Célérité Juridique

eu des règles juridiques aux personnes. Dans l’antiquité, il suffisait de diviser les individus en catégories sociales (esclaves, étrangers, mineurs…) L’objet du droit des personnes est de donner des droits à tout être humain. Car tout être humain représente une personne. L’activité juridique va aussi donner des droits à des groupements. Cette distinction entre hommes et groupements est la distinction entre les personnes physiques et les personnes morales. Une personne juridique : Personne dotée

Concept du droit et l’aspect interne des règles L’aspect interne des règles selon H.L.A. Hart H.L.A. Hart est probablement le personnage qui a le plus marqué la philosophie du droit lors du XXe siècle grâce à ses théories du positivisme juridique qu’il énonce dans son ouvrage « Le concept du droit » publié en 1961. Dans cet ouvrage, il énonce deux aspects qui caractérise le droit et les règles; soit l’aspect externe et interne. C’est d’ailleurs ce dernier aspect qui sera résumé et vulgarisé.

Droit administratif Introduction : Le droit administratif est le droit relatif à l’administration ,le droit de l’administration. 2 significations : -Le droit applicable à l’administration , celui qu’elle va devoir suivre et qui vae ngendrer des cosnéquences si les autorités administratives ne se conforment pas à ce droit , ce qui risque de créer un contentieux -Le droit produit par l’administration. Normes administratives. Il s’est produit un découplage entre la nature de la personne en

pouvoirs encadrés, limités par le droit. C'est l'Etat de police. Nota: il faut distinguer entre les notions juridique et politique de l'État de droit. La notion politique identifie État de droit et État libéral (Etat qui protège les libertés fondamentales). Cependant, les deux notions peuvent être reliées. On ne voit pas en effet comment un État qui se voudrait un État de droit au sens juridique ne serait pas aussi en partie un Etat de droit au sens politique ; au sens où il est bien obligé de respecter

deux catégories : l’acte juridique et le fait juridique. • Le fait juridique est tout événement accompli sans l’intention de faire naître une obligation : délits et quasi-délits (responsabilité pour faute, du fait d’autrui, du fait des choses) ; quasi-contrats. • L’acte juridique est l’expression de la volonté en vu de produire des effets de droit, c’est-à-dire en vu de créer une obligation : acte juridique bilatéral (le contrat : rencontre de deux volontés) et acte juridique unilatéral (volonté unique)

relations fussent-elles au plan local, national ou international. Les litiges sont plus susceptibles de survenir lorsque les parties en question ont des aspirations culturelles, économiques et politiques différentes et sont régies par des systèmes juridiques différents. Etant donné que les litiges marquent de manière déterminante les relations humaines, plusieurs pays ont mis sur pied des mécanismes pour les résoudre de manière à maintenir la cohésion ainsi que la stabilité économique et politique de

un sentiment d'obligation (ex : la mention « Lu et approuvé ») qui a aucune valeur juridique. Au sens boursier, l'obligation est un titre au même titre que l'action. L'action donne droit à un bénéfice proportionnel au dividende de la société alors que l'obligation permet seulement le versement d'un intérêt fixe, versé indépendamment de la réalisation d'un bénéfice. Mais ceci est le sens financier et non juridique. L'obligation est un lien de droit liant le créancier au débiteur. Le Droit Objectif

Il existe deux sources de droits subjectifs : 1er source : Acte juridique (un contrat) = c’est une manifestation de volonté qui fait naître des obligations qui sont voulues, recherchées. 2eme source : Les faits juridiques = c’est un évènement volontaire ou involontaire qui fait naître des obligations qui n’est pas voulues. L’objet de la preuve, c’est la démonstration de l’existence d’un acte ou d’un fait juridique, celui qui a fait naître mon (le) droit subjectif. Dans le schéma

fœtus donnera à la naissance un enfant vivant et viable c'est-à-dire une personne physique dotée de la personnalité juridique. Ce qui doit donc imposer une protection juridique à l’égard du fœtus et de l’embryon. Un "statut" un ensemble de dispositions contractuelles, légales ou réglementaires qui définissent les règles impersonnelles et objectives applicables à une situation juridique déterminée. Il peut s'agir, d’un groupe de personnes, ainsi le “statut d’enfant légitime”, ou des règles qui régissent

l’embryon humain est un objet sous tutelle, établi par l’ordre juridique. Elle conteste que l’embryon soit titulaire de droits subjectifs et donc qu’il puisse acquérir la qualification juridique de personne. La signification du terme de vie est conceptuellement différente au sens biologique et au sens juridique. Les Codes civils européens assignent la capacité juridique au fœtus qui est né vivant. Avant cet instant, le système juridique est en mesure d’accorder une protection à l’embryon toutefois