait appeler Bardamu. Voici donc notre héros, celui qui nous guidera dans son aventure : Ferdinand Bardamu, chair à canon de

idéologies : A- Un réquisitoire ironique contre les idées B- Voix explosée mais vraie III/ Une vision pessimiste transcendée par l’humour A- La noirceur B- La dérision C-mort ultime but glorieux Intro : La nouveauté de Céline tient dans son écriture : un langage chargé d’émotions immédiates, vivant qui a redonné au roman français un souffle véhément et qui tient aussi de la présence débordante de son narrateur. Celui de Voyage au bout de la nuit, Bardamu présente de façon

largement inspiré de la vie de Céline, (Ferdinand Bardamu est l’alter ego de Céline), l’auteur s’inspire dans son expérience dans la médecine, et de son expérience de la première guerre mondiale, qui lui a ouvert les yeux concernant l’absurdité de la nature humaine. Céline révèle ainsi dans son roman l’absurdité du monde et de la guerre, qu’il ira jusqu’à qualifier ‘d’abattoir international en folie’. Dès le démarrage, le ton est ironique voire sarcastique, l’humour y est noir et cynique, plein de haine

Commentaire Composé : « Voyage au bout de la nuit », Céline. Intro : Voyage au bout de la nuit, publié en 1932, est le premier roman de Céline, qui est un auteur Français connu pour son style étonnant, par l’utilisation du langage « parlé » et la violence de ses récits. Le Roman « Voyage au bout de la nuit », s’inspire de l’expérience personnelle de Céline pendant la Première Guerre Mondiale, à travers son personnage principal : Ferdinand Bardamu. Ce récit est donc une autobiographie dans laquelle

le Nigérian Amos Tutuola, génial auteur de L'ivrogne dans la brousse (Gallimard, 1953). L’ influence de l’ écrivain Louis – Ferdinand Céline est également très marquée dans Verre cassé , par exemple l’ incipit est assez trivial et commence par « disons que le patron du bar … » , cette phrase ressemble de près au début de Voyage au bout de la nuit de Céline qui ,quant à lui , s’ ouvre par la phrase «  ça a débuté comme ça » .Il y a également un désir mimétique entre Alain Mabanckou et Patrice

scène de guerre narrée selon point de vue interne Céline campe un personnage-narrateur, Bardamu, plongé au cœur de la guerre des tranchées, comme en témoigne l’utilisation massive du « je » et du « nous » désignant la troupe française à laquelle Bardamu appartient ( « tout autour de nous »). Il s’agit d’un récit rétrospectif à la première personne : Bardamu raconte ses souvenirs de guerre ( « je me souviens »). Le choix narratif de Céline confère une dimension de témoignage à cet extrait, qui