Dague

mort de Bakary ressemble étrangement à celle infligée par Ahouna à Kinhou du point de vue de la cruauté. Il suffit de superposer les fragments de texte qui décrivent leur disparition pour s’en convaincre : - Bakary « Mon père avait déjà plongé la dague dans son cœur. Le sang coulait avec furie. » (UPSF, p.58) - Kinhou « Je saisis sa gorge et y plongeai jusqu’à la garde le poignard que j’étreignais, puis je retirai mon arme. » (UPSF, p.161). La mort de Bakary a engendré certainement un traumatisme

voir, en te tuant, si je suis bien éveillé ou si je rêve. Au moment où il tire son poignard, Clotaldo retient son bras et s’agenouille. CLOTALDO. Ah ! sans doute, par ce moyen, je sauverai ma vie. SIGISMOND. Ote ta main de dessus la poignée de ma dague. CLOTALDO. Jusqu’à ce qu’il vienne du monde qui puisse contenir votre fureur, je ne dois pas  La Vie est Un songe vous lâcher. ROSAURA. O ciel ! SIGISMOND. Lâche-moi, te dis-je, vieillard insensé, ou je t’étouffe dans mes bras. Ils luttent

voir, en te tuant, si je suis bien éveillé ou si je rêve. Au moment où il tire son poignard, Clotaldo retient son bras et s’agenouille. CLOTALDO. Ah ! sans doute, par ce moyen, je sauverai ma vie. SIGISMOND. Ote ta main de dessus la poignée de ma dague. CLOTALDO. Jusqu’à ce qu’il vienne du monde qui puisse contenir votre fureur, je ne dois pas L a V i e e s t U n s o n g e � � vous lâcher. ROSAURA. O ciel ! SIGISMOND. Lâche-moi, te dis-je, vieillard insensé, ou je t’étouffe dans mes bras. Ils

le sceau de la Tradition de la Lune. « Ici, c’est bien », dit-elle en s’arrêtant. Elle prit une brindille et traça un grand cercle sur le sol, cependant qu’elle prononçait les noms sacrés que sa Maîtresse lui avait enseignés. Elle n’avait pas sa dague rituelle, ni aucun de ses objets sacrés, mais ses ancêtres étaient là, et elles disaient que, pour ne pas mourir sur le bûcher, elles avaient consacré les instruments de leur cuisine. « Tout dans le monde est sacré », affirma-t-elle. Cette brindille

me comprennent ou non, qu'ils agissent ou n'agissent pas, j'aurai dit tout ce que j'ai à dire et l'humanité gardera sur sa joue le soufflet de mon épée marqué en traits de sang. Il ne me plaît pas qu'ils m'oublient. Ma vie entière est au bout de ma dague et que la Providence retourne ou non la tête, en m'entendant frapper, je jette la nature humaine à pile ou face sur la tombe d'Alexandre. Dans deux jours, les hommes comparaîtront devant le tribunal de ma volonté. Lorenzo – Acte III, scène 3 14

(même une arme courte), il faut posséder la compétence adéquate. Selon le cas : Armes de mêlée, Assassin, Armes à distance, Ingénieur (voir F.1.1 Compétences martiales p.28). Les Armes de mêlée Ce sont toutes celles qu’on emploie au corps à corps : dague, épée, hache, bâton, etc. La compétence Armes de mêlée permet de manier des armes spéciales (armes articulées, armes d’hast) et de faire des frappes à Annonces si l’on reçoit l’enchantement adéquat. Une touche cause 1 pt de dégât, ou plus dans le cas

regardée en lui parlant, elle décida de ne pas se laisser amadouer. Elle se mit à fureter dans la chambre en espérant l’énerver. Après en avoir fait le tour, elle s’approcha du garçon, examinant la commode en acajou, sous la fenêtre. Une magnifique dague au manche d’ivoire et à la garde sertie d’argent y trônait. À côté se trouvaient une sphère dorée incrustée d’un cadran, ainsi que plusieurs pièces d’or. Elle en saisit une, autant parce que cela l’intriguait que pour agacer Stefan. — Qu’est-ce

jour de la Saint Martin, où frère Jérôme, moine portier de l'abbaye, découvre un homme étendu de tout son long sur le parvis de l'église. Que fait donc là cet homme qui ressemble à un pèlerin de Saint Jacques ? "Il est mort, tué d'un seul coup de dague", s'exclame frère Jérôme. Mais qui a pu tuer ce pauvre pèlerin ? Et pourquoi ? Pour en savoir plus… Voici quelques sites internet à visiter (à toi de compléter la liste) : • http://www.memo.fr/ • http://www.ricochet-jeunes.org • http://ecole.orange

renaissance on va utiliser la pointe : l’estoc. On passe à des lames fines parce que l’armure disparaît (car on a inventé la poudre). Au 16ème siècle apparaissent les rapières, petites épées venues d’Espagne, qu’on retrouve souvent accompagnée de la dague. Au 17ème apparaît le fleuret, on va vers des pratiques de moins en moins violentes. Il se développe grâce à l’Italie puis dans les Académies mais aussi dans les duels puisque la renaissance s’appelle « l’âge d’or du duel ». Le perfectionnement technique

mélange n´est-ce pas?...vous verrez!... l´art baroque est un art allemand… typique, n´est-ce pas?» 50 Ce trait de caractère est commun pour tous les personnage allemands masculins du roman : Harras avec son Mercedes : Harras, en grand uniforme, dague, décorations, aiguillettes, bottes… (…) une très grosse voiture (…) que sa Mercédès passe, 51 le comte von Leiden le comte von Leiden, Rittmeister: …considérez, bottes à pompons, chapska, brandebourgs violets, sabre à dragonne or… 52 le