Dague

étaient deux rois qui pratiquaient la lutte : souverains sportifs. L’escrime et les duels se sont également développés. La violence des activités ont diminué pendant la Renaissance (disparition des joutes, des tournois…). On peut considérer que la dague et l’épée ont remplacé la lance et l’épée lourde. L’escrime devient un art beaucoup plus fin. On ne cherche plus à trancher (comme du jambon) mais à toucher. On peut parler de l’équitation : on commence à développé l’art du dressage et l’art de la

l'assassinat, les Romains et leurs partisans. Cette pratique est sans doute l'une des premières formes de terrorisme politique. Elle perdure pendant soixante ans, jusqu'à la destruction de Jérusalem en l'an 70. Le terme Sicaire vient de sica, une dague (épée courte et recourbée), arme de prédilection des assassins juifs anti-Romains. A la limite de l'Antiquité et du Moyen-Age, en Inde, il y avait une variété de sociétés secrètes. Les membres de la secte "étrangleurs" détruisaient leurs victimes

regardée en lui parlant, elle décida de ne pas se laisser amadouer. Elle se mit à fureter dans la chambre en espérant l’énerver. Après en avoir fait le tour, elle s’approcha du garçon, examinant la commode en acajou, sous la fenêtre. Une magnifique dague au manche d’ivoire et à la garde sertie d’argent y trônait. À côté se trouvaient une sphère dorée incrustée d’un cadran, ainsi que plusieurs pièces d’or. Elle en saisit une, autant parce que cela l’intriguait que pour agacer Stefan. — Qu’est-ce

l'ordonnance de Louppy-le-Châtel de 1445, il les organise en lances, unité de base où les compétences de chacun se complètent. Chacune est constituée d'un homme d'armes accompagné de deux archers à cheval, d'un coutilier (armé d'une épée et d'une longue dague), d'un page et d'un valet (ces derniers ne combattant pas en règle générale). 100 lances forment une compagnie. Les 15 compagnies totalisent 9 000 hommes, dont 6 000 combattants qui forment la grande ordonnance. Bientôt, trois nouvelles compagnies

pas contenté d'agir : témoin oculaire, il a aussi voulu décrire les faits. Si les historiens saluèrent la modération des propos de ce protestant, ses coreligionnaires réagirent fort differemment, lui infligeant des blessures plus profondes que la dague des catholiques" p.9. Ainsi, La Popelinière est un réformé qui prend part à la guerre civile. Fort de ses solides convictions calvinistes, il assure, par exemple, le commandement d'une compagnie d'étudiants à ses débuts, joue les négociateurs à

Viandier). Toutes ces avancées font de la Renaissance une période riche. À table, les mœurs évoluent. L’individualité devient la règle : on ne partage plus assiette, verre et couverts et chacun dispose d’une serviette. Le couteau de table remplace la dague et la fourchette fait son apparition grâce à Catherine de Médicis. L’influence italienne se retrouve également dans le raffinement des arts de la table avec l’orfèvrerie, la cristallerie et la vaisselle en faïence. Dans les assiettes apparaissent de

amour débridé. PRINCESSE : Ah. Mon père, vous m'avez fait peur ! Je dormais. Que faites-vous là les yeux fixés sur moi ? On dirait un hibou. Qu'est-ce qui bouge sous votre tunique ? Qu'est-ce que vous cachez là ? Père ! Pourquoi sortez-vous votre dague ? Père ? Père ! HISANO : Tais-toi ! Et ne crie pas, c'est mal élevé. Mon poignard s'est posé sur ton cou, mais n'aie pas peur, il ne t'arrivera rien tant que tu feras ce que je te dis. Tu verras ma belle princesse, il existe des lois stupides qui interdisent

Spectacle à vous figer la moelle dans les os ! – À la place du chat paraît un beau jeune homme, Nez aquilin, front haut, moustache noire, comme La jeune fille en voit dans ses songes d’amour. Avec son manteau rouge et son pourpoint de soie, Sa dague de Tolède au pommeau qui chatoie, Vraiment il était fait au tour ! XXVI « C’est bien », dit Véronique, en tendant sa main blanche Au jeune cavalier qui, le poing sur la hanche, En silence attendait : « Don Juan, conduisez-moi. » Juan s’inclina :

vergogne, Avoué les rendez-vous infâmes qu’ils ont eus Mille fois en secret. CLAUDIO : O Héro ! Quelle Héro tu aurais fait Si la moitié de tes grâces extérieures avaient ennobli Tes pensées et les élans de ton cœur ! LEO : Personne n’a-t-il une dague affilée pour moi ? BEA : Hé là, cousine ! Hé là ! … BENE : Comment va-t-elle ? BEA : Morte, je crois. Au secours mon oncle ! Héro ! Holà, Héro ! Mon oncle ! Signor Bénédict ! Frère François ! LEO : O Destin ! Ne détourne pas ta lourde

frayeur qui m'envahit à cet instant fut terrible! Comment vaincre quand on ne sait pas se battre? Je n'allais pas m'enfuir! Je me jetai dans la bataille de toutes mes forces. Je frappais tantôt d'une main armée d'une épée, tantôt de l'autre armée d'une dague. La rage au ventre, je fonçai tête baissée dans ce combat acharné! Il fallait protéger le village de ces assaillants à tout prix! Même au péril de ma vie! Mais, heureusement, les orcs, ces bêtes enragées, assoiffées de sang, n'étaient pas en grand